JustineF a écrit :On pourrait certainement mener l'étude sur un échantillon plus représentatif je vous l'accorde. Je m'y attache d'ailleurs, les jolies catho se montrent d'ailleurs très enclines à accepter nos invitations à venir dîner à la maison et ne sont pas les moins attirées par le fruit défendu. Ce n'est que mon expérience, et je ne m'en plains pas, mais je ne peux m'empêcher d'y voir l'attrait de la transgression. Pour donner envie de quelque chose, il suffit parfois de l'interdire de façon assez véhémente et répétée.
Mais oui vous avez raison : les cathos sont tous des homos refoulés, et merci de nous cracher comme d'habitude votre haine à la figure. Ca y est, vous êtes contente ? Peut-on poursuivre un débat rationnel ou doit-on continuer avec ces âneries ?
JustineF a écrit :Raistlin a écrit :En revanche, voir qu'un foyer homosexuel est bancal par rapport à un foyer hétérosexuel, et que priver délibérément un enfant de son père ou de sa mère revient à le priver d'un droit fondamental, voilà quelque chose que la raison établit sans trop de souci.
Vous allez un peu vite en besogne. Où se trouve le lien logique dont vous déploriez l'absence un peu plus tôt?
Mais je ne vais pas du tout vite en besogne. Je ne cesse d'expliquer - et jamais vous n'avez été fichue de réfuter ce que je disais (par contre, vous êtes fortiche pour détourner le débat en vous livrant à des attaques bassement anti-cathos) -, qu’un foyer normal, c’est un père, une mère et des enfants. C’est la nature qui le veut : un enfant vient TOUJOURS d’un homme et d’une femme, ce qui devrait suffire à vous mettre la puce à l’oreille si vous acceptiez d’ôter vos lunettes idéologiques 5 minutes.
Ainsi, un enfant a le droit d’avoir un père et une mère dont il est le fruit de l’amour réciproque. Or les homos qui veulent un enfant, sont prêts à délibérément lui refuser ce droit, au nom de leur égoïsme. Ce qui arrive par accident (couples séparés, décès d’un parent, etc.), les homos veulent que ça devienne légal. En gros, ils veulent créer délibérément et légalement des situations bancales et traumatisantes pour un individu : ne pas connaître ses vrais parents, ne pas avoir de père, ne pas avoir de mère. C’est de l’égoïsme pur et dur qui ne pense jamais au bien de l’enfant.
Après, c’est votre conscience. Si vous êtes prête à blesser un enfant volontairement pour assouvir vos désirs, c’est vous que ça regarde. Mais ne nous demandez pas, en plus, de vous approuver.