Boris a écrit :Apprenez donc que je suis un sportif de très haut niveau, très haut niveau.
Je vous demande donc, désormais de me parler sur le ton qui convient à propos de mon très haut niveau sportif et de désormais vous conduire vis à vis de moi en en tenant compte.
Petit détail : je ne pratique pas.
Mais cela ne semble pas avoir d'importance à vos yeux, donc qu'à cela ne tienne.
J'aurais peut-être pu dérocher des médailles d'or dans toutes les compétitions ... si je m'étais inscrits. Nul n'en saura rien, pas même les organisateurs qui ignoreront mon nom, même après ma mort charnelle.
Voilà, quelque peu développer, l'argument d'un prêtre de ma connaissance sur ceux qui se font appeler catholiques et qui ne pratiquent pas.
Un autre prêtre nous a dit en chaire que cette notion d'être "croyant non pratiquant" est une phrase du Diable et qui est dénoncée par St Jacques.
Donc cessez de parler de personnes comme catholique si elles ne pratiquent pas ou qu'elles professent le contraire de l'enseignement de l'Eglise.
Il s'agit d'une simple cohérence dans votre discours.
Vous êtes sportif de haut niveau. Toutes mes félicitations les plus sincères. Mais je ne vois pas le rapport avec le sujet.
Si vous vous êtes senti blessé par mon message, je vous prie de bien vouloir m'en excuser. Mais alors, vous devrez m'expliquer en quoi je vous ai blessé. Car franchement, je ne vois pas.
Pour répondre au fond du problème :
Vous dites : "Un autre prêtre nous a dit en chaire que cette notion d'être "croyant non pratiquant" est une phrase du Diable et qui est dénoncée par St Jacques. Donc cessez de parler de personnes comme catholique si elles ne pratiquent pas ou qu'elles professent le contraire de l'enseignement de l'Eglise."
C'est cette personne elle-même qui se définit comme "catholique non pratiquante" et je n'ai fait que rapporter ce qualificatif dans mon message. Et comme je vous l'ai expliqué, je ne suis pas d'accord avec cette appellation car si on est chrétien, c'est uniquement par la foi qu'on vit jour après jour. Je maintiens donc (et nous disons exactement la même chose) que "catholique non pratiquant" n'a aucun sens.
Vous en rajoutez même : "Il s'agit d'une simple cohérence dans votre discours."
Quelle incohérence ? Je crois que cette phrase n'est qu'un moyen de noyer le poisson.
Je montre une incohérence dans
votre discours et vous me répliquez que c'est le mien qui est incohérent !
Alors, je redis exactement la même chose que précédemment :
cette personne est officiellement catholique car elle a été baptisée selon les rites catholiques. Mais l'est-elle de coeur ? Non car elle ne pratique pas.
Alors trouvez vous qu'il est cohérent de dire "nous devons baptiser les enfants" mais de l'autre ne pas reconnaître comme catholique une personne baptisée en tant qu'en enfant et qui ne pratique pas ?
Car c'est exactement ce que vous dites.
La position du baptême des enfants ne tient pas la route. En voici une nouvelle preuve.
Pouvez-vous, s'il vous plait, me répondre calmement cette fois ?
Si vous ne pouvez pas, j'en conclurai qu'au fond de vous, vos yeux s'ouvrent et que vous n'êtes même pas sûr que le baptême des enfants soit une bonne chose.
[quote="Boris"]Apprenez donc que je suis un sportif de très haut niveau, très haut niveau.
Je vous demande donc, désormais de me parler sur le ton qui convient à propos de mon très haut niveau sportif et de désormais vous conduire vis à vis de moi en en tenant compte.
Petit détail : je ne pratique pas.
Mais cela ne semble pas avoir d'importance à vos yeux, donc qu'à cela ne tienne.
J'aurais peut-être pu dérocher des médailles d'or dans toutes les compétitions ... si je m'étais inscrits. Nul n'en saura rien, pas même les organisateurs qui ignoreront mon nom, même après ma mort charnelle.
Voilà, quelque peu développer, l'argument d'un prêtre de ma connaissance sur ceux qui se font appeler catholiques et qui ne pratiquent pas.
Un autre prêtre nous a dit en chaire que cette notion d'être "croyant non pratiquant" est une phrase du Diable et qui est dénoncée par St Jacques.
Donc cessez de parler de personnes comme catholique si elles ne pratiquent pas ou qu'elles professent le contraire de l'enseignement de l'Eglise.
Il s'agit d'une simple cohérence dans votre discours.[/quote]
Vous êtes sportif de haut niveau. Toutes mes félicitations les plus sincères. Mais je ne vois pas le rapport avec le sujet.
Si vous vous êtes senti blessé par mon message, je vous prie de bien vouloir m'en excuser. Mais alors, vous devrez m'expliquer en quoi je vous ai blessé. Car franchement, je ne vois pas.
Pour répondre au fond du problème :
Vous dites : "Un autre prêtre nous a dit en chaire que cette notion d'être "croyant non pratiquant" est une phrase du Diable et qui est dénoncée par St Jacques. Donc cessez de parler de personnes comme catholique si elles ne pratiquent pas ou qu'elles professent le contraire de l'enseignement de l'Eglise."
C'est cette personne elle-même qui se définit comme "catholique non pratiquante" et je n'ai fait que rapporter ce qualificatif dans mon message. Et comme je vous l'ai expliqué, je ne suis pas d'accord avec cette appellation car si on est chrétien, c'est uniquement par la foi qu'on vit jour après jour. Je maintiens donc (et nous disons exactement la même chose) que "catholique non pratiquant" n'a aucun sens.
Vous en rajoutez même : "Il s'agit d'une simple cohérence dans votre discours."
Quelle incohérence ? Je crois que cette phrase n'est qu'un moyen de noyer le poisson.
Je montre une incohérence dans [b]votre[/b] discours et vous me répliquez que c'est le mien qui est incohérent !
Alors, je redis exactement la même chose que précédemment :
cette personne est officiellement catholique car elle a été baptisée selon les rites catholiques. Mais l'est-elle de coeur ? Non car elle ne pratique pas.
[b]Alors trouvez vous qu'il est cohérent de dire "nous devons baptiser les enfants" mais de l'autre ne pas reconnaître comme catholique une personne baptisée en tant qu'en enfant et qui ne pratique pas ?[/b]
Car c'est exactement ce que vous dites.
La position du baptême des enfants ne tient pas la route. En voici une nouvelle preuve.
Pouvez-vous, s'il vous plait, me répondre calmement cette fois ?
Si vous ne pouvez pas, j'en conclurai qu'au fond de vous, vos yeux s'ouvrent et que vous n'êtes même pas sûr que le baptême des enfants soit une bonne chose.