par zélie » jeu. 15 juil. 2010, 23:05
Autant il me semble que devant un pervers sexuel, qui est avant tout un malade très souvent inguérissable, (perversion), je pense qu'il est sage de l'éloigner de toutes façons possibles de ses "tentations", exactement comme on ne mettrait jamais un chien devant un steak sans défense, car en fait cela revient à pousser le chien au "crime", et en cela je trouve très bien que les prêtres soient éloignés d'une prêtrise qui ne peut les aider à être soignés, autant il me semble important de retenir dans toutes ces affaires que l'amour, la compassion, doivent être longanimes envers les malades.
Je ne sais ce que peut devenir un prêtre révoqué, mais il me semble que quand on est allé jusqu'à son ordination, l'Eglise doit prendre soin de ses membres, surtout des plus malades et des plus méprisés, de ceux qui sont perçus comme la honte de l'humanité, quitte pour cela de devoir résister à la pression médiatique et d'y laisser quelques plumes d'image.
Je fais cependant confiance à l'Eglise pour soulever ce point de réflexion, celui du devenir de ses membres malades, pour trouver des solutions pour ces personnes, même si pour cela il est préférable pour qu'il n'y ait plus de victimes de leur ôter définitivement toute prêtrise, la prévention d'une possible récidive devant dicter de prime abord toute décision.
J'espère seulement que pour le bien de ces malades et de la société, ils ne seront pas rendus à la vie civile, cumulant maladie et rancoeur, et rien ne les empêchant vraiment après la prison d'approcher d'autres victimes, aussi bien pour le bien d'eux-mêmes que pour celui des victimes.
Que le cheminement de ces âmes malades, eux aussi en route pour le Ciel, eux aussi inifiniment aimés de Dieu, soit au coeur de la réflexion de l'Eglise.
Autant il me semble que devant un pervers sexuel, qui est avant tout un malade très souvent inguérissable, (perversion), je pense qu'il est sage de l'éloigner de toutes façons possibles de ses "tentations", exactement comme on ne mettrait jamais un chien devant un steak sans défense, car en fait cela revient à pousser le chien au "crime", et en cela je trouve très bien que les prêtres soient éloignés d'une prêtrise qui ne peut les aider à être soignés, autant il me semble important de retenir dans toutes ces affaires que l'amour, la compassion, doivent être longanimes envers les malades.
Je ne sais ce que peut devenir un prêtre révoqué, mais il me semble que quand on est allé jusqu'à son ordination, l'Eglise doit prendre soin de ses membres, surtout des plus malades et des plus méprisés, de ceux qui sont perçus comme la honte de l'humanité, quitte pour cela de devoir résister à la pression médiatique et d'y laisser quelques plumes d'image.
Je fais cependant confiance à l'Eglise pour soulever ce point de réflexion, celui du devenir de ses membres malades, pour trouver des solutions pour ces personnes, même si pour cela il est préférable pour qu'il n'y ait plus de victimes de leur ôter définitivement toute prêtrise, la prévention d'une possible récidive devant dicter de prime abord toute décision.
J'espère seulement que pour le bien de ces malades et de la société, ils ne seront pas rendus à la vie civile, cumulant maladie et rancoeur, et rien ne les empêchant vraiment après la prison d'approcher d'autres victimes, aussi bien pour le bien d'eux-mêmes que pour celui des victimes.
Que le cheminement de ces âmes malades, eux aussi en route pour le Ciel, eux aussi inifiniment aimés de Dieu, soit au coeur de la réflexion de l'Eglise.