Vous me rappelez certaines personnes qui cherchent tout ce qui ne relève pas dewanderer a écrit : Je suis très content de votre réponse puisque vous mélangez dans la même phrase les deux mots "obéissance" et "foi". Or c'est justement la distinction que je veux vous faire comprendre. On ne répond pas de la même façon à ce qui touche la foi (cad les dogmes et la morale) et à ce qui touche l'obéissance. Ce n'est pas pareil d'adhérer et de se soumettre. Je peux me soumettre sans adhérer. Je veux juste vous faire comprendre que, selon moi, il ne faut pas demander à d'autres catholiques d'obéir sur des points où ils sont libres. Par contre, quand le sujet n'est pas libre, il faut se soumettre, je ne dis pas le contraire.
l'infaillibilité dans l'Eglise pour pouvoir se permettre de le remettre en question.
Ce n'est pas parce qu'on est libre de choisir que les choix sont équivalents
Mais je crois que tout a été dit par F-X et Boris dans un autre fil.
La question ici n'est pas de reprocher à quiconque de préférer la FERM, mais
plutôt de justifier la raison du passage à la FORM, sur le plan théologique,
quoi qu'on en pense (et je vous ai déjà dit ce que je pense de la FERM,
preuve que je ne place pas mes goûts personnels dans mes arguments
Je disais qu'une communauté Ecclesia Dei peut en tant que telle choisir l'exclusivité de lawanderer a écrit : Attention, bien des prêtres disent la FERM en vertu du motu proprio Eclesia dei (et maintenant en vertu de SP) mais sans que cela soit de façon exclusive. Il y a des moines du Baroux qui ont déjà concélébré la FORM, il y a de nombreux prêtres, surtout des diocésains, qui disent indifféremment les deux formes du rite. A l'IBP, c'est différent, on ne peut pas être prêtre de l'IBP et célébrer la FORM. C'est la seule communauté dans ce cas. C'est pourquoi les statuts de cet institut montrent que l'on est libre de ne célébrer qu'une seule forme du rite (et à fortiori, les fidèles sont libres d'assiter à la forme de leur choix avec ou sans exclusivité) Vous avez le droit de ne pas être d'accord avec ceux qui pensent ainsi, mais vous ne pouvez pas leur dire qu'ils ne sont pas obéissants.
FERM. Ni plus ni moins. C'est un indult.
Vous avez raison, c'est du passé. Mais comme toujours avec l'histoire, c'est toujourswanderer a écrit :Tout ça, c'est du passé, c'est ce que je veux dire. Quel est notre engagement pour la liturgie aujourd'hui avec ce contexte inédit? 2 formes pour un même rite, c'est incroyable, vous ne trouvez pas?AdoramusTe a écrit : Le fait est que l'on en est arrivé là car trop de gens ont désobéï au Pape Paul VI et
ont saboté l'application de la réforme liturgique (toute critique de la réforme
mise à part). D'autres n'ont pas voulu appliquer la réforme alors qu'ils en avaient
les moyens et on préféré mettre l'échec de la réforme sur le dos de la réforme
en elle-même.
Le motu proprio, outre sa volonté d'unité avec les fidèles dit "traditionnalistes",
a un deuxème but : sauver la liturgie.
quand on n'en tire pas les leçons que les mêmes erreurs se reproduisent.
Deux formes pour un même rite c'est incroyable.
Mais ça ne peut être que temporaire et il faudra une forme unique à long terme,
sauf si la FERM devient un rite propre (comme les autres rites).
On ne peut pas avoir d'unité si on n'a pas le même lectionnaire, les mêmes fêtes
de saints, le même bréviaire.
On sent bien que c'est autour de la liturgie que se fait l'unité.