par Jeanne » jeu. 20 sept. 2018, 12:44
Bonjour,
J'engage mon premier sujet dans cette rubrique, j'espère ne pas m'être trompée d'endroit.
J'ai une réflexion autour du fantasme et du péché.
J'ai lu, ici et là, que le fait de penser à un acte (adultère par exemple) équivalait l'acte.
Or, les fantasmes ont une fonction chez les individus, une fonction probablement nécessaire à un fonctionnement mental et physique optimal.
Les fantasmes s'expriment dans les rêves, les rêveries, se subliment dans la création artistique et l'expression intellectuelle, le sport...
Selon les personnalités, le fantasme est vif ou réprimé, mais pas contrôlable ou alors aux dépends de la santé psychique ou physique de la personne. Nous sommes tous différents, et si pour certains la répression de l'imaginaire fait partie intégrante du fonctionnement psychique, il n'en est pas de même pour d'autres.
Il est essentiel, et c'est mon avis que tous ne partagent pas dans notre société, de ne pas mettre les fantasmes transgressifs en action.
La transgression peut-être sociale, morale, individuelle....
Quand on sait l'utilité, voire la nécessité, d'une vie fantasmatique, pourquoi dire que c'est péché ?
Pourquoi penser que la transgresssion équivaut à un passage à l'acte ?
Ce que j'écris ici s'appuie sur les observations cliniques en psychologie, et non sur la méthode expérimentale. Ça vaut ce que ça vaut mais je suis convaincue du bien-fondé de cela.
Qu'en pensez-vous ?
Peut-on concilier la vie imaginaire et le chemin de la Sainteté ?
Bonjour,
J'engage mon premier sujet dans cette rubrique, j'espère ne pas m'être trompée d'endroit.
J'ai une réflexion autour du fantasme et du péché.
J'ai lu, ici et là, que le fait de penser à un acte (adultère par exemple) équivalait l'acte.
Or, les fantasmes ont une fonction chez les individus, une fonction probablement nécessaire à un fonctionnement mental et physique optimal.
Les fantasmes s'expriment dans les rêves, les rêveries, se subliment dans la création artistique et l'expression intellectuelle, le sport...
Selon les personnalités, le fantasme est vif ou réprimé, mais pas contrôlable ou alors aux dépends de la santé psychique ou physique de la personne. Nous sommes tous différents, et si pour certains la répression de l'imaginaire fait partie intégrante du fonctionnement psychique, il n'en est pas de même pour d'autres.
Il est essentiel, et c'est mon avis que tous ne partagent pas dans notre société, de ne pas mettre les fantasmes transgressifs en action.
La transgression peut-être sociale, morale, individuelle....
Quand on sait l'utilité, voire la nécessité, d'une vie fantasmatique, pourquoi dire que c'est péché ?
Pourquoi penser que la transgresssion équivaut à un passage à l'acte ?
Ce que j'écris ici s'appuie sur les observations cliniques en psychologie, et non sur la méthode expérimentale. Ça vaut ce que ça vaut mais je suis convaincue du bien-fondé de cela.
Qu'en pensez-vous ?
Peut-on concilier la vie imaginaire et le chemin de la Sainteté ?