par Gustav Ahlman » lun. 04 févr. 2019, 22:14
Est-ce que vous savez avec quelle fréquence les propres grégoriens (introït, graduel, alléluia/trait, offertoire et communion) étaient chantés lors des messes principales du dimanche avant le Concil Vatican II ? Comme les propres changent pour chaque semaine, il faut un choral ou un soliste avec la capacité de les apprendre. Est-ce qu'il y avait cela dans toutes les petites paroisses, ou bien, qu'est-ce qu'on chantait sinon?
J'ai demandé à quelques vieux prêtres qui sont ordonnés avant Vatican II, et ils se souvient bien de l'ordinaire (le Kyriale) en latin (et grec) qu'ils chantaient chaque dimanche, mais concernant qui chantaient les propres, ils se souvient moins bien.
Dans "Cérémonial à l'usage de pétites églises de paroisses" par P. Le Vavasseur de 1864, il est dit à ce sujet que "Les Chantres ne doivent omettre complétement aucune partie de la Messe. On excepte de cette règle l'omission de quelques strophes de la prose Dies irae aux Messes de Requiem ou celle de quelques versets d'un trait. On peut aussi remplacer le chant d'une partie des prières par une psalmodie ou lecture à haute et intelligible voix. 62. Nota 4° Si la Messe principale des dimanches et fêtes ne peut pas être chantée, on peut cependant donner à cette Messe une solennité plus grande qu'aux Messes ordinaires." (page 105)
Ce dernière remarque implique que la messe pleinement chantée n'était pas la règle partout. Est-ce que les propres étaient souvent remplacés par "une psalmodie ou lecture à haute et intelligible voix" ? Avec quelle fréquence trouvait-on une messe pleinement chantée selon le Graduale Romanum? Et avant la publication de Graduale Romanum par S. Pie X en 1908, qu'est-ce qu'on utilisait ?
Est-ce que vous savez avec quelle fréquence les propres grégoriens (introït, graduel, alléluia/trait, offertoire et communion) étaient chantés lors des messes principales du dimanche avant le Concil Vatican II ? Comme les propres changent pour chaque semaine, il faut un choral ou un soliste avec la capacité de les apprendre. Est-ce qu'il y avait cela dans toutes les petites paroisses, ou bien, qu'est-ce qu'on chantait sinon?
J'ai demandé à quelques vieux prêtres qui sont ordonnés avant Vatican II, et ils se souvient bien de l'ordinaire (le Kyriale) en latin (et grec) qu'ils chantaient chaque dimanche, mais concernant qui chantaient les propres, ils se souvient moins bien.
Dans "Cérémonial à l'usage de pétites églises de paroisses" par P. Le Vavasseur de 1864, il est dit à ce sujet que "Les Chantres ne doivent omettre complétement aucune partie de la Messe. On excepte de cette règle l'omission de quelques strophes de la prose Dies irae aux Messes de Requiem ou celle de quelques versets d'un trait. On peut aussi remplacer le chant d'une partie des prières par une psalmodie ou lecture à haute et intelligible voix. 62. Nota 4° Si la Messe principale des dimanches et fêtes ne peut pas être chantée, on peut cependant donner à cette Messe une solennité plus grande qu'aux Messes ordinaires." (page 105)
Ce dernière remarque implique que la messe pleinement chantée n'était pas la règle partout. Est-ce que les propres étaient souvent remplacés par "une psalmodie ou lecture à haute et intelligible voix" ? Avec quelle fréquence trouvait-on une messe pleinement chantée selon le Graduale Romanum? Et avant la publication de Graduale Romanum par S. Pie X en 1908, qu'est-ce qu'on utilisait ?