par Jean-Mic » lun. 17 nov. 2014, 12:50
Je suppose, mais ce n'est qu'une hypothèse, que la posture de l'orant est directement liée à l'effusion du Saint Esprit. Tendre les mains et le visage vers le Ciel, c'est attendre et espérer sa venue, c'est l'accueillir lorsqu'il vient. Comme je le disait précédemment, c'est une attitude purement chrétienne !
Si, comme, je le pense, elle est liée à la venue de l'Esprit, on ne s'étonnera pas qu'elle ait été largement redevenue d'actualité, re-popularisée, dans nos Églises (catholique et protestantes) grâce la mouvance dite charismatique.
Si on la comprends ainsi, on voit que ce n'est pas un vague geste des mains, mais bien tout un élan vers le haut qui est en jeu. Personnellement (mais ceci n'engage que moi, et n'a guère de valeur symbolique), j'y vois aussi l'attitude de celui qui se rend à celui qui l'a fait prisonnier : "
Seigneur, je me rends, je ne désire plus t'opposer de résistance". Et puisque j'en suis aux confidences personnelles, je vous avoue que je me contrefiche de la manière dont se tiennent mes voisins, puisque le Notre-Père, je le dis les yeux fermés (... mais toujours le visage et les mains tournés vers le Ciel
).
En conclusion, une fort belle attitude, qui nous vient des tous premiers temps de l'Église. Mais une attitude parmi d'autres, que chacun adopte dans son for intérieur.
Fraternellement.
Jean-Mic
Je suppose, mais ce n'est qu'une hypothèse, que la posture de l'orant est directement liée à l'effusion du Saint Esprit. Tendre les mains et le visage vers le Ciel, c'est attendre et espérer sa venue, c'est l'accueillir lorsqu'il vient. Comme je le disait précédemment, c'est une attitude purement chrétienne ! [size=85]Si, comme, je le pense, elle est liée à la venue de l'Esprit, on ne s'étonnera pas qu'elle ait été largement redevenue d'actualité, re-popularisée, dans nos Églises (catholique et protestantes) grâce la mouvance dite charismatique.[/size]
Si on la comprends ainsi, on voit que ce n'est pas un vague geste des mains, mais bien tout un élan vers le haut qui est en jeu. Personnellement (mais ceci n'engage que moi, et n'a guère de valeur symbolique), j'y vois aussi l'attitude de celui qui se rend à celui qui l'a fait prisonnier : "[i]Seigneur, je me rends, je ne désire plus t'opposer de résistance[/i]". Et puisque j'en suis aux confidences personnelles, je vous avoue que je me contrefiche de la manière dont se tiennent mes voisins, puisque le Notre-Père, je le dis les yeux fermés (... mais toujours le visage et les mains tournés vers le Ciel :D ).
En conclusion, une fort belle attitude, qui nous vient des tous premiers temps de l'Église. Mais une attitude parmi d'autres, que chacun adopte dans son for intérieur.
Fraternellement.
Jean-Mic