La position de l'Église sur le divorce et le mariage

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wanderer
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La position de l'Église sur le divorce et le mariage

Message non lu par wanderer » mar. 21 déc. 2004, 20:24

J’aimerais connaître la position officielle de l’Eglise sur le divorce.

Pour moi, je suis d’accord pour dire que l’on n’a pas le droit et le pouvoir de délier ce qui a été noué devant Dieu. Pour autant, il me semble que dans certaines circonstances exceptionnelles, il appartient au bien des enfants que les parents soient séparés (violence conjugale par exemple). Ceci dit, cela n’implique pas un divorce.

D’autre part, je déplore le regard que porte notre société sur le mariage qui comme tout le reste a perdu son caractère sacré et son sens. Je ne comprends pas comment on peut se marier deux, trois ou quatre fois.

Au contraire, le mariage chrétien est la plus belle des unions car elle repose sur un engagement plein et total et participe à la charité de Dieu. Un lien indissoluble et éternel créé par Dieu lui-même et un prolongement de son amour.

De même, je trouve incroyable de voir la vision de l’acte sexuel qui est propagée par notre société. Je suis affolé quand je vois que certains font l’amour à l’âge de 14 ans. C’est très grave, que peut-on savoir de l’amour à cet âge ? C’est une catastrophe, aujourd’hui, combien de gens le font parce qu’il faut l’avoir fait ? Je pense qu’il serait bien que des chrétiens interviennent dans les écoles pour une éducation non pas à la sexualité, mais à l’amour. Des conférences qui seraient ouvertes à ceux qui le veulent et qui présenteraient le mariage chrétien. Je pense que le témoignage de deux époux chrétiens qui resplendissent de joie en parlant de ce qu’est pour eux le mariage vaut mieux que n’importe quel leçon de morale.

bdetarade
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Message non lu par bdetarade » mer. 22 déc. 2004, 22:49

Il n'existe pas de divorce au sens juridique du terme au sein de l'catholique romain.
Ici le mariage repose sur quatres piliers:
- La liberté
- La fidélité
- L'indissolubilité
- La fécondité

La liberté est le moins usité des pilliers lors des demandes d'annulation. Cependant on est en droit de se demander parfois si ce n'est pas le pilliers le plus fragile des couples, et c'est sans doute pour cela qu'il est le plus accepté par l'église.
La l'absence de liberté, ou aliénation, prend apparait au travers de plusieurs symptomes dont les principaux sont:
- le mariage par abitude. Lorsque le couple est ami depuis l'enfance, la famille exerce parfois une pression non négligeable.
- le mariage dominant/dominé. On comprend facilement les problèmes soulevé par une telle relation, mais les motivations apparaissent souvent plus difficiles à discerné. Dans une tel relation, le "dominé" est autant moteur de la relation problématique que le "dominant".
En tout état de chose, l'absence de liberté prend sa source dans un manque, si ce n'est pas carrément une absence, de dialogue.

La fidélité est l'argument le moins entendus, et le plus sujet à caution. L'infidélité étant parfois, pour ne pas dire souvent, provoquée par le conjoint "trompé". Souvent inconsciement, mais dans un proportion non négligeable, ce jeux pervers est tout à fait consciement.

La fécondité n'est pas recevable étant considéré comme un devoir de fécondité en amour, et non pas obligatoirement parentale. La fécondité en amour étant à la porté de tous car déjà naissante dans un couple.

L'indissolubilité force le couple à ne pas considérer la mariage comme une "tentative", mais comme une réalité vivante.

voili voilou.
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Sophia
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Message non lu par Sophia » dim. 26 déc. 2004, 1:01

Le mariage de ma mère avec mon père a été invalidé par le Vatican, je n'entrerai évidemment pas dans les détails ici, elle a donc pu se remarier à l'église.
Les divorcés/remariés n'ont pas le droit de communier. C'est très dur pour certains, mais dans certaines paroisses il y a des groupes de divorcés remariés, je trouve ça nécessaire, même si le remariage est contraire aux règles catholiques, ces gens existent et n'ont pas été excommuniés!

elisseievna
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Message non lu par elisseievna » jeu. 30 déc. 2004, 6:17

" Je suis affolé quand je vois que certains font l’amour à l’âge de 14 ans. C’est très grave, que peut-on savoir de l’amour à cet âge ?"

là encore je suis abassourdie par de telles reactions,

bien sur quand des adultes font comprendre à des (à leurs) enfants qu'il "faut le faire", parce qu'ils, eux les adultes, ont envie de s'assurer que leur fille exerce ses talents de séductrice, ou que leur fil soit "initié", on hésite entre les mots "inceste","voyeurisme" ou "proxénétisme" pour qualifier ces adultes,
mais l'inceste est tout aussi présent dans le controle répressif étroit de la sexualité des jeunes !

oui bien sur on peut aimer a 14 ans, profondement et sincerement, et si l'on a eu un entourage aimant qui vous a appris à respecter et prendre soin des autres, ou est le risque de blesser l'autre ? ou est la "catastrophe" ?

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aramis
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Message non lu par aramis » jeu. 30 déc. 2004, 12:36

Peut-être vais-je choquer, mais il me semble que l'age à partir duquel on fait l'amour n'est pas trés important.
Les jeunes vierges dont parle la Bible se sont souvent mariées trés tôt. C'était la coutume à l'époque. Rester vierge jusqu'au mariage voulait dire alors rester vierge jusqu'à 13 ou 14 ans.

Aujourd'hui les temps ont changé, et ce n'est pas un mal. Mais en considérant qu'une femme se marie vers 30 ans, il faut avouer que lui demander de garder sa virginité jusque là... c'est un peu vache...

Alors, l'amour hors du mariage ?

Ici et maintenant, dans ce monde imparfait, je pense qu'il n'y a pas beaucoup d'autres alternatives.
Prions simplement pour qu'il s'agisse d'amour et non de fornication.

Bien sur, j'en connais qui qui répondrons que rester vierge est possible, et que cela fait plaisir à Dieu. C'est vrai, je ne le nie pas. Que celles qui le souhaitent le fassent, et qu'elles soient bénies.
Mais d'autres ne sauront pas... Alors ne lions pas sur leurs épaules des fardeaux qu'elles ne pourront porter. Et tournons les yeux vers l'essentiel... L'Amour de Dieu.
Dépassionner l'homme pour les choses terrestres, j'appelle cela une spiritualité de massacre. (François Varillon. 1980)

wanderer
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Message non lu par wanderer » jeu. 30 déc. 2004, 13:23

oui bien sur on peut aimer a 14 ans, profondement et sincerement, et si l'on a eu un entourage aimant qui vous a appris à respecter et prendre soin des autres, ou est le risque de blesser l'autre ? ou est la "catastrophe" ?
La catastrophe est que l'acte d'amour a perdu toute dimension sacrée et cela que l'on soit croyant ou pas finalement. Vous ne pouvez pas nier que la façon dont on regarde cet acte a changé et que c'est mauvais. L'aboutissement de la libération des moeurs, ce n'est pas l'épanouissement des jeunes qui font l'amour à 14 ans, la conséquence logique, je la vois plus dans les tournantes et autres aboninations. Mais, cotoyez-vous des enfants de cet âge? Je suis quand même assez étonné. Quelle vision de l'amour a-t-on à 14 ans? Sait-on ce qu'est l'engagement, la fidélité? L'acte d'amour dans une optique chrétienne est si beau, il repose sur des choses tellement plus profondes que la vision consummériste que les gens ont de l'amour. Niez-vous une dégradation morale de la société? Voilà pourquoi c'est si grave parce que plus personne ne veut donner cette éducation et que cette vision de l'engagement dans l'amour est tourné en ridicule. L'amour vrai pour nos enfants consiste à leur donner une vision saine de ce que doit être l'amour dans le meilleur des cas, pas à dire que rien n'est grave, que l'on fait ce qu'on veut et que ça n'a pas de conséquence. je suis persuadé qu'il y a des quantités énormes de gens qui regrettent d'avoir précipité cette première fois. Aujourd'hui, on a une vision personnelle et égoïste d'une jouissance immédiate. Moi je trouve que l'acte d'amour est souvent gâché, que les gens se privent d'une des plus belles joies de l'existence humaine. Je ne veux pas culpabiliser les gens, mais je revendique au moins le droit de leur dire que l'acte d'amour ne peut prendre sa pleine valeur que dans l'engagement, l'abandon et la fidélité.

Voilà pourquoi je trouve cela si grave, parce que l'on prive les jeunes de vivre l'amour de la façon la meilleure qui soit, qu'on les en détourne même. C'est pour ça que je pense que les époux chrétiens doivent aller dans le monde et témoigner de leur bonheur, de la merveilleuse Providence qui les unit.

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Message non lu par elisseievna » jeu. 30 déc. 2004, 13:37

vous liez "sacre" et fidelite ...
pour moi le sacre est l'etre humain, on peut avoir des relations ephemeres mais aimantes,

la vision consumeriste, evidemment qu'elle me revulse, evidemment je voudrais qu'elle soit bannie au moins des emissions de grande ecoute pour les jeunes ...
mais je ne la vois sans doute pas autant que vous, parmi les jeunes autour de moi je ne la vois pas.

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Message non lu par wanderer » jeu. 30 déc. 2004, 14:30

vous liez "sacre" et fidelite ...
En partie, mais pas seulement. Avant ma conversion, je pensais déjà la même chose car je lis de façon indissoluble amour vrai et fidélité.
pour moi le sacre est l'etre humain
Ca, c'est évidemment ce qui fait que nous ne nous comprendrons jamais pleinement sur quasiment aucun sujet rejoignant la morale.
on peut avoir des relations ephemeres mais aimantes
Je ne dis pas que tous ceux qui font l'amour avant le mariage n'ont jamais aimé, je ne me le permettrais pas. En revanche, je suis sûr que l'on ne peut trouver la plénitude de l'amour que dans le mariage, la fidélité et l'amour sans limite. Mais imaginez-vous seulement le lien merveilleux qui unit deux êtres qui ont cette vision de l'amour? je ne crois pas vous vous rendiez bien compte de cette joie merveilleuse, de cette confiance et de ce repos que l'on a. C'est une joie tellement tellement profonde, un abandon total, une vie transformée.
mais je ne la vois sans doute pas autant que vous, parmi les jeunes autour de moi je ne la vois pas.
Ca c'est parce que vous êtes une fille, si vous entendiez les garçons, vous perdriez sûrement en naïveté. Aucun sexisme derrière ça, la pure vérité.

"Pubip, elle est bip, je me la metbip bien sur la bip bip bip bip bip"

Ne soyez pas naïve. Et en plus, cela vient même chez les filles maintenant. Comment le nier, même chez moi dans ma campagne, c'est évident.

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Message non lu par elisseievna » jeu. 30 déc. 2004, 15:01

je ne dis pas que cela n'existe pas,
mais seulement que ce n'est pas aussi repandu peut etre que vous decrivez,
en tout cas pas autour de moi

en tout cas quand je pense a la generation precedente, adulte, celle qui allait voir "emmanuelle""histoire d'o" ou "attache moi".., je n'ai pas l'impression qu'elle fut ni qu'elle soit fondamentalement meilleure (!)

parmi les jeunes, le puritanisme/ sexisme religieux qui reapparait incite aussi a la haine des filles de "mauvaise reputation", violente.

c'est le fait, ou non, de considerer l'autre comme egale, égale en liberté, sexuelle ou autre, égale dans le droit de ne pas etre "manipulé", berné, "consommé", qui fait la difference, que l'on prefere la fidelite ou pas.

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Sur la chasteté

Message non lu par FMD » jeu. 30 déc. 2004, 18:04

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aramis a écrit :Bien sur, j'en connais qui qui répondrons que rester vierge est possible, et que cela fait plaisir à Dieu. C'est vrai, je ne le nie pas. Que celles qui le souhaitent le fassent, et qu'elles soient bénies.
Mais d'autres ne sauront pas... Alors ne lions pas sur leurs épaules des fardeaux qu'elles ne pourront porter. Et tournons les yeux vers l'essentiel... L'Amour de Dieu.

Je ne vois pas la chasteté comme une privation mais comme un merveilleux gage d'amour, l'attente est en effet avant tout une fabuleuse preuve d'amour comme nous le montre la Bible à de nombreuses reprises, car elle est liée à l'espérance. On peut douter d'un « je t'aime » car même les langues passeront pour reprendre saint Paul, mais on ne peut pas douter par contre des sentiments d'une personne qui, avant même de nous connaître, accepte de se donner uniquement à nous par les liens sacrés du mariage. Toutefois il est évident que cela n'autorise aucune forme de moralisme vis à vis des personnes qui font un autre choix.
elisseievna a écrit :pour moi le sacre est l'etre humain, on peut avoir des relations ephemeres mais aimantes

Hélas combien de jeunes filles de 16 ou 17 se laissent-elles abuser en s'offrant de tout leur coeur, pensant que cette union sera éternelle ? Je ne parle même pas des blessures et des désillusions causées par des garçons « qui ne pensent qu'à ça » mais je vais tout simplement me borner à un exemple comme il en existe tant d'autres, vécu par une amie proche. À 16 ans elle pensait avoir trouvé le garçon idéal, assez vite ils décidèrent de passer à l'acte pour la première fois et tout semblait être au mieux dans le meilleur des mondes possibles. Seulement voilà, le mal fit son ouvrage et ses sentiments se sont progressivement éteints jusqu'au point de non-retour. Aujourd'hui, bien que son aventure se soit relativement bien terminée, elle regrette sincèrement d'avoir partagé la plus belle preuve d'amour qu'elle possédait avec un garçon qu'elle n'aime plus.
elisseievna a écrit :parmi les jeunes, le puritanisme/ sexisme religieux qui reapparait incite aussi a la haine des filles de "mauvaise reputation", violente.

Bien entendu mais cette réaction – aussi inappropriée soit-elle – d'une partie de la jeunesse n'est hélas qu'un pur effet de balancier par rapport aux outrages permanents commis contre la sexualité. La sexualité est en effet une grâce magnifique mais lorsqu'elle étalée aux yeux de tous en permanence, elle devient alors obscène et pervertie. De plus vous avez une vision bien idyllique des rapports entre filles et garçons durant l'adolescence, la réalité est hélas bien plus crue comme l'a souligné Wanderer et nombreuses sont celles et ceux qui se laissent prendre au piège et qui en souffrent terriblement par la suite.[/align]

bdetarade
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Message non lu par bdetarade » jeu. 30 déc. 2004, 18:27

Quel est la fin de d'une relation sexuelle?
Il faut mieux être chrétien sans le dire, que se dire chrétien sans l'être.

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Message non lu par wanderer » sam. 01 janv. 2005, 15:14

Quel est la fin de d'une relation sexuelle?
Voilà la fausse question par excellence à mon avis. Pourquoi l'acte d'amour aurait-il une fin? Il est par essence désintéressé. Pour certains; le but est le plaisir et l'acte sexuel devient un acte égoïste et qui perd sa beauté. Mais souvent, ce qui n'ont pas cette conception sont accusés de renoncer au plaisir. Mais c'est là qu'est l'erreur, le plaisir est au contraire démultiplié dans une optique chrétienne de l'acte d'amour car dans ce cas, il n'est plus jouissance personnelle, il n'est pas non plus don de plaisir au partenaire. Il y a bien sûr cette dimension, mais il y a tellement plus et c'est pour cela que le plaisir est à mon avis démultiplié. Il y a un abandon total au partenaire, mais il y a aussi participation à la Charité de Dieu et dans ce cadre, l'amour est transcendé, il prend son sens plein. Mais pour autant car je sens un peu ce qu'il y a derrière la question de bdetarade, il ne s'agit pas là d'une vision utilitariste de l'amour, bien sûr que non. Il ne s'agit pas de se dire pendant l'accouplement je suis en train de faire un enfant. Non, c'est un abandon et un don. Don de la grâce de Dieu et don mutuel des époux. Pour que cet acte prenne sa pleine beauté et son sens vrai, il ne doit pas être fermé au don de la vie. Je crois que l'on peut résumer ce qu'est l'acte d'amour par cette formule célèbre.

Tout amour vrai est fécond. :)

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regrets

Message non lu par elisseievna » lun. 03 janv. 2005, 21:45

franck,

que votre amie regrette ne signifie ni qu'elle n'aurait que des raisons de regretter, ni que toutes les personnes qui se trouvent dans sa situation vont la regretter

par son regret elle nie d'une certaine façon que quand on aime c'est en quelque sorte toujours "pour toujours", meme si cela s'arrete,
elle attache (c'est son "droit") plus d'importance au fait d'avoir manqué une possibilité, qu'au fait d'avoir vecu un amour, avec toute l'importance que cela peut avoir en soi, et en tant que formation de soi même,
c'est son echelle de valeur qui fait qu'elle ressent plus de tristesse que de joie d'avoir aimé..

il y a des tas de gens qui ne regrettent pas d'avoir vecu des histoires qui s'arretent, plus que d'etre resté isolé, refermés sur soi, par souci de "purete"

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Message non lu par bdetarade » lun. 03 janv. 2005, 21:54

wanderer a écrit :Voilà la fausse question par excellence à mon avis.
Question fausse, peut-être, mais pas inutile, surtout au vu de ta réponse. :P

Ceci dit, je préfère une autre citation:
"L'Amour contre nature est l'Amour contre la nature de "l'autre" "

Ce qui me choque le plus dans les discours ce sont les "Je", les "Tu" et les "Vous" de politesse, alors que l'Amour devrait se conjuguer uniquement au pluriel.
Il faut mieux être chrétien sans le dire, que se dire chrétien sans l'être.

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Message non lu par wanderer » lun. 03 janv. 2005, 22:53

Ce qui me choque le plus dans les discours ce sont les "Je", les "Tu" et les "Vous" de politesse, alors que l'Amour devrait se conjuguer uniquement au pluriel.
:unsure: pas tellement compris là. Merci de préciser le propos. :unsure:

Faut-il comprendre que selon vous il n'y a pas une façon optimale de vivre l'amour fournie par Dieu? Pâ compris

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