par Ombiace » mar. 07 déc. 2021, 23:08
Je vous remercie de vos réponse à tous
ademimo a écrit : ↑mar. 07 déc. 2021, 14:48
Refusez-vous tout lien social avec un non-chrétien ? Est-ce que vous ne confondez pas le christianisme avec une autre religion ?
A ceci, cher ademimo, je proposais à Alizée ceci :
Ombiace a écrit : ↑lun. 06 déc. 2021, 23:56
n'est ce pas ainsi que Jésus se positionna en allant manger chez le publicain Matthieu, sans le féliciter ni participer à ses activités abusives de publicain ?
C'est à cela que je trouverais pertinent d'apporter une réponse
@ tous, sauf Yohan,
Je trouve que le christianisme est aussi affaire de sens. Or, dans l'absolu, exploiter le
Milla a écrit : ↑mar. 07 déc. 2021, 17:58
"privilège paulin"
, ne serait ce qu'une fois, et même au cas où la première union du couple qui y aurait recours serait hors des clous catholiques, eh bien, cela ne constituerait-il pas un contre-témoignage chrétien et parental, délétère pour tout enfant né de cette première union?
Quel horizon en effet sera le sien, à cet enfant, dont le père ou la mère use de ce privilège ?
Le catholicisme qu'il aura connu, c'est celui de la partie catholique (l'un des conjoints) qui, une fois désengagée la partie non chrétienne (l'autre conjoint), comme Paul dans 1 Cor 7, 15 l'y autorise, se mettra à son tour à se désengager de cette union qui l'a fait naître.
Contracter une deuxième union avec un autre conjoint, ne serait il pas préjudiciable à l'estime que cet enfant aura de lui-même (puisque son existence n'aura pas suffi à garder l'engagement initial, alors que c'est peut-être en lui qu'aurait pu se trouver la motivation de demeurer engagé. Bref, il n'a pas le choix, il naît looser).
Le catholique averti ferait peut-être bien de lui tracer un chemin d'espérance, mais ça suppose de se démarquer du choix de remariage de ses parents.
Par ailleurs, je vous invite à mesurer jusqu'où peut conduire le fait d'être disciple de Notre Seigneur : Lc 14,
26 « Si quelqu’un vient à moi sans me préférer à son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères et sœurs, et même à sa propre vie, il ne peut pas être mon disciple.
Peut-être y a-t-il de véritables et profonds sacrifices derrière cette parole. Sinon, pourquoi Jésus l'a-t-il proférée ?
Je vous remercie de vos réponse à tous
[quote=ademimo post_id=443458 time=1638881295 user_id=17731]
Refusez-vous tout lien social avec un non-chrétien ? Est-ce que vous ne confondez pas le christianisme avec une autre religion ?
[/quote]A ceci, cher ademimo, je proposais à Alizée ceci :[quote=Ombiace post_id=443447 time=1638827782 user_id=9364]
n'est ce pas ainsi que Jésus se positionna en allant manger chez le publicain Matthieu, sans le féliciter ni participer à ses activités abusives de publicain ?
[/quote]C'est à cela que je trouverais pertinent d'apporter une réponse
@ tous, sauf Yohan,
Je trouve que le christianisme est aussi affaire de sens. Or, dans l'absolu, exploiter le[quote=Milla post_id=443468 time=1638892731 user_id=16348]
"privilège paulin"
[/quote], ne serait ce qu'une fois, et même au cas où la première union du couple qui y aurait recours serait hors des clous catholiques, eh bien, cela ne constituerait-il pas un contre-témoignage chrétien et parental, délétère pour tout enfant né de cette première union?
Quel horizon en effet sera le sien, à cet enfant, dont le père ou la mère use de ce privilège ?
Le catholicisme qu'il aura connu, c'est celui de la partie catholique (l'un des conjoints) qui, une fois désengagée la partie non chrétienne (l'autre conjoint), comme Paul dans 1 Cor 7, 15 l'y autorise, se mettra à son tour à se désengager de cette union qui l'a fait naître.
Contracter une deuxième union avec un autre conjoint, ne serait il pas préjudiciable à l'estime que cet enfant aura de lui-même (puisque son existence n'aura pas suffi à garder l'engagement initial, alors que c'est peut-être en lui qu'aurait pu se trouver la motivation de demeurer engagé. Bref, il n'a pas le choix, il naît looser).
Le catholique averti ferait peut-être bien de lui tracer un chemin d'espérance, mais ça suppose de se démarquer du choix de remariage de ses parents.
Par ailleurs, je vous invite à mesurer jusqu'où peut conduire le fait d'être disciple de Notre Seigneur : Lc 14,[quote]26 « Si quelqu’un vient à moi sans me préférer à son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères et sœurs, et même à sa propre vie, il ne peut pas être mon disciple.[/quote] Peut-être y a-t-il de véritables et profonds sacrifices derrière cette parole. Sinon, pourquoi Jésus l'a-t-il proférée ?