Re: Assister et communier à une Messe FSSPX?
Publié : sam. 16 mars 2019, 22:57
La Croix.
Quelle place occupe la danse dans la Bible ?L’Ancien Testament regorge de références à des festivités incluant des danses. Souvent héritées de célébrations païennes antérieures, celles-ci sont enracinées dans la vie des Hébreux, comme dans le reste du Proche-Orient ancien. On danse aussi bien à l’occasion de fêtes religieuses que de victoires militaires ou de rencontres amoureuses. Symbole de joie et d’extase religieuse, la danse constitue la principale manifestation physique des célébrations, rassemblements et autres événements joyeux.L’Ecclésiaste (Qohéleth) indique explicitement que la danse fait partie intégrante de la vie, dans sa longue énumération amorcée par « Il y a un moment pour tout » : « Un temps pour pleurer, et un temps pour rire ; un temps pour gémir, et un temps pour danser » (Qo 3, 4). Pour le bibliste Dany Nocquet, professeur d’Ancien Testament à l’Institut protestant de théologie de Montpellier, cette mention n’a rien d’anodin. « Le Qohéleth donne en quelque sorte une valeur théologale à la joie. Cette joie quotidienne, inexplicable, qu’on peut exprimer en dansant, signifie que dans cette existence incompréhensible, Dieu est présent : par la joie, l’humain est relié à quelque chose qui le dépasse.
D'autre part.
Dans la parabole du Fils Prodigue, pour manifester la joie du retour du fils ,on danse!
Jésus aurait il dit cela si c'était mal?
Quelle place occupe la danse dans la Bible ?L’Ancien Testament regorge de références à des festivités incluant des danses. Souvent héritées de célébrations païennes antérieures, celles-ci sont enracinées dans la vie des Hébreux, comme dans le reste du Proche-Orient ancien. On danse aussi bien à l’occasion de fêtes religieuses que de victoires militaires ou de rencontres amoureuses. Symbole de joie et d’extase religieuse, la danse constitue la principale manifestation physique des célébrations, rassemblements et autres événements joyeux.L’Ecclésiaste (Qohéleth) indique explicitement que la danse fait partie intégrante de la vie, dans sa longue énumération amorcée par « Il y a un moment pour tout » : « Un temps pour pleurer, et un temps pour rire ; un temps pour gémir, et un temps pour danser » (Qo 3, 4). Pour le bibliste Dany Nocquet, professeur d’Ancien Testament à l’Institut protestant de théologie de Montpellier, cette mention n’a rien d’anodin. « Le Qohéleth donne en quelque sorte une valeur théologale à la joie. Cette joie quotidienne, inexplicable, qu’on peut exprimer en dansant, signifie que dans cette existence incompréhensible, Dieu est présent : par la joie, l’humain est relié à quelque chose qui le dépasse.
D'autre part.
Dans la parabole du Fils Prodigue, pour manifester la joie du retour du fils ,on danse!
Jésus aurait il dit cela si c'était mal?