Rôle de l'assemblée dans le chant liturgique
Publié : jeu. 29 sept. 2011, 10:45
Bonjour,
On voit bien que depuis une époque récente (pour ne pas dire post Conciliaire), on a voulu que l'assemblée participe au maximum au chant dans la liturgie, ce qui a conduit inévitablement à l'abaissement du niveau de la musique et des chants.
Ainsi, dans de nombreux endroits, on ne prend même plus la peine constituer une chorale. Ou bien on constitue une chorale sans élever le niveau musical pour que les fidèles chantent quand même.
La conséquence est que l'on n'a plus de chant sacré qui conduit à la prière, alors que le répertoire de musique sacrée (chant grégorien, polyphonie sacrée) est immense et ne demande qu'à être utilisé.
Mais quel est le rôle de l'assemblée dans la liturgie de ce point de vue ? La restriction du chant de l'assemblée à l'ordinaire de la messe me semble raisonnable, si on veut un chant de qualité pour le propre.
Voire, l'ordinaire peut être certaines fois plus développé sans que les fidèles aient nécessité d'y participer autrement que par la méditation silencieuse qui n'a pas moins de valeur.
On voit bien que depuis une époque récente (pour ne pas dire post Conciliaire), on a voulu que l'assemblée participe au maximum au chant dans la liturgie, ce qui a conduit inévitablement à l'abaissement du niveau de la musique et des chants.
Ainsi, dans de nombreux endroits, on ne prend même plus la peine constituer une chorale. Ou bien on constitue une chorale sans élever le niveau musical pour que les fidèles chantent quand même.
La conséquence est que l'on n'a plus de chant sacré qui conduit à la prière, alors que le répertoire de musique sacrée (chant grégorien, polyphonie sacrée) est immense et ne demande qu'à être utilisé.
Mais quel est le rôle de l'assemblée dans la liturgie de ce point de vue ? La restriction du chant de l'assemblée à l'ordinaire de la messe me semble raisonnable, si on veut un chant de qualité pour le propre.
Voire, l'ordinaire peut être certaines fois plus développé sans que les fidèles aient nécessité d'y participer autrement que par la méditation silencieuse qui n'a pas moins de valeur.