Homosexualité et psychiatrie
Re: Homosexualité et psychiatrie
Je rejette toute forme d'endoctrinement et particulièrement les dictatures de la pensée qui sévissent énormément aujourd'hui.
Néanmoins, je dois admettre que les propos du pape me semblent irresponsables.
Je lui préfère ses anciennes déclarations : "Si quelqu'un est gay et cherche le Seigneur, qui suis-je pour le juger ?"
Néanmoins, je dois admettre que les propos du pape me semblent irresponsables.
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Re: Homosexualité et psychiatrie
Bonjour,
On a beau être militant pour la Gay-Pride (je ne parle pas de moi vous aurez deviné), puis trouver François cool comme évêque de Rome, il faudrait quand même pas pousser le bouchon trop loin. On ne peut pas s'attendre à ce que les évêques puissent sacrer l'homosexualité comme chose relevant de la normalité la plus normale.
Dans Le père Noël est une ordure, on y avait saisi, déjà, toute la puissance comique de la situation; oui, dans un formidable raccourci humoristique et en particulier lorsque le personnage de Pierre devait danser un slow avec un travesti rêvant du grand amour.
Je l'ignore. Je n'ai pas suivi l'affaire de près. Hormis un mince filet journalistique, j'ai rien vu.gérardh a écrit :
Les propos du Pape ont engendré des polémiques malveillantes.
Il n'avait tort en rien, ce me semble. Parce que n'importe qui est bien libre de penser (à tort ou à raison) qu'un travail d'accompagnement peut être réalisé par un spécialiste sur un jeune enfant pré-adolescent, pendant que son identité sexuelle ne serait pas encore totalement formée et tout.Mais avait-il complètement tort ?
On a beau être militant pour la Gay-Pride (je ne parle pas de moi vous aurez deviné), puis trouver François cool comme évêque de Rome, il faudrait quand même pas pousser le bouchon trop loin. On ne peut pas s'attendre à ce que les évêques puissent sacrer l'homosexualité comme chose relevant de la normalité la plus normale.
Dans Le père Noël est une ordure, on y avait saisi, déjà, toute la puissance comique de la situation; oui, dans un formidable raccourci humoristique et en particulier lorsque le personnage de Pierre devait danser un slow avec un travesti rêvant du grand amour.
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Re: Homosexualité et psychiatrie
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Bonjour,
Le pape a parlé de psychiatrie. Il aurait mieux fait de parler de psychothérapie ou même encore mieux de psychologue, même s'il y a à boire et à manger chez certains psychologues.
Ces détracteurs en ont conclu que pour lui, l'homosexualité était une maladie, ce qui n'est pas le cas et d'ailleurs il ne l'a sans doute pas pensé.
Cela dit si ce n'est pas une maladie c'est certainement un trouble ou un désordre psychique, souvent d'origine ancienne, chez beaucoup.
En tout cas les homosexuels sont dignes de l'amitié et même de l'amour de leurs prochains, et n'ont pas à être importunés.
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Bonjour,
Le pape a parlé de psychiatrie. Il aurait mieux fait de parler de psychothérapie ou même encore mieux de psychologue, même s'il y a à boire et à manger chez certains psychologues.
Ces détracteurs en ont conclu que pour lui, l'homosexualité était une maladie, ce qui n'est pas le cas et d'ailleurs il ne l'a sans doute pas pensé.
Cela dit si ce n'est pas une maladie c'est certainement un trouble ou un désordre psychique, souvent d'origine ancienne, chez beaucoup.
En tout cas les homosexuels sont dignes de l'amitié et même de l'amour de leurs prochains, et n'ont pas à être importunés.
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Re: Homosexualité et psychiatrie
Cette théorie a fait l'objet d'un débunk assez complet. Je tiens à rappeler que les asiatiques mangeant du soja de manière culturelle, comme nous mangeons du pain. Et que si une telle influence avait lieu, les homosexuels asiatiques seraient plus nombreux que dans le reste du monde, ce qui n'est pas le cas. Navré mais c'est de la propagande d’extrême droite américaine inventé dans une optique virilise qui les caractérise tant:Il existe des démonstrations scientifiques des effets néfastes féminisant du soja. (hyorœstrogènes…)
(PJW étant un chroniqueur de la chaine complotiste infowars)
https://www.youtube.com/watch?v=FTSvLKY7HEk
(rebel média étant canadien)
https://www.youtube.com/watch?v=mduUbJTdXag
L'honnêteté est de comprendre qu'il y a à peine 50 ans en Angleterre on laissait le choix aux homos entre castration chimique et camp de travaux forcé, qu'en France c'était un délit jusqu'aux années 80 et que dans certains pays actuellement ces gens vivent cachés sous pression constante, comme des criminels. Donc oui, jadis on pensait que c'était une maladie, comme on pensait qu'il suffisait de boire de l'or pour être immortel, heureusement nous avons évolué entre temps.PaxetBonum a écrit :L'honnêteté est de comprendre comment une maladie considérée comme psychiatrique sous certaines formes devient une non maladie psychiatrique.Ce DSM n’est plus valide, nous en sommes à la 5eme version............
Les lobbys LGBTQXYZ en leur temps ont fait taire les scientifiques qui honteusement prétendaient qu'une maladie sévissait chez les gays et les décimaient. (avec manifestation contre ces idées réacs et mensongères). Depuis on en sait un peu plus sur le Sida…
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Re: Homosexualité et psychiatrie
Bonjour nevermind7nevermind7 a écrit : ↑mar. 04 sept. 2018, 14:22Cette théorie a fait l'objet d'un débunk assez complet. Je tiens à rappeler que les asiatiques mangeant du soja de manière culturelle, comme nous mangeons du pain. Et que si une telle influence avait lieu, les homosexuels asiatiques seraient plus nombreux que dans le reste du monde, ce qui n'est pas le cas.Il existe des démonstrations scientifiques des effets néfastes féminisant du soja. (hyorœstrogènes…)
Ce que vous dites est très intéressant.
Pourriez-vous produire des chiffres sourcés permettant de déduire que la population dont vous parlez comporte une proportion normale ou habituelle d'homosexuels.
Ou alors vous fiez-vous uniquement à ces quelques vidéos dont vous nous présentez les liens ?
D'autre part, faudrait-il tenir compte aussi (ou pas) du fait que les populations précitées sont soumises à des systèmes de gouvernance les empêchant de révéler leur genre ?
Merci pour votre réponse.
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Re: Homosexualité et psychiatrie
On ne croyait pas qu'il s'agissait d'une maladie, vous devriez dire. Dans aucun pays du monde l'on ne condamne des malades aux travaux forcés, l'on ne fait de la maladie un délit condamnable en justice, etc.Nevermind a écrit :
Donc oui, jadis on pensait que c'était une maladie, comme on pensait qu'il suffisait de boire de l'or pour être immortel, heureusement nous avons évolué entre temps.
Dites plutôt qu'à l'époque de la reine Victoria en Angleterre l'on croyait que l'homosexualité exprimait un désordre d'ordre moral, une volonté vicieuse de se rebeller contre l'ordre des choses voulu par Dieu lui-même. C'est quand on croit un truc de ce genre que l'on peut juger bon de faire administrer le fouet aux vicieux. C'est comme le parent qui administrerait une correction à son enfant parce qu'il voudrait prendre ce mauvais pli immoral consistant à voler ses petits camarades.
Donc, nous pourrions toujours dire qu'aujourd'hui nous voyons sans doute plus clairement qu'en 1885 à quel point la mécanique du psychisme humain est compliquée. Qu'il ne suffit pas de vouloir une chose ou de ne pas la vouloir, pour faire ou ne pas faire. Quand je dis que nous voyons plus clairement qu'en 1885, je m'en réfère à l'état de l'opinion publique. Car de tout temps des hommes ont su que la psyché humaine était un véritable labyrinthe. C'est l'état de l'opinion publique qui change.
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Re: Homosexualité et psychiatrie
Bonjour invité, vous n'avez visiblement pas consulté les vidéos, car je ne me fie pas à leur jugement, bien au contraire, je dénonce leur supercherie, justement. L'idée que la protéine de soja fait perdre de la testostérone est une théorie du complot se basant sur rien de concret. C'est simplement des rumeurs tenaces comme le fait que le sucre rendrait les enfants hyperactifs ou que les légumes surgelés contiennent moins de nutriments que les légumes classiques.
Sinon les études démographiques sur l'orientation sexuelle sont trouvables, cependant, je rappelle que 72 pays n'ont pas encore dépénalisé l'homosexualité ce qui rend la pertinence des études contestables, je tiens aussi à préciser qu'il est parfaitement ridicule d'imaginer qu'un pays comporte plus d'homosexuels parce qu'il y est consommé régulièrement du soja, le sens commun répond à cette interrogation. Sans aller jusqu'à là, il existe des publications scientifiques sur la soi-disant baisse de testostérone générée par le soja, je vous laisse y jeter un coup d’œil:
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5188409/
La publication est un peu longue, je vous découpe le passage en question:
Sinon les études démographiques sur l'orientation sexuelle sont trouvables, cependant, je rappelle que 72 pays n'ont pas encore dépénalisé l'homosexualité ce qui rend la pertinence des études contestables, je tiens aussi à préciser qu'il est parfaitement ridicule d'imaginer qu'un pays comporte plus d'homosexuels parce qu'il y est consommé régulièrement du soja, le sens commun répond à cette interrogation. Sans aller jusqu'à là, il existe des publications scientifiques sur la soi-disant baisse de testostérone générée par le soja, je vous laisse y jeter un coup d’œil:
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5188409/
La publication est un peu longue, je vous découpe le passage en question:
C'est encore un article pubmed, donc commandité par le gouvernement, j'espère que le rejet systématique de ce qui ne va pas dans le sens de nos croyance n'aura pas lieu comme dans mon dernier post ou quelqu'un a carrément contesté le génome gay en disant qu'il s'agissait d'un complot LGBT... C'est un sophisme par argument irréfutable, quoiqu'on dise, c'est un complot, donc forcément c'est faux... Impossible de discuter avec ces gens.16. Male Feminization
Two case reports describing feminizing effects that allegedly occurred as a result of soyfood consumption have been published [389,390]. However, in both cases the individuals were said to have consumed 360 mg/day isoflavones (~9-fold greater than the mean intake among older Japanese men) in the context of unbalanced and likely nutrient-deficient diets since soyfoods accounted for the vast majority of calories consumed. Furthermore, in contrast to the rise in circulating estrogen levels noted in one case [389], no effects on estrogen levels have been noted in numerous clinical studies in which men were exposed to as much as 150 mg/day isoflavones [391].
Similarly, the drop in testosterone levels noted in the other case [390] is as already noted, inconsistent with the preponderance of the clinical data showing neither soy nor isoflavone supplements affect testosterone levels [283]. More specifically, a systematic review and meta-analysis that included 15 placebo-controlled treatment groups with baseline and ending measures and an additional 32 reports involving 36 treatment groups found no effects of soy protein or isoflavone intake on testosterone, sex hormone binding globulin, free testosterone or the free androgen index [283]. Studies published subsequent to this meta-analysis have reached similar conclusions [168,392,393,394]. The two aforementioned case reports simply illustrate that consuming excessive amounts of essentially any food can potentially lead to abnormalities [389,390].
Le cancer représente un danger de mort, personne n'est fier d'être en train de mourir d'une dégénérescence des cellules. L’orientation sexuelle est une façon de vivre, pas de mourir. Le problème ce n'est pas que ce soit une maladie, non, c'est que vous considérez encore l'homosexualité comme une maladie, nuance. Et vous êtes bien libre de ne pas l'accepter! Mais n'attendez pas de vos interlocuteurs qu'ils approuvent ce que vous dites.Autant cesser de faire des recherches scientifiques et de parler du cancer sous prétexte de ne pas blesser les cancéreux…
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Re: Homosexualité et psychiatrie
Oui, c'est bien ce que l'évêque de Rome pourrait penser de son côté.gérardh écrit :
Cela dit si ce n'est pas une maladie c'est certainement un trouble ou un désordre psychique, souvent d'origine ancienne, chez beaucoup.
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Re: Homosexualité et psychiatrie
Même si c'était vrai (ce qui semble improbable), il manque deux aspects importants de la question :Il existe des démonstrations scientifiques des effets néfastes féminisant du soja.
*ça n'expliquerait rien pour les femmes homosexuelles,
*parmi les hommes homosexuels, certains ont en effet des tendances féminines, mais beaucoup d'autres sont des hommes parfaitement virils (tiens, par exemple, je viens de lire "Splendeurs et misères des courtisanes", de Balzac. On ne peut pas dire que Vautrin soit une mauviette).
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Re: Homosexualité et psychiatrie
Je n'ai effectivement pas tout compris vu que :nevermind7 a écrit : ↑mar. 04 sept. 2018, 17:47Bonjour invité, vous n'avez visiblement pas consulté les vidéos, car je ne me fie pas à leur jugement, bien au contraire, je dénonce leur supercherie, justement.
a) c'est en anglais (désolé de ne pas être un expert de l'anglais)
b) que ces vidéos semblent de prime abord plutôt fantaisistes (au vu des scenarii) et que par là elles ne peuvent servir ni de preuve à charge ou à décharge ... vous voyez ce que je veux dire, elles ne démontrent rien, ni dans un sens ni dans l'autre. Donc je maintiens mon observation.
Vous êtes donc d'accord avec moi que cette difficulté est à prendre en compte, car elle rends toute statistique impossible ... donc même commentaire ... pas de preuve ni à charge ni à décharge. Comment donc ont fait ceux qui assurent de l’innocuité de l'ingestion des perturbateurs endocriniens...nevermind7 a écrit : ↑mar. 04 sept. 2018, 17:47Sinon les études démographiques sur l'orientation sexuelle sont trouvables, cependant, je rappelle que 72 pays n'ont pas encore dépénalisé l'homosexualité ce qui rend la pertinence des études contestables, ...
Quoiqu'il en soit, c'est suite à un post de ... (je ne sais plus) que vous en êtes venu à répondre sur le soja. Un peu plus haut un autre intervenant posait des questions sur un plan un peu plus large (alimentation et environnement). Se focaliser sur une simple protéine est insuffisant. La cause si elle existe, me semblerait plutôt multifactorielle : génétique, alimentaire, environnementale, sociale, éducative, etc ...
Par contre, il n'est pas nécessaire de faire des études particulières pour constater que les hormones modifient le corps mais aussi le comportement, donc le psychisme. Voir :
a) les traitements hormonaux médicaux
b) les traitements hormonaux des sportifs et notamment ceux qui font de la gonflette (je parle des femmes)
Mais c'est un faux problème. L'épigénétique démontre assez simplement que tout modifie notre génome : notre comportement, notre alimentation, nos expériences, etc. Donc le génome gay doit exister mais il est (à mon sens) autant une cause qu'une conséquence.nevermind7 a écrit : ↑mar. 04 sept. 2018, 17:47C'est encore un article pubmed, donc commandité par le gouvernement, j'espère que le rejet systématique de ce qui ne va pas dans le sens de nos croyance n'aura pas lieu comme dans mon dernier post ou quelqu'un a carrément contesté le génome gay en disant qu'il s'agissait d'un complot LGBT... C'est un sophisme par argument irréfutable, quoiqu'on dise, c'est un complot, donc forcément c'est faux... Impossible de discuter avec ces gens.
Si un être humain en bonne santé apparente se prends pour une coccinelle ou pour Napoléon, devra-t-on dire qu'il est malade ? Ou pas ?nevermind7 a écrit : ↑mar. 04 sept. 2018, 17:47L’orientation sexuelle est une façon de vivre, pas de mourir. Le problème ce n'est pas que ce soit une maladie, non, c'est que vous considérez encore l'homosexualité comme une maladie, nuance. Et vous êtes bien libre de ne pas l'accepter! Mais n'attendez pas de vos interlocuteurs qu'ils approuvent ce que vous dites.
Parce qu'après tout, si c'est ce qui est ressenti par l'individu qui est sa vérité et qu'à partir de là, cela n'est pas contestable, il faudrait arrêter de "traiter" notre coccinelle et notre napoléon. Pourquoi seraient-ils plus malade que d'autres, qui se prennent pour ce qu'ils ne sont pas ?
Si on mets de coté les méthodes de reproduction artificielles ainsi que toute probabilité mettant en cause l'environnement dans le sens large dans l'orientation sexuelle des individus, les homosexuels pourront-il transmettre leurs gênes ? Non, je ne pense pas, donc ils seraient dans ce cas appelé à disparaitre ? A moins bien sur qu'ils se fassent violence en transgressant leur genre psychique.
Personnellement je n'ai aucun problème avec les homosexuels. Après tout, chacun exerce son libre arbitre et fait avec ce qu'il a.
Comprenez-moi bien, à mon sens, les homosexuels ne sont pas condamnables, ils ne font que vivre ce qu'ils ressentent au plus profond de leur chair et de leur psyché. Mais je ne crois pas que je serai capable de dire un jour qu'il est "normal" d'être homosexuel, enfin, si je garde ce regard plutôt plaqué à mes conceptions de ce qui nous est demandé par Dieu au travers de l'Ancien Testament et du Nouveau.
Il me semble qu'il nous est demandé, justement, de transcender notre condition charnelle ici bas, de la canaliser, de nous placer au niveau de l'Esprit, et bien entendu, ceci est valable pour tout le monde, homos comme hétéros. Et dans ce cas, le problème pour les homosexuels, c'est qu'ils partent avec un handicap évident, car leur sexualité est une sexualité de remplacement ou de compensation, en aucun cas une sexualité ordonnée. Encore une fois, il ne s'agit pas d'une condamnation...
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Re: Homosexualité et psychiatrie
Je partage votre opinion. Mais comme le disait un autre intervenant plus tôt sur ce fil, il n'y a pas de honte à dire qu'on ne sait pas et garder son jugement pour des choses qu'on sait avec une certitude à toute épreuve.Invité a écrit : La cause si elle existe, me semblerait plutôt multifactorielle : génétique, alimentaire, environnementale, sociale, éducative, etc ...
Les traitements hormonaux sont le résultat d'une synthèse. Les aliments du quotidien n'ont pas cette propriété. En tout cas on ne l'a pas constaté pour le moment.
Ici il a confusion entre homosexualité et folie. Si un homme dit qu'il est attiré charnellement par d'autres hommes, peut-on sincèrement comparer ça avec quelqu'un qui s'imagine être Batman ou que sais-je? Même les transsexuels savent faire la différence entre ce qu'ils sont et ce qu'ils veulent être, c'est pour ça qu'ils se suicident massivement ou qu'ils sont prêts à passer sur la table d'un chirurgien pour être ce qu'ils veulent être, et je me demande qui sommes nous pour penser être en droit de les juger. Leur fardeau semble être déjà assez lourd. Les homos ne sont pas bête, ils savent très bien de quoi est constituée leur enveloppe corporelle et ce qu’implique socialement leur penchant.Invité a écrit : Si un être humain en bonne santé apparente se prends pour une coccinelle ou pour Napoléon, devra-t-on dire qu'il est malade ? Ou pas ?
Parce qu'après tout, si c'est ce qui est ressenti par l'individu qui est sa vérité et qu'à partir de là, cela n'est pas contestable, il faudrait arrêter de "traiter" notre coccinelle et notre napoléon. Pourquoi seraient-ils plus malade que d'autres, qui se prennent pour ce qu'ils ne sont pas ?
Si c'était le cas, l'homosexualité aurait disparue depuis un bon moment, pourtant elle est toujours là. Il y a donc des facteurs récurrents.Si on mets de coté les méthodes de reproduction artificielles ainsi que toute probabilité mettant en cause l'environnement dans le sens large dans l'orientation sexuelle des individus, les homosexuels pourront-il transmettre leurs gênes ? Non, je ne pense pas, donc ils seraient dans ce cas appelé à disparaitre ? A moins bien sur qu'ils se fassent violence en transgressant leur genre psychique.
Je ne doute pas de votre bonne foi quand vous dites cela. Pourtant le Lévitique nous enseigne que manger des crustacés est une abomination, allez vous arrêter de le faire parce que c'est marqué dans la bible? Alors pourquoi être aussi catégorique quand il s'agit de ce penchant sexuel en particulier?Comprenez-moi bien, à mon sens, les homosexuels ne sont pas condamnables, ils ne font que vivre ce qu'ils ressentent au plus profond de leur chair et de leur psyché. Mais je ne crois pas que je serai capable de dire un jour qu'il est "normal" d'être homosexuel, enfin, si je garde ce regard plutôt plaqué à mes conceptions de ce qui nous est demandé par Dieu au travers de l'Ancien Testament et du Nouveau.
En effet, si on est croyant et homosexuel, je n'ose imaginer l’ampleur du fardeau.
Donc la secte LGBT à la main mise sur les rapports scientifiques du gouvernement et je suis un de leur agents envoyé pour vendre leur salade? Audacieux...La secte LGBT considère que l'orientation sexuelle étant naturelle (déterminée par la génétique ou les accidents de la vie intra-utérine), elle ne saurait être mauvaise et condamnable.
Que l'homosexualité soit innée ou choisie ne la rend pas condamnable aux yeux des hommes, après, qui sait ce qu'en pense Dieu... Pour une seule et bonne raison, ce n'est pas condamnable: car ça ne fait de mal à personne. La seule chose qui fait mal, c'est le jugement et la discrimination de ceux qui refusent leur existence. Se sentir rejeté, pas à sa place dans un monde où on est traité comme un malade mentale, Ça ça provoque un profond sentiment de mal-être et les gens qui provoquent ce mal-être, eux, sont condamnables.
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Re: Homosexualité et psychiatrie
Bonjour Nevermind7.
Cette intervention sera ma dernière sur ce fil. Tout bonnement parce qu'il est difficile de conserver un peu de cohérence dans les échanges sans inclure les différentes questions et réponses qui amènent à tel ou tel énoncé. Et cela peut finir par devenir indigeste, ou ressembler à un échange qui serait plus confortable ou pertinent s'il était réalisé en privé (ou entre cat'zieux)
De ce fait, j'en garderai ce qui nous unit (le fait que les homosexuels ne soient pas condamnables) plutôt que ce qui semblerait nous séparer.
En effet, un traitement de synthèse, théoriquement calibré, devrait par principe être mieux contrôlé au niveau de ses effets indésirables que l'ingestion "sauvage" d'hormones, naturelles ou pas, présentes dans l'alimentation sous forme de résidus (ex: hormones dans les animaux de boucherie), présentes dans l'environnement (ex: hormones médicales présentes dans les eaux même après traitement), ou présentes "par inadvertance" dans certains produits (ex: bisphénol dans les biberons et autre produits d'emballage alimentaire), etc.
Il me semble assez probable que l'ensemble de ces hormones ingérées de manière aléatoire par des populations plus ou moins sensibles, puissent amener une dispersion du spectre du genre. Mais vous avez raison, c'est difficile à prouver, même si il existait une réelle intention de le faire.
En effet votre conclusion démontre bien que les causes de l'homosexualité ne sont donc pas QUE génétique, et que ce que vous appelez "facteurs récurrents" doit être cherché ailleurs. De plus, on met dans le même sac toutes les personnes vivant une sexualité homosexuelle alors qu'il y a de grandes différences dans ces populations. On ne peut pas comparer un adolescent ressentant une attirance vers une personne de son sexe, avec notre ami Vautrin (pervers narcissique) ou dans le même genre, un Bob (Tenue de soirée avec Depardieu dans le rôle), ou bien le balaise en prison qui sodomise ses congénères pour affirmer sa position, ou bien pour finir, ceux qui vivent la bisexualité par jeux ou recherche de sensations, ... Et en marge, j'évoque sur la pointe des pieds, les autres sexualités comme la pédophilie et la zoophilie, pour ne citer que celles-là, car après tout, pourquoi placer une frontière entre ce qui est normal ou pas comme vous le faites en parlant, un peu plus haut,de normalité et de folie. Pourquoi décréter que ces deux derniers comportements seraient plus anormaux que l'homosexualité ? A cause de cette frontière impossible à placer, on ne peut que prendre en compte la seule frontière "plausible" qui est celle définie par le corps dans lequel s'exprime la psyché.
Aussi, Jésus ne condamne personne, Il dit seulement "Va, et ne pèche plus".
Vous êtes vous même audacieux, je trouve, en prétendant que vos propos induise le fait qu'on pourrait vous prendre pour un agent ...
Plus sérieusement, vous pouvez vraiment nier que nos élites sont complaisantes avec la cause LGBT ?
La gourmandise non plus ne fait de mal à personne sinon à celui qui y cède. Le fait que cela n'ait pas d'impact sur des tiers ne change pas le fait que cela puisse en avoir un sur soi même.
Et pour finir, bonne journée à tous.
Et soyez indulgent si mes propos, par manque de précision ou de clarté, ont pu blesser qui que ce soit ; ce n'est vraiment pas mon intention.
PS : en restant "invité", je soumets mon post à la modération.
Cette intervention sera ma dernière sur ce fil. Tout bonnement parce qu'il est difficile de conserver un peu de cohérence dans les échanges sans inclure les différentes questions et réponses qui amènent à tel ou tel énoncé. Et cela peut finir par devenir indigeste, ou ressembler à un échange qui serait plus confortable ou pertinent s'il était réalisé en privé (ou entre cat'zieux)
De ce fait, j'en garderai ce qui nous unit (le fait que les homosexuels ne soient pas condamnables) plutôt que ce qui semblerait nous séparer.
Je serais plutôt tenté de dire que vous allez dans mon sens.nevermind7 a écrit : ↑mer. 05 sept. 2018, 0:14Les traitements hormonaux sont le résultat d'une synthèse. Les aliments du quotidien n'ont pas cette propriété. En tout cas on ne l'a pas constaté pour le moment.
En effet, un traitement de synthèse, théoriquement calibré, devrait par principe être mieux contrôlé au niveau de ses effets indésirables que l'ingestion "sauvage" d'hormones, naturelles ou pas, présentes dans l'alimentation sous forme de résidus (ex: hormones dans les animaux de boucherie), présentes dans l'environnement (ex: hormones médicales présentes dans les eaux même après traitement), ou présentes "par inadvertance" dans certains produits (ex: bisphénol dans les biberons et autre produits d'emballage alimentaire), etc.
Il me semble assez probable que l'ensemble de ces hormones ingérées de manière aléatoire par des populations plus ou moins sensibles, puissent amener une dispersion du spectre du genre. Mais vous avez raison, c'est difficile à prouver, même si il existait une réelle intention de le faire.
Sur quoi vous appuyez-vous pour affirmer cela ? Il y a dans les deux cas (homosexualité et "celui qui se prend pour x ou y chose") des points communs : les deux individus sont en bonne santé physique ; seule leur psyché montre quelque chose de paradoxal : chacun d'eux se prends pour ce qu'il n'est pas et chacun d'eux est sincère. En faisant la différence, vous vous montrez discriminant et vous êtes dans le jugement.nevermind7 a écrit : ↑mer. 05 sept. 2018, 0:14Ici il a confusion entre homosexualité et folie.Invité a écrit : Si un être humain en bonne santé apparente se prends pour une coccinelle ou pour Napoléon, devra-t-on dire qu'il est malade ? Ou pas ?
Parce qu'après tout, si c'est ce qui est ressenti par l'individu qui est sa vérité et qu'à partir de là, cela n'est pas contestable, il faudrait arrêter de "traiter" notre coccinelle et notre napoléon. Pourquoi seraient-ils plus malade que d'autres, qui se prennent pour ce qu'ils ne sont pas ?
En premier lieu, il faudrait préciser que le taux de suicide élevé des transsexuels est un taux post opération. Ce qui signifie bien que "l'opération", le changement de genre, ne résout rien, et qu'il y a donc bien un trouble mental qui persiste même lorsque l'individu a fait ce choix. J'ai entendu (mais il faudrait valider mon affirmation) que le taux de suicide des transsexuels avoisinait les 30% ce qui est énorme.nevermind7 a écrit : ↑mer. 05 sept. 2018, 0:14Si un homme dit qu'il est attiré charnellement par d'autres hommes, peut-on sincèrement comparer ça avec quelqu'un qui s'imagine être Batman ou que sais-je? Même les transsexuels savent faire la différence entre ce qu'ils sont et ce qu'ils veulent être, c'est pour ça qu'ils se suicident massivement ou qu'ils sont prêts à passer sur la table d'un chirurgien pour être ce qu'ils veulent être, et je me demande qui sommes nous pour penser être en droit de les juger. Leur fardeau semble être déjà assez lourd. Les homos ne sont pas bête, ils savent très bien de quoi est constituée leur enveloppe corporelle et ce qu’implique socialement leur penchant.
Et vous allez encore dans mon sens.nevermind7 a écrit : ↑mer. 05 sept. 2018, 0:14Si c'était le cas, l'homosexualité aurait disparue depuis un bon moment, pourtant elle est toujours là. Il y a donc des facteurs récurrents.Si on mets de coté les méthodes de reproduction artificielles ainsi que toute probabilité mettant en cause l'environnement dans le sens large dans l'orientation sexuelle des individus, les homosexuels pourront-il transmettre leurs gênes ? Non, je ne pense pas, donc ils seraient dans ce cas appelé à disparaitre ? A moins bien sur qu'ils se fassent violence en transgressant leur genre psychique.
En effet votre conclusion démontre bien que les causes de l'homosexualité ne sont donc pas QUE génétique, et que ce que vous appelez "facteurs récurrents" doit être cherché ailleurs. De plus, on met dans le même sac toutes les personnes vivant une sexualité homosexuelle alors qu'il y a de grandes différences dans ces populations. On ne peut pas comparer un adolescent ressentant une attirance vers une personne de son sexe, avec notre ami Vautrin (pervers narcissique) ou dans le même genre, un Bob (Tenue de soirée avec Depardieu dans le rôle), ou bien le balaise en prison qui sodomise ses congénères pour affirmer sa position, ou bien pour finir, ceux qui vivent la bisexualité par jeux ou recherche de sensations, ... Et en marge, j'évoque sur la pointe des pieds, les autres sexualités comme la pédophilie et la zoophilie, pour ne citer que celles-là, car après tout, pourquoi placer une frontière entre ce qui est normal ou pas comme vous le faites en parlant, un peu plus haut,de normalité et de folie. Pourquoi décréter que ces deux derniers comportements seraient plus anormaux que l'homosexualité ? A cause de cette frontière impossible à placer, on ne peut que prendre en compte la seule frontière "plausible" qui est celle définie par le corps dans lequel s'exprime la psyché.
Dans le Nouveau Testament, Jésus est clair concernant ce qui entre dans notre bouche ; Il modifie donc certains préceptes de l'Ancien Testament. Même si aujourd'hui, il vaut mieux faire preuve d'un peu de discernement, en effet, et éviter de manger des crustacés si on veut rester en bonne santé.nevermind7 a écrit : ↑mer. 05 sept. 2018, 0:14Je ne doute pas de votre bonne foi quand vous dites cela. Pourtant le Lévitique nous enseigne que manger des crustacés est une abomination, allez vous arrêter de le faire parce que c'est marqué dans la bible? Alors pourquoi être aussi catégorique quand il s'agit de ce penchant sexuel en particulier?Comprenez-moi bien, à mon sens, les homosexuels ne sont pas condamnables, ils ne font que vivre ce qu'ils ressentent au plus profond de leur chair et de leur psyché. Mais je ne crois pas que je serai capable de dire un jour qu'il est "normal" d'être homosexuel, enfin, si je garde ce regard plutôt plaqué à mes conceptions de ce qui nous est demandé par Dieu au travers de l'Ancien Testament et du Nouveau.
En effet, si on est croyant et homosexuel, je n'ose imaginer l’ampleur du fardeau.
Aussi, Jésus ne condamne personne, Il dit seulement "Va, et ne pèche plus".
Ce qui est ci-dessus n'est pas tiré de mon post, mais je profite de l'occasion pour intervenir. :-) << avec un peu d'humour.nevermind7 a écrit : ↑mer. 05 sept. 2018, 0:14Donc la secte LGBT à la main mise sur les rapports scientifiques du gouvernement et je suis un de leur agents envoyé pour vendre leur salade? Audacieux...La secte LGBT considère que l'orientation sexuelle étant naturelle (déterminée par la génétique ou les accidents de la vie intra-utérine), elle ne saurait être mauvaise et condamnable.
Vous êtes vous même audacieux, je trouve, en prétendant que vos propos induise le fait qu'on pourrait vous prendre pour un agent ...
Plus sérieusement, vous pouvez vraiment nier que nos élites sont complaisantes avec la cause LGBT ?
Ce que Dieu en pense ? Mais enfin ! Dieu aime TOUS les hommes, je ne peux pas en douter. Et c'est pour cela qu'il est dit que celui qui n'aime pas son frère n'aime pas Dieu. Par contre, lorsque vous dites que l'homosexualité ne fait de mal à personne (pour simplifier), et bien cela reste encore à démontrer. Dans "personne", j'inclus aussi bien entendu, l'individu homosexuel lui même.nevermind7 a écrit : ↑mer. 05 sept. 2018, 0:14Que l'homosexualité soit innée ou choisie ne la rend pas condamnable aux yeux des hommes, après, qui sait ce qu'en pense Dieu... Pour une seule et bonne raison, ce n'est pas condamnable: car ça ne fait de mal à personne. La seule chose qui fait mal, c'est le jugement et la discrimination de ceux qui refusent leur existence. Se sentir rejeté, pas à sa place dans un monde où on est traité comme un malade mentale, Ça ça provoque un profond sentiment de mal-être et les gens qui provoquent ce mal-être, eux, sont condamnables.
La gourmandise non plus ne fait de mal à personne sinon à celui qui y cède. Le fait que cela n'ait pas d'impact sur des tiers ne change pas le fait que cela puisse en avoir un sur soi même.
Et pour finir, bonne journée à tous.
Et soyez indulgent si mes propos, par manque de précision ou de clarté, ont pu blesser qui que ce soit ; ce n'est vraiment pas mon intention.
PS : en restant "invité", je soumets mon post à la modération.
Re: Homosexualité et psychiatrie
Bonjour,nevermind7 a écrit : ↑sam. 01 sept. 2018, 16:57https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/7794104
Il existe d'autres publications du même type mais celle-ci à le mérite d'être explicite.
L'étude établit un parallèle entre la présence d'un gène chez l'individu et le développement du comportement homosexuel chez les hommes, qui serait statistiquement significatif. Toutefois, ce n'est qu'une corrélation, pas une causalité. En effet, il peut y avoir quantités d'autres facteurs explicatifs d'une part, peut ne résulter que d'une coïncidence d'autre part. Bref, extrapoler cette étude à la conclusion que l'homosexualité est génétique n'est pas prudent.
Pour réellement tester la réalité d'une cause génétique de l'homosexualité, il faudrait pouvoir greffer le gène sur l'un des jumeaux qui ont le même génotype et voir si celui qui a le gène développe un comportement homosexuel, et ce, en neutralisant les autres aspects (même environnement, même éducation). Et il faudrait pouvoir réaliser l'expérience à grande échelle sur plusieurs cas. Outre le côté peu éthique d'une telle pratique, l'essentiel est ailleurs : la psychiatrie peut permettre à l'individu de comprendre son passé et ses blessures (donc les potentielles sources de son homosexualité) et peut proposer, dans certains cas, un chemin de guérison.
C'est à mon avis ce que le pape voulait dire.
Cgs
Mes propos qui apparaissent en vert comme ceci indiquent que j'agis au nom de la modération du forum.
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Re: Homosexualité et psychiatrie
Ce n'est pas moi qui vais dans votre sens mais votre argumentation qui tend (parfois) vers la tolérance.
Quant à vos comparaisons, je n'ai pas besoin de m'appuyer sur autre chose que ce que vous dites pour réagir. J'ai toujours eu du mal avec les comparaisons, c'est comme si l'expression de la raison seule ne suffisait pas à convaincre un tiers et qu'on est donc obligé d’exagérer, voir de travestir deux choses n'ayant rien en commun pour les confondre, (cf du cancer ou de la folie ou de la gourmandise qui n'ont strictement rien à voir avec l'homosexualité, que ce soit sur le plan moral ou psychologique). De la même manière que certaines personne trouvent cela habile de comparer un homosexuel avec de la pédophilie car après tout, les deux sont des déviances. Ainsi on met sur le même pied d'égalité une personne qui cherche un compagnon du même sexe que lui avec un violeur de d'enfant. Je sais pas dans quel genre de monde la comparaison est censée être pertinente, en tout cas pas dans le mien.
Oui environ 30% des trans' se suicident, c'est avéré, c'est triste et profondément choquant. Bien plus que deux individus du même sexe qui s'aiment.
Personne ici n'a clamé que l'homosexualité n'était que génétique dans ce fil.
je sais pas si les politiques sont globalement sensibles à la cause gay, j'ai pas vraiment l'impression que ce soit leur préoccupation n°1 pour être honnête.
Sinon, les homos ne se font du mal qu'à partir du moment où ils se renient, s'ils s'acceptent tels qu'ils sont il est bien évidemment raisonnable de penser qu'ils vivront plus heureux, c'est quand on chasse le naturel qu'il revient au galop.
La réponse est entachée de mystère. Il n'y a rien de honteux à réserver son jugement pour des choses dont on a une connaissance plus élevée.
Quant à vos comparaisons, je n'ai pas besoin de m'appuyer sur autre chose que ce que vous dites pour réagir. J'ai toujours eu du mal avec les comparaisons, c'est comme si l'expression de la raison seule ne suffisait pas à convaincre un tiers et qu'on est donc obligé d’exagérer, voir de travestir deux choses n'ayant rien en commun pour les confondre, (cf du cancer ou de la folie ou de la gourmandise qui n'ont strictement rien à voir avec l'homosexualité, que ce soit sur le plan moral ou psychologique). De la même manière que certaines personne trouvent cela habile de comparer un homosexuel avec de la pédophilie car après tout, les deux sont des déviances. Ainsi on met sur le même pied d'égalité une personne qui cherche un compagnon du même sexe que lui avec un violeur de d'enfant. Je sais pas dans quel genre de monde la comparaison est censée être pertinente, en tout cas pas dans le mien.
Oui environ 30% des trans' se suicident, c'est avéré, c'est triste et profondément choquant. Bien plus que deux individus du même sexe qui s'aiment.
Personne ici n'a clamé que l'homosexualité n'était que génétique dans ce fil.
Jésus n'est pas venu abolir la loi des anciens, mais l'accomplir. Il n'a rien retiré, pas à notre connaissance en tout cas. La bible n'est pas un catalogue Ikea, on ne sélectionne pas que ce qui nous sied, si on en embrasse la cause on se doit d'en assumer l'intégralité.Invité a écrit : Dans le Nouveau Testament, Jésus est clair concernant ce qui entre dans notre bouche ; Il modifie donc certains préceptes de l'Ancien Testament. Même si aujourd'hui, il vaut mieux faire preuve d'un peu de discernement, en effet, et éviter de manger des crustacés si on veut rester en bonne santé.
Aussi, Jésus ne condamne personne, Il dit seulement "Va, et ne pèche plus".
Entre dire que les politiques caressent le mouvement LGBT dans le sens du poil et dire que les labos du gouvernement inventent un faux génome gay pour satisfaire leur besoins, il y a un monde.Plus sérieusement, vous pouvez vraiment nier que nos élites sont complaisantes avec la cause LGBT ?
je sais pas si les politiques sont globalement sensibles à la cause gay, j'ai pas vraiment l'impression que ce soit leur préoccupation n°1 pour être honnête.
Sinon, les homos ne se font du mal qu'à partir du moment où ils se renient, s'ils s'acceptent tels qu'ils sont il est bien évidemment raisonnable de penser qu'ils vivront plus heureux, c'est quand on chasse le naturel qu'il revient au galop.
Oui c'est pour ça que personne n'a tenu de tels propos!Bref, extrapoler cette étude à la conclusion que l'homosexualité est génétique n'est pas prudent.
La réponse est entachée de mystère. Il n'y a rien de honteux à réserver son jugement pour des choses dont on a une connaissance plus élevée.
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Re: Homosexualité et psychiatrie
Bonjour à tous.
Je pense qu'il y a bien plus qu'un lien entre telle ou telle sexualité.
L'erreur est de différencier ces sexualités, de les catégoriser.
En faisant comme cela, on crée des cases et on situe tel ou tel individu dans x et/ou y case(s).
Mais on a vite fait de s'apercevoir qu'on peut facilement passer de telle catégorie à une autre.
En fait, concevoir la sexualité de cette manière (avec des catégories) est une erreur. Les types de sexualité ne sont en fait que des panneaux indicateurs qui aident à se situer dans ce spectre à x dimensions (le spectre sexuel d'un individu peut recouvrir des spécificités présentes chez plusieurs autres individus).
Alors bien entendu, comment dans ces conditions dire ce qui est bien ou mal ? Où poser la frontière ? C'est impossible. Et si on le fait, alors on s'expose à devenir discriminant et injuste. Si on veut être juste, soit toutes les sexualités sont bonnes, soit aucune ... , et là on voit bien que cela ne peut pas fonctionner comme çà.
On peut aussi soutenir qu'il suffit de considérer que tel individu, vivant dans son spectre sexuel, ne fait de tord à personne et que de ce fait, sa sexualité est acceptable (???), mais est-ce pertinent ?
On pourrait dire que oui, mais alors, sachant que seule la morale de cet individu est seule garante qu'il ne fera pas glisser son spectre sexuel vers des domaines plus contestables, comment se fier à lui, qui déjà, semble, à la base, soumis à des pulsions qui font que cette sexualité n'est plus attachée à celle qui est naturelle, celle liée à la reproduction ?
En vérité, la seule sexualité acceptable, en lien avec ce que nous sommes (des enfants de Dieu), est celle liée à la reproduction. Toutes les autres sont inutiles et même dangereuses, car on peut s'y perdre. Bien entendu, c'est une façon de voir les choses qui ne concernent que ceux qui croient en Dieu et en la vie éternelle. Pour ceux qui n'y croient pas, il est facile de comprendre que la consommation sans limite est une façon de remplir le vide de la vie et la peur de la mort.
Désolé pour les jeunes homosexuels (et des moins jeunes), qui véritablement sont innocents et désarmés face à leur condition. Leur soutenir qu'il vaudrait mieux pratiquer l'abstinence, alors qu'ils commencent à peine leur vie sans forcément comprendre les enjeux, pas évident. La seule solution me semble encore une fois l'amour, aimer ces frères et sœurs, les accompagner sans les juger, afin qu'ils trouvent par eux-même, leur propre chemin.
Je pense qu'il y a bien plus qu'un lien entre telle ou telle sexualité.
L'erreur est de différencier ces sexualités, de les catégoriser.
En faisant comme cela, on crée des cases et on situe tel ou tel individu dans x et/ou y case(s).
Mais on a vite fait de s'apercevoir qu'on peut facilement passer de telle catégorie à une autre.
En fait, concevoir la sexualité de cette manière (avec des catégories) est une erreur. Les types de sexualité ne sont en fait que des panneaux indicateurs qui aident à se situer dans ce spectre à x dimensions (le spectre sexuel d'un individu peut recouvrir des spécificités présentes chez plusieurs autres individus).
Alors bien entendu, comment dans ces conditions dire ce qui est bien ou mal ? Où poser la frontière ? C'est impossible. Et si on le fait, alors on s'expose à devenir discriminant et injuste. Si on veut être juste, soit toutes les sexualités sont bonnes, soit aucune ... , et là on voit bien que cela ne peut pas fonctionner comme çà.
On peut aussi soutenir qu'il suffit de considérer que tel individu, vivant dans son spectre sexuel, ne fait de tord à personne et que de ce fait, sa sexualité est acceptable (???), mais est-ce pertinent ?
On pourrait dire que oui, mais alors, sachant que seule la morale de cet individu est seule garante qu'il ne fera pas glisser son spectre sexuel vers des domaines plus contestables, comment se fier à lui, qui déjà, semble, à la base, soumis à des pulsions qui font que cette sexualité n'est plus attachée à celle qui est naturelle, celle liée à la reproduction ?
En vérité, la seule sexualité acceptable, en lien avec ce que nous sommes (des enfants de Dieu), est celle liée à la reproduction. Toutes les autres sont inutiles et même dangereuses, car on peut s'y perdre. Bien entendu, c'est une façon de voir les choses qui ne concernent que ceux qui croient en Dieu et en la vie éternelle. Pour ceux qui n'y croient pas, il est facile de comprendre que la consommation sans limite est une façon de remplir le vide de la vie et la peur de la mort.
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"Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée."
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