par cmoi » lun. 18 mai 2020, 4:14
C'est une vraie question cher Trinité, mais ceux que l'on aime ont leur liberté et les aimer c'est accepter de leur en laisser l'usage.
Aussi, si cette liberté les a conduit en enfer, respecter leur choix est encore une façon de les aimer.
Je pense que c'est ainsi qu'il faut considérer que cela ne sera pas incompatible avec l'amour que nous partagerons en Dieu, qui saura bien nous en consoler de ce qu'il y aura manque concernant cette personne qui fut aimée : si cette personne est en enfer, même si elle tenait énormément à nous, c'est que dans cet amour elle n'avait pas vu la lumière (nous avions aussi des défauts et peu-être que Dieu nous a rattrapé in extremis) ou ne l'avait pas suivie, respectée assez, bref qu'elle était somme toute égoïste...
Il y en a toujours une part, ici-bas, d'égoïsme (ne serait-ce que parce que le combattre ou s'en priver c'est aller au ciel !), mais nous sommes prêts à le pardonner (peut-être parce que nous -mêmes...)... Sauf qu'il y a toujours une limite à tout, et que là elle avait été dépassée à notre insu, ou que notre amour avait quelque chose de frelaté que nous ne voyions plus (par intérêt, habitude, que sais-je encore...).
C'est une vraie question cher Trinité, mais ceux que l'on aime ont leur liberté et les aimer c'est accepter de leur en laisser l'usage.
Aussi, si cette liberté les a conduit en enfer, respecter leur choix est encore une façon de les aimer.
Je pense que c'est ainsi qu'il faut considérer que cela ne sera pas incompatible avec l'amour que nous partagerons en Dieu, qui saura bien nous en consoler de ce qu'il y aura manque concernant cette personne qui fut aimée : si cette personne est en enfer, même si elle tenait énormément à nous, c'est que dans cet amour elle n'avait pas vu la lumière (nous avions aussi des défauts et peu-être que Dieu nous a rattrapé in extremis) ou ne l'avait pas suivie, respectée assez, bref qu'elle était somme toute égoïste...
Il y en a toujours une part, ici-bas, d'égoïsme (ne serait-ce que parce que le combattre ou s'en priver c'est aller au ciel !), mais nous sommes prêts à le pardonner (peut-être parce que nous -mêmes...)... Sauf qu'il y a toujours une limite à tout, et que là elle avait été dépassée à notre insu, ou que notre amour avait quelque chose de frelaté que nous ne voyions plus (par intérêt, habitude, que sais-je encore...).