par mikesss » lun. 18 nov. 2019, 9:13
Pour moi, le féminisme est un ramassis de bêtises toutes plus nocives les unes que les autres.
Elle se base sur une image faussée de la société chrétienne telle qu'elle l'était avant, elle considère comme un combat juste des choses tout à fait immorales, elle refuse le rôle de la femme sur le critère qu'elle considère ce rôle comme dégradant. Bref, le féminisme va droit dans le mur (même si elle peuvent avoir raison sur certains points, ça reste accidentel et rarement pour les bonnes raisons).
Voici un petit florilège de "bêtises" de la part du féminisme:
- les femmes veulent être "l'égal" des hommes (ce qui de base, est absurde, car ce qui est différent ne saurait être égale dans l'absolu, mais uniquement vis à vis d'un critère précis); ce combat découle en fait d'un refus du rôle de la femme dans la société, elles considèrent comme avilissant le fait de s'occuper des enfants, de leur foyer… En fait, elle voudraient être des hommes et prendre leur rôle (rôle d'ailleurs dont les hommes ne veulent plus sous le prétexte de ne pas reproduire une société patriarcale
) Elle détruisent par là les fondements de la famille.
- elles réclament une certaine "sécurité" en voulant avoir le droit et les moyens de divorcer; alors outre le fait que pour un chrétien, le divorce est toujours interdit, quels que soient les raisons, on assiste à un individualisation du couple. Chacun des 2 travaille et ramène de l'argent, mais cet argent reste la propriété propre de celui qui l'a acquis, au lieu de le mettre en commun dans le couple: encore une fois, on fait voler en éclat la famille (rien que le contrat de mariage montre bien cette explosion)
- elles veulent le droit à faire ce qu'elles veulent de leur corps; je ne pense même pas qu'il soit nécessaire de préciser pourquoi ce combat est inique, il découle de la nouvelle notion de liberté (qui n'en est pas une d'ailleurs) et aboutit a des horreurs du style avortement, PMA, libertinage… D'ailleurs, il est intéressant de noter que l'avortement est aujourd'hui une conséquence directe de la "libération" sexuelle.
De plus, je rajouterai que leurs argumentaires sont souvent abscons et basé sur des fait historiquement faux. Par exemple:
- La société patriarcale a toujours refusé d'instruire les femmes, parce qu'elle considérait qu'elles ne le méritaient pas; bon alors, j'aimerai bien savoir ou elles sont allées chercher cela, c'est juste complètement faux; en fait, avant le XXème siècle, la plupart des gens étaient formés en vue de leur futur travail (et pas de façon globale comme c'est le cas maintenant) et les femmes suivaient aussi ce principe: étant vouées à devenir mères de famille (de par le rôle qui leur a été donné par Dieu), elles étaient formées à la tenue d'une maison et à s'occuper des gamins.
- avant, la femme n'était considéré que comme un objet, méprisable et sans valeur, comme un esclave dans le couple… Alors, déjà, elles oublient la plus grande sainte vénérée par l'Eglise catholique, à savoir la Sainte Vierge, qui est honorée en tant que mère (ce qui montre bien le rôle qui devrait être celui des femmes) et je ne pense pas qu'on puisse dire que la société monarchique chrétienne d'avant considérait la Sainte Vierge comme méprisable et indigne de respect. En revanche, pour ce qui est des individus lambdas, on a à nouveau un retournement de valeurs: comme elles considèrent le rôle qu'est normalement celui de la femme comme étant dégradant et avilissant, tout comportement allant dans ce sens est forcement un mépris et un manque de respect. Et donc, pour elles, le fait de laisser la femme a la maison pour s'occuper des enfants c'est la considérer comme méprisable. Le problème, c'est que historiquement, c'est bien l'Eglise catholique qi a redonné ses "lettres de noblesse" à la femme, entre autres en déclarant son égalité devant Dieu avec l'homme.
- les femmes n'étaient pas autorisées à travailler avant: c'est complètement faux, elles travaillaient tout autant que les hommes (d'ailleurs, je n'aime pas trop cette terminologie qui sous entend que les mères au foyer ne travaillent pas). Seulement, avec le développement du capitalisme et de la mondialisation, les exploitations familiales dans lesquelles travaillaient les femmes ont disparu et il y a eu un moment de flottement avant qu'elles ne commencent à travailler comme salariées. Cependant, quelque soit l'époque, elle ont travaillé dans les exploitations familiales…
Bref, pour moi, le féminisme est nocif en lui-même car il nie le rôle de femme dans la société et cherche à tout prix à s'en émanciper (de même que par effet boule de neige, il pousse les hommes à refuser leur rôle de chef de famille).
Il suffit de regarder la Sainte Famille, qui est la parangon de la famille chrétienne, pour se rendre compte de l'absurdité de la situation: La Sainte Vierge, la mère de Dieu, accepte avec joie son rôle de mère au foyer, s'en acquitte saintement et est soumis à son mari, Saint Joseph. Et St Joseph, malgré le fait qu'il est le "moins saint" des membre de la sainte famille est bien le chef de la famille (c'est lui qui prend les décisions), ce qui ne veut pas dire qu'il manque de respect envers les autres membres de la famille.
Bref, cette idéologie n'a pour moi rien de sain et rien de saint.
ps: certains font la différence entre le féminisme et le féminisme "ultra" (avec les femen etc.). Pour moi, ce combat est le même, c'est juste que les "ultra" poussent le raisonnement à son paroxisme.
Bref, pour conclure
Pour moi, le féminisme est un ramassis de bêtises toutes plus nocives les unes que les autres.
Elle se base sur une image faussée de la société chrétienne telle qu'elle l'était avant, elle considère comme un combat juste des choses tout à fait immorales, elle refuse le rôle de la femme sur le critère qu'elle considère ce rôle comme dégradant. Bref, le féminisme va droit dans le mur (même si elle peuvent avoir raison sur certains points, ça reste accidentel et rarement pour les bonnes raisons).
Voici un petit florilège de "bêtises" de la part du féminisme:
- les femmes veulent être "l'égal" des hommes (ce qui de base, est absurde, car ce qui est différent ne saurait être égale dans l'absolu, mais uniquement vis à vis d'un critère précis); ce combat découle en fait d'un refus du rôle de la femme dans la société, elles considèrent comme avilissant le fait de s'occuper des enfants, de leur foyer… En fait, elle voudraient être des hommes et prendre leur rôle (rôle d'ailleurs dont les hommes ne veulent plus sous le prétexte de ne pas reproduire une société patriarcale :/ ) Elle détruisent par là les fondements de la famille.
- elles réclament une certaine "sécurité" en voulant avoir le droit et les moyens de divorcer; alors outre le fait que pour un chrétien, le divorce est toujours interdit, quels que soient les raisons, on assiste à un individualisation du couple. Chacun des 2 travaille et ramène de l'argent, mais cet argent reste la propriété propre de celui qui l'a acquis, au lieu de le mettre en commun dans le couple: encore une fois, on fait voler en éclat la famille (rien que le contrat de mariage montre bien cette explosion)
- elles veulent le droit à faire ce qu'elles veulent de leur corps; je ne pense même pas qu'il soit nécessaire de préciser pourquoi ce combat est inique, il découle de la nouvelle notion de liberté (qui n'en est pas une d'ailleurs) et aboutit a des horreurs du style avortement, PMA, libertinage… D'ailleurs, il est intéressant de noter que l'avortement est aujourd'hui une conséquence directe de la "libération" sexuelle.
De plus, je rajouterai que leurs argumentaires sont souvent abscons et basé sur des fait historiquement faux. Par exemple:
- La société patriarcale a toujours refusé d'instruire les femmes, parce qu'elle considérait qu'elles ne le méritaient pas; bon alors, j'aimerai bien savoir ou elles sont allées chercher cela, c'est juste complètement faux; en fait, avant le XXème siècle, la plupart des gens étaient formés en vue de leur futur travail (et pas de façon globale comme c'est le cas maintenant) et les femmes suivaient aussi ce principe: étant vouées à devenir mères de famille (de par le rôle qui leur a été donné par Dieu), elles étaient formées à la tenue d'une maison et à s'occuper des gamins.
- avant, la femme n'était considéré que comme un objet, méprisable et sans valeur, comme un esclave dans le couple… Alors, déjà, elles oublient la plus grande sainte vénérée par l'Eglise catholique, à savoir la Sainte Vierge, qui est honorée en tant que mère (ce qui montre bien le rôle qui devrait être celui des femmes) et je ne pense pas qu'on puisse dire que la société monarchique chrétienne d'avant considérait la Sainte Vierge comme méprisable et indigne de respect. En revanche, pour ce qui est des individus lambdas, on a à nouveau un retournement de valeurs: comme elles considèrent le rôle qu'est normalement celui de la femme comme étant dégradant et avilissant, tout comportement allant dans ce sens est forcement un mépris et un manque de respect. Et donc, pour elles, le fait de laisser la femme a la maison pour s'occuper des enfants c'est la considérer comme méprisable. Le problème, c'est que historiquement, c'est bien l'Eglise catholique qi a redonné ses "lettres de noblesse" à la femme, entre autres en déclarant son égalité devant Dieu avec l'homme.
- les femmes n'étaient pas autorisées à travailler avant: c'est complètement faux, elles travaillaient tout autant que les hommes (d'ailleurs, je n'aime pas trop cette terminologie qui sous entend que les mères au foyer ne travaillent pas). Seulement, avec le développement du capitalisme et de la mondialisation, les exploitations familiales dans lesquelles travaillaient les femmes ont disparu et il y a eu un moment de flottement avant qu'elles ne commencent à travailler comme salariées. Cependant, quelque soit l'époque, elle ont travaillé dans les exploitations familiales…
Bref, pour moi, le féminisme est nocif en lui-même car il nie le rôle de femme dans la société et cherche à tout prix à s'en émanciper (de même que par effet boule de neige, il pousse les hommes à refuser leur rôle de chef de famille).
Il suffit de regarder la Sainte Famille, qui est la parangon de la famille chrétienne, pour se rendre compte de l'absurdité de la situation: La Sainte Vierge, la mère de Dieu, accepte avec joie son rôle de mère au foyer, s'en acquitte saintement et est soumis à son mari, Saint Joseph. Et St Joseph, malgré le fait qu'il est le "moins saint" des membre de la sainte famille est bien le chef de la famille (c'est lui qui prend les décisions), ce qui ne veut pas dire qu'il manque de respect envers les autres membres de la famille.
Bref, cette idéologie n'a pour moi rien de sain et rien de saint.
ps: certains font la différence entre le féminisme et le féminisme "ultra" (avec les femen etc.). Pour moi, ce combat est le même, c'est juste que les "ultra" poussent le raisonnement à son paroxisme.
Bref, pour conclure