J'avoue que cette réponse contient un zeste d'humour très récréatif, pour un sujet qui reste le plus sérieux qui soit et défendre une des plus fortes lapalissades du dogme.
Certes, si l'enfer existe, il n'a pas été prouvé/affirmé qu'il s'y trouvait un humain. Mais aussi, aucune preuve n'en est possible. Et il y a quand même pas mal d'interventions de nature surnaturelle où des morts affirment par exemple y être, où la vierge en montre le lieu comme habité à des voyants, etc.
Curieusement, personne ne met en doute que des anges s'y trouvent devenus démons.
Qui s'inquiète autant de la survie de nos amis les bêtes ?
Il y a me semble-t-il un petit réflexe de survie/solidarité au niveau de l'espèce qui explique plus de choses que la théologie ou la soif de justice/miséricorde.
Je ne vois pas pourquoi un homme qui s'adonnerait au mal le ferait nécessairement à regret, à contre cœur, faute de mieux, parce qu'il a eu une enfance comme ci ou come çà, etc..
J'envie vraiment ceux qui n'ont pas connu de personne qui leur fasse espérer qu'il sera possible de n'en être plus approché, qui leur fasse comprendre que l'espoir de les convertir serait non seulement inespéré et demanderait un miracle, mais serait presque une injustice tant cela demanderait de contraindre leur goût et leur liberté.- Elles sont très loin d'être contraintes à faire le mal !