Bonjour ,
Voila hier j'ai eu un probléme avec mon pére..
Je me suis lever pour allez a la messe et quand je suis sortit de chez moi mon pére ma dit " tu va ou ? " je lui et dit " a la messe " et il ma répondu " non tu n'y vas pas et je vais t’amener voir un psy si tu continue comme ça "
Voila se qu'il a dit ma beaucoup blesser , il n'accepte pas ma religion et le choix que j'ai fait de donner ma vie a servir Dieu le tout puissant.. Je prie pour que Dieu m'aide dans cette situation délicate avec mon pére ..
J'aurais besoin de conseil pour que mon pére accepte enfin Dieu dans ma vie et peut etre meme dans la sienne il n'est jamais trop tard pour recevoir le pardon et l'amour de Dieu
Cordialement ,
Mon pére..
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Forum d'échange entre chrétiens sur la façon de vivre l'Évangile au quotidien, dans chacun des domaines de l'existence
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Steven-31490
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- Inscription : dim. 19 août 2012, 1:53
Mon pére..
Que Dieu notre sauveur vous bénisse !
Re: Mon pére..
Evangiler serait un bon premier pas 
et oui au psy avec lui alors
Fraternellement Julien
et oui au psy avec lui alors
Fraternellement Julien
Re: Mon pére..
De conseils ? Il n'y en a qu'un : priez que Dieu donne une grâce de conversion à votre père, offrez vos souffrances à ce sujet en vous souvenant que Jésus lui-même a été rejeté par les siens, et bien sûr aimez votre père de tout votre coeur.
Bon courage et que Dieu vous bénisse, ainsi que votre père.
Fraternellement,
Bon courage et que Dieu vous bénisse, ainsi que votre père.
Fraternellement,
« Dieu fournit le vent. A l'homme de hisser la voile. » (Saint Augustin)
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Steven-31490
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Re: Mon pére..
Merci beaucoup c'est vrai que Jésus a était rejeter des siens . C'est simplement une épreuve a traverser et ne vous inquiétez pas j'aime énormément mon père.
Merci infiniment que Dieu vous bénisse
Cordialement ,
Merci infiniment que Dieu vous bénisse
Cordialement ,
Que Dieu notre sauveur vous bénisse !
Re: Mon pére..
SE prendre un tel retour paternel doit être bien douloureux. Que Jésus apaise votre peine et le coeur de votre père.
Je pense que pour décrire une situation pareille vous devez être bien jeune, avoir un âge où votre père est plein d'inquiétude pour vous. Souvent les pères inquiets sont coléreux.
Acceptez d'aller chez un psy, il ne vous déroutera pas de ce qui doit être votre chemin, ce serait contraire à sa déontologie. Mais lancé comme ça, je pense que c'est un coup de bluff de votre père, un mot qui résume toute son impuissance et sa douleur de ne pouvoir vous circonscrire comme quand vous étiez petit.
Restez en paix en voyant ce qui est signifié au delà des mots. Votre père vous aime, il vous veut sain et équilibré, heureux, épanoui, pas récupéré par un mouvement ou une secte. Il est donc aussi bon que tous les pères.
Vous savez, ce qui calme les inquiets en colère, c'est le sentiment de sécurité. Il faut les rassurer. On rassure quand on prend patience et qu'on obéit promptement et sans répondre, on rassure aussi en assumant sans crainte en répondant de sa foi comme quelque chose de solide et de sain le jour où il vous faudra en répondre, et si c'est votre chemin.
En attendant, -et toujours si c'est là que vous sentez votre chemin-, priez pour que les nuages s'effacent ou tout au moins s'adoucissent. Mais restez toujours authentique avec vous-même; ne venez à une philosophie, une religion, une idée, que si vous adhérez vraiment à cela, si cela prend corps en vous, sinon, continuez ailleurs votre route; les chemins de l'épanouissement personnel sont multiples et uniques, et vous ne devez rien à personne, ni prêtre ni autre; vous ne devez intégrité qu'à vous-même et à votre conscience.
Certes, comme un croyant je suis heureuse de voir partager une foi douce et aimante qui rassemble et apprend à aimer.
Mais jamais au prix de la totale conscience de l'acte entrepris; si vous êtes très jeune, comme je le pense, et que la religion catholique est pour vos parents un chemin de perdition, je pense que vous avez des actes de construction de soi à poser pour vous positionner, de façon plus mature, face à la foi et ses exigences, face à vos parents et votre famille, face à vous-même surtout; ne vous engagez pas sur un chemin qui ne serait pas véritablement le votre simplement sous le coup d'un questionnement passager. Soyez-vous fidèle.
Les choses ne sont jamais figées d'autre part; Dieu vous trouvera, où que vous soyez, si vous voulez un tant soit peu qu'il vous trouve. Si vous êtes absolument sûr de votre choix, priez et continuez à aller à la messe, autant de fois que nécessaire, calmement, tranquillement sans vous préoccuper des avis. Les choses qui sont aujourd'hui conflictuelles se décanteront, et tout comme les bonnes choses ont une fin, soyez assuré que les mauvais moments ont aussi une fin.
Vous savez, je viens d'une famille catholique par tradition, pratiquante à minima. Avec une vision très détachée de la foi. La foi c'est une fois de temps en temps à la messe et ensuite on oublie. Jamais la foi ne doit poser son empreinte dans la vie quotidienne.
Autant d'hypocrisie et d'indifférence m'ont fait rejeter la foi. Communiste, scientifique et athée, j'étais un champion du rationnalisme.
Jusqu'au jour où... la Foi est arrivée, comme Zorro, mais en se pressant.
De ce jour ma vie a fait un virage à 180 degrés; le chapelet, la messe, la prière, le pèlerinage, le catéchisme, et des tas d'autres choses spirituelles et intimes sont entrés dans ma vie quotidienne.
Autant vous dire que ça fait 20 ans que ma mère essaie de calmer mes ardeurs sans succès, que tout le monde est ravi de se payer la poire de la nana qui avait réponse à tout et qui ne la ramène plus, que j'ai droit à chaque coup de téléphone à une pique sur ma croyance, et que parfois j'en ai pleuré, détruite pour des semaines, à me remettre de tout ce que je subissais.
Bizarrement rien ne m'a détournée de Dieu; parce qu'en reconnaissant Son Existence je pose l'acte le plus intègre qui soit envers moi-même; en faisant cela je suis cohérente et je me respecte dans ce que j'ai de plus profond, essentiel. Je rétablis ma vérité aux yeux du monde. ET il est bien évident que personne ne pourrait vivre autrement que cela, que dans la vérité. On ne pourrait même pas vivre dans une demi-vérité. C'est tout ou rien.
Aussi tant pis, je n'attends rien de personne, je fais et je laisse braire. Je ne changerai pas le monde, je ne changerai pas ma famille. Avec le temps et devant ce qu'accomplit mon quotidien compliqué, ils finissent par se calmer, s'assagir; en effet, je ne me balade pas couverte d'une seule feuille de vigne ou embrigadant tous ceux qui me croisent. Je fais face à tout ce qui m'arrive; le temps joue pour construire l'image de quelqu'un de solide dont il n'y a rien à redouter et cela, les rassurant, leur rend leur chaleur d'antan. Ils se peut que la rencontre de ma Foi soit l'histoire de toute une vie pour eux, ou pas. La balle est dans le camp d'en face, moi j'ai les bras ouverts... même aux piques.
Votre papa me fait penser à ma maman; mais je pense que la mienne était un peu plus douce.
Un jour mon chat avait trouvé un de mes chapelets et se l'était entortillé tellement qu'il se promenait ficelé comme un rôti.
C'est ma mère qui l'a trouvé; sa tête fut un poème ; la force de son silence assourdissait l'espace. Tellement que n'y tenant plus ... j'ai rigolé, et que tout le monde a suivi (sauf elle). C'est extrêmement libérateur le rire... quand on sait en saisir l'occasion.
De ce jour, même si je n'ai récolté l'approbation de personne, il a été établi aux yeux de tous que j'avais une vie de prière prégnante, que ça m'allait comme ça, et que je n'avais pas l'intention de changer, et que j'assumais ce que je faisais, et que non je n'allais ni me justifier, ni répondre aux questions, ni faire un cours sur la théologie de la prière.
ET du coup personne n'a osé critiquer tout haut; je les accepte comme ils sont, ils m'acceptent comme je suis.
L'acceptation d'une différence se fait pas à pas, surtout dans une famille, qui ne peut être indifférente, qui vibre avec vous du moindre de vos soucis. L'amour parental a vite fait de prendre en otage, mais c'est involontaire, et c'est persuadé que c'est pour la bonne cause.
Donnez du temps au temps pour que ça les rassure, que ça vous renforce vous. Soyez patient, tout ne viendra pas en un jour, mais sachez que ce qui vient lentement vient bien plus sereinement et solidement, et dans les choix de vie, c'est dans la durée qu'on s'inscrit.
J'espère de tout coeur que vos relations avec vos parents s'apaiseront et que vos chemins -de foi et autres-, renforceront votre liens familiaux.
Bon courage, et si pour vous la foi est une réalité, demandez à votre ange gardien, quand vous redoutez une rencontre, d'aider l'autre à être bien disposé envers vous et vous envers l'autre. J'ai appris ça il y a des années, et je l'utilise tous les jours; ça m'aide beaucoup.
Je pense que pour décrire une situation pareille vous devez être bien jeune, avoir un âge où votre père est plein d'inquiétude pour vous. Souvent les pères inquiets sont coléreux.
Acceptez d'aller chez un psy, il ne vous déroutera pas de ce qui doit être votre chemin, ce serait contraire à sa déontologie. Mais lancé comme ça, je pense que c'est un coup de bluff de votre père, un mot qui résume toute son impuissance et sa douleur de ne pouvoir vous circonscrire comme quand vous étiez petit.
Restez en paix en voyant ce qui est signifié au delà des mots. Votre père vous aime, il vous veut sain et équilibré, heureux, épanoui, pas récupéré par un mouvement ou une secte. Il est donc aussi bon que tous les pères.
Vous savez, ce qui calme les inquiets en colère, c'est le sentiment de sécurité. Il faut les rassurer. On rassure quand on prend patience et qu'on obéit promptement et sans répondre, on rassure aussi en assumant sans crainte en répondant de sa foi comme quelque chose de solide et de sain le jour où il vous faudra en répondre, et si c'est votre chemin.
En attendant, -et toujours si c'est là que vous sentez votre chemin-, priez pour que les nuages s'effacent ou tout au moins s'adoucissent. Mais restez toujours authentique avec vous-même; ne venez à une philosophie, une religion, une idée, que si vous adhérez vraiment à cela, si cela prend corps en vous, sinon, continuez ailleurs votre route; les chemins de l'épanouissement personnel sont multiples et uniques, et vous ne devez rien à personne, ni prêtre ni autre; vous ne devez intégrité qu'à vous-même et à votre conscience.
Certes, comme un croyant je suis heureuse de voir partager une foi douce et aimante qui rassemble et apprend à aimer.
Mais jamais au prix de la totale conscience de l'acte entrepris; si vous êtes très jeune, comme je le pense, et que la religion catholique est pour vos parents un chemin de perdition, je pense que vous avez des actes de construction de soi à poser pour vous positionner, de façon plus mature, face à la foi et ses exigences, face à vos parents et votre famille, face à vous-même surtout; ne vous engagez pas sur un chemin qui ne serait pas véritablement le votre simplement sous le coup d'un questionnement passager. Soyez-vous fidèle.
Les choses ne sont jamais figées d'autre part; Dieu vous trouvera, où que vous soyez, si vous voulez un tant soit peu qu'il vous trouve. Si vous êtes absolument sûr de votre choix, priez et continuez à aller à la messe, autant de fois que nécessaire, calmement, tranquillement sans vous préoccuper des avis. Les choses qui sont aujourd'hui conflictuelles se décanteront, et tout comme les bonnes choses ont une fin, soyez assuré que les mauvais moments ont aussi une fin.
Vous savez, je viens d'une famille catholique par tradition, pratiquante à minima. Avec une vision très détachée de la foi. La foi c'est une fois de temps en temps à la messe et ensuite on oublie. Jamais la foi ne doit poser son empreinte dans la vie quotidienne.
Autant d'hypocrisie et d'indifférence m'ont fait rejeter la foi. Communiste, scientifique et athée, j'étais un champion du rationnalisme.
Jusqu'au jour où... la Foi est arrivée, comme Zorro, mais en se pressant.
De ce jour ma vie a fait un virage à 180 degrés; le chapelet, la messe, la prière, le pèlerinage, le catéchisme, et des tas d'autres choses spirituelles et intimes sont entrés dans ma vie quotidienne.
Autant vous dire que ça fait 20 ans que ma mère essaie de calmer mes ardeurs sans succès, que tout le monde est ravi de se payer la poire de la nana qui avait réponse à tout et qui ne la ramène plus, que j'ai droit à chaque coup de téléphone à une pique sur ma croyance, et que parfois j'en ai pleuré, détruite pour des semaines, à me remettre de tout ce que je subissais.
Bizarrement rien ne m'a détournée de Dieu; parce qu'en reconnaissant Son Existence je pose l'acte le plus intègre qui soit envers moi-même; en faisant cela je suis cohérente et je me respecte dans ce que j'ai de plus profond, essentiel. Je rétablis ma vérité aux yeux du monde. ET il est bien évident que personne ne pourrait vivre autrement que cela, que dans la vérité. On ne pourrait même pas vivre dans une demi-vérité. C'est tout ou rien.
Aussi tant pis, je n'attends rien de personne, je fais et je laisse braire. Je ne changerai pas le monde, je ne changerai pas ma famille. Avec le temps et devant ce qu'accomplit mon quotidien compliqué, ils finissent par se calmer, s'assagir; en effet, je ne me balade pas couverte d'une seule feuille de vigne ou embrigadant tous ceux qui me croisent. Je fais face à tout ce qui m'arrive; le temps joue pour construire l'image de quelqu'un de solide dont il n'y a rien à redouter et cela, les rassurant, leur rend leur chaleur d'antan. Ils se peut que la rencontre de ma Foi soit l'histoire de toute une vie pour eux, ou pas. La balle est dans le camp d'en face, moi j'ai les bras ouverts... même aux piques.
Votre papa me fait penser à ma maman; mais je pense que la mienne était un peu plus douce.
Un jour mon chat avait trouvé un de mes chapelets et se l'était entortillé tellement qu'il se promenait ficelé comme un rôti.
C'est ma mère qui l'a trouvé; sa tête fut un poème ; la force de son silence assourdissait l'espace. Tellement que n'y tenant plus ... j'ai rigolé, et que tout le monde a suivi (sauf elle). C'est extrêmement libérateur le rire... quand on sait en saisir l'occasion.
De ce jour, même si je n'ai récolté l'approbation de personne, il a été établi aux yeux de tous que j'avais une vie de prière prégnante, que ça m'allait comme ça, et que je n'avais pas l'intention de changer, et que j'assumais ce que je faisais, et que non je n'allais ni me justifier, ni répondre aux questions, ni faire un cours sur la théologie de la prière.
ET du coup personne n'a osé critiquer tout haut; je les accepte comme ils sont, ils m'acceptent comme je suis.
L'acceptation d'une différence se fait pas à pas, surtout dans une famille, qui ne peut être indifférente, qui vibre avec vous du moindre de vos soucis. L'amour parental a vite fait de prendre en otage, mais c'est involontaire, et c'est persuadé que c'est pour la bonne cause.
Donnez du temps au temps pour que ça les rassure, que ça vous renforce vous. Soyez patient, tout ne viendra pas en un jour, mais sachez que ce qui vient lentement vient bien plus sereinement et solidement, et dans les choix de vie, c'est dans la durée qu'on s'inscrit.
J'espère de tout coeur que vos relations avec vos parents s'apaiseront et que vos chemins -de foi et autres-, renforceront votre liens familiaux.
Bon courage, et si pour vous la foi est une réalité, demandez à votre ange gardien, quand vous redoutez une rencontre, d'aider l'autre à être bien disposé envers vous et vous envers l'autre. J'ai appris ça il y a des années, et je l'utilise tous les jours; ça m'aide beaucoup.
L’intégrisme est un refuge pour la misère parce qu’il offre un sursaut d’espérance à ceux qui n’ont rien.
Que leur mal disparaisse, et l’intégrisme perdra ses troupes. L'Abbé Pierre
Vis vraiment chaque instant. Fais-le meilleur. Aime-le. Chéris-le. Fais-le beau, bon pour toi-même et pour Ton DIEU. Ne néglige pas les petites choses. Fais-les avec Moi, doucement. Fais de ta maison un Carmel où Je puisse Me reposer. Jésus, Premier Cahier d'Amour
Que leur mal disparaisse, et l’intégrisme perdra ses troupes. L'Abbé Pierre
Vis vraiment chaque instant. Fais-le meilleur. Aime-le. Chéris-le. Fais-le beau, bon pour toi-même et pour Ton DIEU. Ne néglige pas les petites choses. Fais-les avec Moi, doucement. Fais de ta maison un Carmel où Je puisse Me reposer. Jésus, Premier Cahier d'Amour
Re: Mon pére..
Je me reconnais énormément dans votre témoignage si ce n'est que ma famille est athée (sauf ma mère qui est musulmane non pratiquante). Moi aussi j'ai rejeté toutes les choses de la Foi avec véhémence, pensant que j'avais la vérité et que ce n'était que des fables. Mais comme vous, la Foi m'a appelée et j'ai également fait un virage à 180° dans ma vie : mes parents ne sont pas encore au courant pour ma volonté de me convertir mais je suis sûre qu'ils ne l'accueilleront pas d'un bon oeil! Qu'importe, j'ai enfin trouvé mon chemin et je sais que de toute façon ils m'aimeront comme je suisAutant d'hypocrisie et d'indifférence m'ont fait rejeter la foi. Communiste, scientifique et athée, j'étais un champion du rationnalisme.
Jusqu'au jour où... la Foi est arrivée, comme Zorro, mais en se pressant.
En tout cas Steven, zelie à tout dis pour les conseils il me semble : il faut se contenter d'être soi même et de se sentir en harmonie. Il est normal que ton père émette des réserves s'il n'a pas la Foi - c'est parce qu'il t'aime et veut pour toi le meilleur - peut-être qu'il changera d'avis avec le temps en te voyant épanoui
C'est ce que je te souhaite de tout coeur!
Re: Mon pére..
Mon ami, si vous voulez un conseil, par rapport à votre père ... Ce que je peux vous dire, c'est que si
1- vous êtes sur de vous, que
2-vous montrez que votre foi n'est pas le résultat d'un malaise psychologique, d'un manque, etc, et que
3- vous savez répondre tranquillement, sans angoisse, sans agressivité, sans stresse, sans doutes, etc,
Alors le comportement de votre père devrait changer du tout au tout. Si malgré ça il s'acharne contre vous, peut-être pourriez vous vivre votre spiritualité discrètement, pour vous, sans faire trop de bruit dans votre entourage.
"Où tu vas ?
-Me promener, j'ai envie d'aller faire un tour, j'aime pas rester enfermé, je serai de retour pour manger t'inquiète pas..."
En dernier recours ... Sinon, un comportement adapté résout tous les problèmes ...
1- vous êtes sur de vous, que
2-vous montrez que votre foi n'est pas le résultat d'un malaise psychologique, d'un manque, etc, et que
3- vous savez répondre tranquillement, sans angoisse, sans agressivité, sans stresse, sans doutes, etc,
Alors le comportement de votre père devrait changer du tout au tout. Si malgré ça il s'acharne contre vous, peut-être pourriez vous vivre votre spiritualité discrètement, pour vous, sans faire trop de bruit dans votre entourage.
"Où tu vas ?
-Me promener, j'ai envie d'aller faire un tour, j'aime pas rester enfermé, je serai de retour pour manger t'inquiète pas..."
En dernier recours ... Sinon, un comportement adapté résout tous les problèmes ...
-
Mac
- Tribunus plebis
- Messages : 3962
- Inscription : lun. 09 févr. 2009, 23:40
- Localisation : la Réunion
Re: Mon pére..
Bonjour Jessica,Jessica a écrit :..."Où tu vas ?
-Me promener, j'ai envie d'aller faire un tour, j'aime pas rester enfermé, je serai de retour pour manger t'inquiète pas..."
En dernier recours ... Sinon, un comportement adapté résout tous les problèmes ...
Vous croyez que c'est bien de mentir?
Parce que son père peut lui demandé : où va tu faire un tour?
Et après aller vérifier s'il ne se trouve pas à l'Eglise!
Et là ça va être pire.
Petit mensonge grande conséquence.
Attention le père du mensonge c'est le diable.
Fraternellement en Notre Seigneur Jésus Christ.
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