par cmoi » dim. 09 août 2020, 6:52
Je reviens ici, finalement il n'y avait pas tant d'autres points "prioritaires" en attendant vos réponses...
Certes, il y a la biologie, le système nerveux et le cerveau.
Mais entre deux pensées, vous reconnaîtrez que l'une peut être plus "élevée" ou "généreuse que l'autre, que le choix de la retenir pour guide personnel et construire votre vie ne relève pas d'autre chose de ce qui peut s'appeler l'âme/le coeur/ l'esprit peu importe le mot que vous y mettrez, mais toutes deux existent de façon équivalentes, ce choix n'est pas que dû à la physique ni au émotions ou à l'inconscient... Et pourtant il les influence, en cela je vous suis, et déclenche des réaction chimiques différentes, d'autant plus que ce n'est pas que la question de ce choix que je veux citer, mais la façon de mettre en relation les idées, etc.
Quand il ne s'agit que d'une "matière" (histoire-géo-sciences, lettres) et que la question peut se poser en seuls termes de capacité, de mémorisation, de raisonnement, je veux bien vous suivre, mais quand cela relève de la conscience, du sens du bien et du mal, sans aller jusqu'à parler de"libre-arbitre", j'ai du mal à croire que vous puissiez réduire tout à des échanges chimiques. Ils interviennent avant et après, je veux bien, mais il y a un point d'équilibre où pour moi ils sont insuffisants pour tout expliquer. Nous serions sinon des robots programmés...
On peut "perdre la tête" (alzheimer ou autre) il n'en reste pas moins qu'i y a quelque chose qui est nous et qui reste indépendant, unique, non reproductible, imprévisible
Vous ne pensez quand même pas que pardonner, se venger, se repentir, regretter, les sentiments, soient des "illusions sensibles"?
Qu'il n'y a aucune différence entre choisir d'aller au cinéma ou au bowling, et choisir de pardonner ou de se venger, sinon dans les enzymes activés ?
Je dois faire selon vous un amalgame, mais lequel ?
Je reviens ici, finalement il n'y avait pas tant d'autres points "prioritaires" en attendant vos réponses...
Certes, il y a la biologie, le système nerveux et le cerveau.
Mais entre deux pensées, vous reconnaîtrez que l'une peut être plus "élevée" ou "généreuse que l'autre, que le choix de la retenir pour guide personnel et construire votre vie ne relève pas d'autre chose de ce qui peut s'appeler l'âme/le coeur/ l'esprit peu importe le mot que vous y mettrez, mais toutes deux existent de façon équivalentes, ce choix n'est pas que dû à la physique ni au émotions ou à l'inconscient... Et pourtant il les influence, en cela je vous suis, et déclenche des réaction chimiques différentes, d'autant plus que ce n'est pas que la question de ce choix que je veux citer, mais la façon de mettre en relation les idées, etc.
Quand il ne s'agit que d'une "matière" (histoire-géo-sciences, lettres) et que la question peut se poser en seuls termes de capacité, de mémorisation, de raisonnement, je veux bien vous suivre, mais quand cela relève de la conscience, du sens du bien et du mal, sans aller jusqu'à parler de"libre-arbitre", j'ai du mal à croire que vous puissiez réduire tout à des échanges chimiques. Ils interviennent avant et après, je veux bien, mais il y a un point d'équilibre où pour moi ils sont insuffisants pour tout expliquer. Nous serions sinon des robots programmés...
On peut "perdre la tête" (alzheimer ou autre) il n'en reste pas moins qu'i y a quelque chose qui est nous et qui reste indépendant, unique, non reproductible, imprévisible
Vous ne pensez quand même pas que pardonner, se venger, se repentir, regretter, les sentiments, soient des "illusions sensibles"?
Qu'il n'y a aucune différence entre choisir d'aller au cinéma ou au bowling, et choisir de pardonner ou de se venger, sinon dans les enzymes activés ?
Je dois faire selon vous un amalgame, mais lequel ?