Vous devez vous douter que ce n'est pas ma position; nous devons aimer le prochain quel qu'il soit, et quoiqu'il ait fait.
Mais de même que Jésus, tout en aimant probablement Satan, n'accepte pas de se prosterner devant lui, de même nous, tout en aimant le prochain, ami ou ennemi, de charité, nous n'avons pas à nourrir de sentiments amoureux pour lui, lorsqu'il se comporte au mépris des valeurs chrétiennes.
C'est tout l'objet de ce fil, avec en corollaire cette impression que d'avoir de l'antipathie pour le rejet du christianisme par le conjoint devrais, je trouve, conduire à décliner ses avances, par égard pour lui et pour ce qu'il est en droit d'attendre de l'amour, i.e., des sentiments amoureux, ne vous en déplaise.
Ou alors, il faudrait ranger dans la catégorie du péché le sentiment amoureux. Le feriez-vous?