Nous sommes incapables de dissocier clairement notre âme de son corps ou de son esprit.
Aujourd’hui, dans la chair, notre connaissance est partielle et nous voyons comme à travers un voile. C’est ce que nous dit St Paul (1 Co 13, 9-12).
Par la foi, la prière, les sacrements, la communion de l’Église et, surtout, l’amour, nous essayons et pouvons de mieux en mieux discerner la présence et la volonté de Dieu.
Il n’y a là ni truc, ni magie qui «
marche à tous les coups » pour répondre «
clairement » à votre question. Il y a seulement un chemin avec le Christ, une conversion et une écoute intérieure que le Seigneur nous aide à faire mûrir en nous.
Ce qui survit à la mort, c’est nous-mêmes, notre âme.
Notre esprit n’est pas une entité distincte de notre âme, ni de notre corps. Les trois ne font qu’un. Notre âme n’est pas plus ou moins spirituelle que notre esprit, ni plus ou moins corporelle que notre corps.
Il est vain et cela n’a pas de sens d’essayer de les séparer ou de les distinguer. Certes, notre corps physique actuel meurt un jour, mais l’âme de «
ce » corps (pas du corps de quelqu’un d’autre) est définitivement créée et pourra, après sa mort, retrouver «
son » corps ressuscité, même si sa «
matière » sera autre. À chaque âme ne correspond qu’un seul corps avec un esprit insufflé par Dieu, le sien, celui dont elle est l’âme.
Comment l’âme survit-elle après la mort ? Mais, tout simplement parce qu’elle spirituelle et pas seulement corporelle. Nous sommes corps et esprit.
Si vous souhaitez approfondir cette question vous pouvez parcourir le fil intitulé «
L’âme, l’esprit et le corps » dans la section Théologie du forum avec le lien suivant :
viewtopic.php?f=92&t=40548
Nous sommes incapables de dissocier clairement notre âme de son corps ou de son esprit.
Aujourd’hui, dans la chair, notre connaissance est partielle et nous voyons comme à travers un voile. C’est ce que nous dit St Paul (1 Co 13, 9-12).
Par la foi, la prière, les sacrements, la communion de l’Église et, surtout, l’amour, nous essayons et pouvons de mieux en mieux discerner la présence et la volonté de Dieu.
Il n’y a là ni truc, ni magie qui « [i]marche à tous les coups[/i] » pour répondre « [i]clairement[/i] » à votre question. Il y a seulement un chemin avec le Christ, une conversion et une écoute intérieure que le Seigneur nous aide à faire mûrir en nous.
Ce qui survit à la mort, c’est nous-mêmes, notre âme.
Notre esprit n’est pas une entité distincte de notre âme, ni de notre corps. Les trois ne font qu’un. Notre âme n’est pas plus ou moins spirituelle que notre esprit, ni plus ou moins corporelle que notre corps.
Il est vain et cela n’a pas de sens d’essayer de les séparer ou de les distinguer. Certes, notre corps physique actuel meurt un jour, mais l’âme de « [i]ce[/i] » corps (pas du corps de quelqu’un d’autre) est définitivement créée et pourra, après sa mort, retrouver «[i] son[/i] » corps ressuscité, même si sa « [i]matière[/i] » sera autre. À chaque âme ne correspond qu’un seul corps avec un esprit insufflé par Dieu, le sien, celui dont elle est l’âme.
Comment l’âme survit-elle après la mort ? Mais, tout simplement parce qu’elle spirituelle et pas seulement corporelle. Nous sommes corps et esprit.
Si vous souhaitez approfondir cette question vous pouvez parcourir le fil intitulé « [i]L’âme, l’esprit et le corps[/i] » dans la section Théologie du forum avec le lien suivant :
http://www.cite-catholique.org/viewtopic.php?f=92&t=40548