Tout est bien évidement question d'équilibre: ne pas se laisser dominer ne signifie pas se rebeller

[quote=Altior post_id=412038 time=1574974387 user_id=1720]
J'ai été beaucoup de fois en rapport dominant/dominé avec des personnes que j'ai apprécié, j'ai respecté, j'ai aimé et la relation a été réciproque pour la plupart.
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Bonjour Altior, et merci: Je suis bien d'accord avec ce que vous dites..

Je ne parlais pas de cette domination respectueuse et morale que vous mentionnez. Je parlais de celle de ces versets de Matthieu 20: "24Les dix, ayant entendu cela, furent indignés contre les deux frères. 25Jésus les appela, et dit: Vous savez que les chefs des nations les [u]tyrannisent[/u], et que les grands les[u] asservissent[/u]. 26Il n'en sera pas de même au milieu de vous. Mais quiconque veut être grand parmi vous, qu'il soit votre serviteur;…"

Sur ce site, c'est précisé :tyrannie, asservissement", sur ma bible, on parle de domination

Quant au couple, on peut peut-être aller jusqu'à parler d'avilissement
Quant à la politique, le leadership des dictateurs

[quote=pierrot2 post_id=412031 time=1574961010 user_id=9364]
Selon que l'on n'aime ni dominer, ni être dominé(1), ou à l'inverse, que l'on aime l'un ou/et l'autre(2), n'y a-t-il pas un impact direct sur le commandement premier de l'amour de Dieu ou du prochain?
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Négatif.
L'un n'implique pas l'autre. Le binôme dominant/dominé, tout comme le binôme codominant/codominé et leurs variations (dominance dans certains aspects, mais pas en d'autres) sont des questions de nature politique. Dans un groupe de gens et même dans un couple il y a des rapports politiques. Ces rapports n'ont rien à voir avec la relation d'amour.

Je n'aime pas Jésus Christ moins parce qu'il est mon Seigneur et mon Roi. Je pense que Lui non plus Il ne m'aime pas moins parce que je vois en Lui mon guide.

J'ai été beaucoup de fois en rapport dominant/dominé avec des personnes que j'ai apprécié, j'ai respecté, j'ai aimé et la relation a été réciproque pour la plupart. Pendant mes études universitaires, j'ai aimé particulièrement deux professeurs (un homme et une femme) qui me dominaient copieusement pas seulement par leur science, mais aussi par leur savoir faire et savoir vivre. Par leur goûts et par leur façon de s'exprimer. J'aime mes enfants et je sens qu'ils m'aiment aussi.

C'est pareil dans un couple. On peut s'aimer (ou, par contre, ne pas s'aimer) quelque soit le type de rapport politique en couple.

Selon que l'on n'aime ni dominer, ni être dominé(1), ou à l'inverse, que l'on aime l'un ou/et l'autre(2), n'y a-t-il pas un impact direct sur le commandement premier de l'amour de Dieu ou du prochain? Sur la manière dont on perçoit et exécute ce commandement?
Qu'en pensez-vous? Peut-on grandir en amour dans les deux registres?