Re: Etude récente:Les croyants plus enclins aux troubles men
Publié : lun. 11 févr. 2013, 0:32
@Vincent
Il me semble que, dans le message auquel vous répondiez, le mot "foi" était pris en sons sens large, sans forcément de référence à Dieu - en tout cas c'est ainsi que je l'avais compris :
sans la foi en quelque chose qui n'est pas de l'ordre de l'observable (du moins pas directement) et du mesurable - le bien, une certaine idée de l'humanité, la dignité humaine, ou autre chose encore -, on tombe dans le découragement, un sentiment d'inutilité, le désespoir :
on vit et on agit pour quelque chose, et c'est déjà une foi.
Même pour apprendre des repères et une morale, et l'appliquer, il faut croire à quelque chose qui implique qu'il soit nécessaire d'apprendre et d'appliquer cette morale, ou qui implique qu'il y ait besoin de repères.
Cette foi, contrairement à ce que vous semblez dire, peut être spontanée, ou choisie. Ou les deux.
Il me semble que, dans le message auquel vous répondiez, le mot "foi" était pris en sons sens large, sans forcément de référence à Dieu - en tout cas c'est ainsi que je l'avais compris :
sans la foi en quelque chose qui n'est pas de l'ordre de l'observable (du moins pas directement) et du mesurable - le bien, une certaine idée de l'humanité, la dignité humaine, ou autre chose encore -, on tombe dans le découragement, un sentiment d'inutilité, le désespoir :
on vit et on agit pour quelque chose, et c'est déjà une foi.
Même pour apprendre des repères et une morale, et l'appliquer, il faut croire à quelque chose qui implique qu'il soit nécessaire d'apprendre et d'appliquer cette morale, ou qui implique qu'il y ait besoin de repères.
Cette foi, contrairement à ce que vous semblez dire, peut être spontanée, ou choisie. Ou les deux.