par Altior » jeu. 27 févr. 2020, 23:08
Me soit-il permis de vous raconter ici une des meilleures blagues politiques que j'ai jamais entendu dans la période communiste.
Il est dit que la CIA préparait avec patience des espions pour être envoyés dans l'Union Soviétique. Ainsi, les meilleurs d'une promotion de l'école de la CIA ont été préparés astucieusement, pendant quatre années, pour sembler de vrais Russes. Matin, midi et soir ils ont suivi des cours de langue russe jusqu'à parler sans aucun accent. Ils ont appris des danses russes et dansaient merveilleusement bien. Ils jouaient de la balalaika, ils buvaient de la vodka à la place de l'eau et ainsi de suite.
Lorsque leurs formateurs sont arrivés à la conclusion qu'il n'y a plus rien à leur apprendre, trois des meilleurs formés ont été parachutés, en nuit profonde, sur les champs déserts de la Russie. Le matin, après une marche soutenue, ils arrivèrent dans un petit village. Là, ils voient un paysan en charrette qui manifestement allait en ville. Heureux, ils demandent, dans une langue russe parfaite, qu'ils montent dans sa charrette. «Je ne permets pas aux espions américains de monter dans ma charrette» fut la réponse surprenante. «Voilà un fou. Sinon un mystique russe!» ils pensèrent et, après une nouvelle marche, ils arrivèrent à pied dans la petite ville. Là, ils se rendent à la gare et ils demandent des billets jusqu'à Moscou. «Désolé, mais nous ne vendons pas de billets de trains aux espions américains!» dit aigrement la guichetière. Ebahis, ils se rendent compte que leur mission est en danger. Ils entrent dans un bar où on ne sert pas de vodka aux espions américains, et ainsi de suite. Finalement, ils arrivent dans un ville plus grande, ils se rendent au commandement de la NKVD départementale et, pleins d'amertume, ils avouent au commandant de la police politique qu'ils sont bien des espions. «Oui, c'est évident!». «Mais, Monsieur le commandant, maintenant, quand après tant d'années de formation notre mission a échoué dès les premiers pas, nous vous prions de nous faire une faveur : comment ça se fait que tout le monde nous reconnait pour être des américains, et encore des espions ?». «Eh, dites aux crétins qui vous ont envoyés ici : la prochaine fois il ne faut pas envoyer des noirs qui font mine d'être des Russes!»
Me soit-il permis de vous raconter ici une des meilleures blagues politiques que j'ai jamais entendu dans la période communiste.
Il est dit que la CIA préparait avec patience des espions pour être envoyés dans l'Union Soviétique. Ainsi, les meilleurs d'une promotion de l'école de la CIA ont été préparés astucieusement, pendant quatre années, pour sembler de vrais Russes. Matin, midi et soir ils ont suivi des cours de langue russe jusqu'à parler sans aucun accent. Ils ont appris des danses russes et dansaient merveilleusement bien. Ils jouaient de la [i]balalaika[/i], ils buvaient de la vodka à la place de l'eau et ainsi de suite.
Lorsque leurs formateurs sont arrivés à la conclusion qu'il n'y a plus rien à leur apprendre, trois des meilleurs formés ont été parachutés, en nuit profonde, sur les champs déserts de la Russie. Le matin, après une marche soutenue, ils arrivèrent dans un petit village. Là, ils voient un paysan en charrette qui manifestement allait en ville. Heureux, ils demandent, dans une langue russe parfaite, qu'ils montent dans sa charrette. «Je ne permets pas aux espions américains de monter dans ma charrette» fut la réponse surprenante. «Voilà un fou. Sinon un mystique russe!» ils pensèrent et, après une nouvelle marche, ils arrivèrent à pied dans la petite ville. Là, ils se rendent à la gare et ils demandent des billets jusqu'à Moscou. «Désolé, mais nous ne vendons pas de billets de trains aux espions américains!» dit aigrement la guichetière. Ebahis, ils se rendent compte que leur mission est en danger. Ils entrent dans un bar où on ne sert pas de vodka aux espions américains, et ainsi de suite. Finalement, ils arrivent dans un ville plus grande, ils se rendent au commandement de la NKVD départementale et, pleins d'amertume, ils avouent au commandant de la police politique qu'ils sont bien des espions. «Oui, c'est évident!». «Mais, Monsieur le commandant, maintenant, quand après tant d'années de formation notre mission a échoué dès les premiers pas, nous vous prions de nous faire une faveur : comment ça se fait que tout le monde nous reconnait pour être des américains, et encore des espions ?». «Eh, dites aux crétins qui vous ont envoyés ici : la prochaine fois il ne faut pas envoyer des noirs qui font mine d'être des Russes!»