par Griffon » jeu. 06 oct. 2011, 19:36
Bonjour Muirgheal,
Désolé pour cette expérience... manquée.
Les prêtres sont humains.
Vous avez pris le prêtre un peu à l'improviste.
Il est plus facile de bien gérer le sacrement quand cela se passe pendant un moment préparé pour cela. Le prêtre est alors préparé intérieurement et extérieurement (étole).
Là,... c'était une confession improvisée.
Le prêtre avait sûrement des choses à faire, mais il a vu l'âme, sa demande, et... il n'a pas voulu sursoir le sacrement.
On peut reconnaître à ce prêtre qu'il a accepté de prendre un temps non prévu.
Les prêtres sont des hommes. (et non des femmes)
Beaucoup d'entre eux ont des habitudes de vieux célibataires qui accordent peu d'importance à la tenue.
Le prêtre sait bien que la confession reste valide,... alors, il a tendance à laisser la tenue au vestiaire.
Ce n'est pas dément, mais... avait-il seulement une étole violette à sa disposition ?
il me semble que, vu le lieu, s'il en avait une, il l'aurait mise.
Il reste son attitude.
Ou la vôtre ?
Car je veux bien croire que le prêtre était dans un jour "sans" (pas d'inspiration, d'écoute,...).
Mais je suis sûr que vous, et bien... vous étiez dérangée. Par sa tenue d'abord.
Par le lieu peut-être, par l'activité du prêtre avant d'être à votre disposition ?
Quoiqu'il en soit... cela ne s'est pas bien passé !
Et alors ?
Vous avez reçu le sacrement.
Vos fautes sont pardonnées.
N'est-ce pas là le miracle ?!
Ce prêtre était là et il vous a administré le sacrement.
Mais en plus, il y fallait la manière !
Personnellement, je vois dans cette petite histoire une tentation signée.
Ou est votre reconnaissance ?
Faut-il ressentir, se sentir accueillie,.... pour avoir une vraie confession ?
Une occasion vous est donnée de faire un pas de plus vers le Seigneur.
Une occasion de vous oublier,... et de porter avec Jesus ce qu'il y a de trop humain en... chacun de nous.
Et de louer Dieu de nous donner des prêtres qui nous apporte les sacrements.
Voilà, quelques réflexions que je dois vous communiquer.
Croyez bien que je pourrais me les adresser à moi-même.
Cordialement,
Griffon,
très sceptique sur l'avantage d'un "prêtre de la tradition".
(le problème extérieur n'est pas le plus important, surtout pas ici)
[color=#004000]Bonjour Muirgheal,
Désolé pour cette expérience... manquée.
Les prêtres sont humains.
Vous avez pris le prêtre un peu à l'improviste.
Il est plus facile de bien gérer le sacrement quand cela se passe pendant un moment préparé pour cela. Le prêtre est alors préparé intérieurement et extérieurement (étole).
Là,... c'était une confession improvisée.
Le prêtre avait sûrement des choses à faire, mais il a vu l'âme, sa demande, et... il n'a pas voulu sursoir le sacrement.
On peut reconnaître à ce prêtre qu'il a accepté de prendre un temps non prévu.
Les prêtres sont des hommes. (et non des femmes)
Beaucoup d'entre eux ont des habitudes de vieux célibataires qui accordent peu d'importance à la tenue.
Le prêtre sait bien que la confession reste valide,... alors, il a tendance à laisser la tenue au vestiaire.
Ce n'est pas dément, mais... avait-il seulement une étole violette à sa disposition ?
il me semble que, vu le lieu, s'il en avait une, il l'aurait mise.
Il reste son attitude.
Ou la vôtre ?
Car je veux bien croire que le prêtre était dans un jour "sans" (pas d'inspiration, d'écoute,...).
Mais je suis sûr que vous, et bien... vous étiez dérangée. Par sa tenue d'abord.
Par le lieu peut-être, par l'activité du prêtre avant d'être à votre disposition ?
Quoiqu'il en soit... cela ne s'est pas bien passé !
Et alors ?
Vous avez reçu le sacrement.
Vos fautes sont pardonnées.
N'est-ce pas là le miracle ?!
Ce prêtre était là et il vous a administré le sacrement.
Mais en plus, il y fallait la manière !
Personnellement, je vois dans cette petite histoire une tentation signée.
Ou est votre reconnaissance ?
Faut-il ressentir, se sentir accueillie,.... pour avoir une vraie confession ?
Une occasion vous est donnée de faire un pas de plus vers le Seigneur.
Une occasion de vous oublier,... et de porter avec Jesus ce qu'il y a de trop humain en... chacun de nous.
Et de louer Dieu de nous donner des prêtres qui nous apporte les sacrements.
Voilà, quelques réflexions que je dois vous communiquer.
Croyez bien que je pourrais me les adresser à moi-même.
Cordialement,
Griffon,
très sceptique sur l'avantage d'un "prêtre de la tradition".
(le problème extérieur n'est pas le plus important, surtout pas ici)[/color]