par stephlorant » mer. 20 juil. 2011, 22:12
Je peux dire que je vous rejoins. Moi non plus, je ne comprends plus.
Mais c'est peut-être seulement que j'y vois plus clair ? Avec mes 55 ans, j'ai pris un 'coup de bambou' et j'ai ouvert les yeux: si cela continue ainsi, il n'y aura (en tout cas dans ma ville) plus d'églises où communier en semaine et il faudra attendre la prochaine grande fête (l'Assomption - mais j'en doute, c'est encore en plein dans les vacances... ) pour trouver une 'vraie' célébration du sacrement de réconciliation. J'ai pourtant besoin de ce sacrement pour confier simplement l'état de mon âme, car elle est confuse, elle sent que des démons rôdent partout et qu'il faut veiller trois fois plus qu'autrefois. J'ai besoin de conseils qui sortent de la bouche d'un prêtre à l'étole au moment de la confession - car c'est toujours Jésus lui-même qui parle à la place du prêtre, en utilisant ses cordes vocales, j'en ai eu la preuve un jour. Je dois aussi me résigner, mais avec force, mais avec foi !, de savoir que quoi qu'il m'arrive d'ici à revoir mon père décédé, je n'aurai que le Seigneur sur qui compter. Les familles sont disloquées, les coeurs ne reconnaissent même plus la beauté de la nature, c'est une époque de zombies, c'est un temps d'égarement du plus grand nombre d'âmes (oui, c'est vrai que je suis pessimiste, à présent !)
Aujourd'hui, toutefois, comme j'assistais une personne âgée dans son fauteuil roulant, puis une autre, et encore, lorsque je me suis précipité pour ramasser un couvert tombé (on ne sait pas préméditer ce type de geste), j'ai un bref instant, ressenti que Jésus me faisait comme un clin d'oeil : "Tu vois ? Je t'emploie encore !) Sinon je suis comme vous, tout le temps en train de gémir vers le Seigneur en demandant son secours...
Vous êtes dans ma prière.
Je peux dire que je vous rejoins. Moi non plus, je ne comprends plus.
Mais c'est peut-être seulement que j'y vois plus clair ? Avec mes 55 ans, j'ai pris un 'coup de bambou' et j'ai ouvert les yeux: si cela continue ainsi, il n'y aura (en tout cas dans ma ville) plus d'églises où communier en semaine et il faudra attendre la prochaine grande fête (l'Assomption - mais j'en doute, c'est encore en plein dans les vacances... ) pour trouver une 'vraie' célébration du sacrement de réconciliation. J'ai pourtant besoin de ce sacrement pour confier simplement l'état de mon âme, car elle est confuse, elle sent que des démons rôdent partout et qu'il faut veiller trois fois plus qu'autrefois. J'ai besoin de conseils qui sortent de la bouche d'un prêtre à l'étole au moment de la confession - car c'est toujours Jésus lui-même qui parle à la place du prêtre, en utilisant ses cordes vocales, j'en ai eu la preuve un jour. Je dois aussi me résigner, mais avec force, mais avec foi !, de savoir que quoi qu'il m'arrive d'ici à revoir mon père décédé, je n'aurai que le Seigneur sur qui compter. Les familles sont disloquées, les coeurs ne reconnaissent même plus la beauté de la nature, c'est une époque de zombies, c'est un temps d'égarement du plus grand nombre d'âmes (oui, c'est vrai que je suis pessimiste, à présent !)
Aujourd'hui, toutefois, comme j'assistais une personne âgée dans son fauteuil roulant, puis une autre, et encore, lorsque je me suis précipité pour ramasser un couvert tombé (on ne sait pas préméditer ce type de geste), j'ai un bref instant, ressenti que Jésus me faisait comme un clin d'oeil : "Tu vois ? Je t'emploie encore !) Sinon je suis comme vous, tout le temps en train de gémir vers le Seigneur en demandant son secours...
Vous êtes dans ma prière.