Souffrance, espérance et rédemption

« Assurément, il est grand le mystère de notre religion : c'est le Christ ! » (1Tm 3.16)
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lucieperraton
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Souffrance, espérance et rédemption

Message non lu par lucieperraton » jeu. 03 mai 2012, 19:10

Quand je regarde mon jardin fleuri par le généreux printemps, une joie déborde devant la Magnificience de Dieu en toutes choses; Et je me surprends à vouloir à mon tour prendre soin de mon jardin pur LUI dire combien je l’aime. Quand l’Amour de Jésus déborde en mon âme je désire de tout cœur lui rendre la pareille. Jésus ouvre son cœur depuis la nuit des temps et m’aime comme je suis, sans attente! Le louanger, souffrir, rire , se donner, lâcher prise …. C'est le dialogue avec Dieu qui compte ; Tout ce qui existe est transformé par l’Amour; Rien n’est perdu pour Lui.

L’année dernière un brigadier s’est jeté devant l’enfant que la voiture allait frappée. Il est mort et l’enfant n’a eu que quelques blessures. L’Äme de cet homme et Dieu ne faisaient qu’UN lors de l’évènement , voilà un merveilleux cadeau pour ce simple homme. Je sais par ma Foi que malgré mes limites je suis sans cesse en découverte de la Miséricorde de Dieu dans ma Vie. Sans LUI c’est le vide ; avec LUI la vie sous toutes ses formes abonde.
Ma patiente de 97 ans se dit prête à partir si le cancer de son fils pouvait être enlevé. Elle demande humblement à Dieu de l'exaucer.

Dans les höpitaux , dans le département des soins paliiatifs il est reconnu que ceux qui croient
traversent les derniers moments avec plus de sérénité , de détachement..

MiguelMorin
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Souffrance et espérance

Message non lu par MiguelMorin » ven. 04 mai 2012, 4:28

Bonjour, permettez-moi de vous partager cette réflexion du Père Nouwen sur la souffrance :
Ta souffrance, si profonde qu’elle soit, se rattache à des circonstances précises. Tu ne souffre pas dans l’abstrait. Tu souffres parce que quelqu’un te fait mal à un moment donné et à un endroit précis. Tes impressions de rejets, d’abandon et d’inutilité s’enracinent dans des événements bien concrets. Ainsi toute souffrance est-elle unique. C’est éminemment vrai de la souffrance de Jésus. Ses disciples l’ont abandonné, Pilate l’a condamné, les soldats l’ont torturé et crucifié.
Et pourtant, tant que tu en restes aux détails, tu passes à côté du sens de ta souffrance, Tu te trompes si tu crois qu’il suffirait que les gens, les circonstances et les événements soient différents pour t’épargner cette souffrance. C’est peut-être vrai en partie, mais la vérité profonde, c’est que la situation qui a provoqué ta souffrance n’a été que l’occasion pour toi de prendre contact avec la condition humaine souffrante. Ta souffrance est pour toi la manière concrète de participer à la souffrance de l’humanité.

La guérison, paradoxalement, consiste donc à passer de ta souffrance à la souffrance. Quand tu t’arrêtes aux circonstances particulières de ta souffrance, tu cèdes facilement à la colère, au ressentiment et même à la vengeance. Tu es porté à intervenir sur les facteurs externes de ta souffrance pour la soulager; c’est pourquoi tu cherches souvent à te venger. Mais la véritable guérison viendra quand tu auras compris que ta souffrance particulière est une part de la souffrance de l’humanité. Cette prise de conscience te permettra de pardonner à tes ennemis et d’entrer vraiment dans une vie de compassion. C’est la voie qu’a suivie Jésus, jusqu’à la croix : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font ». (Lc 23, 34) La souffrance de Jésus, aussi concrète qu’elle ait pu être, était la souffrance de toue l’humanité. Sa souffrance était la souffrance.

Chaque fois que tu peux oublier la situation concrète qui a causé ta souffrance pour te concentrer sur la souffrance de l’humanité à laquelle tu participes, ta souffrance devient plus facile à supporter. Elle devient un « fardeau léger » et un « joug facile à porter » (Mt 11, 30). Une fois que tu auras compris que tu es appelé à vivre en solidarité avec les affamés, les sans abri, les prisonniers, les réfugiés, les malades et les mourants, ta propre souffrance commencera à devenir la souffrance, et tu trouveras des forces nouvelles pour la vivre. Tel est le secret de l’espérance de tous les chrétiens.
Miguel Morin
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Souffrance et espérance

Message non lu par lucieperraton » ven. 04 mai 2012, 23:49

Un immense merci pour ce texte. Sans prétendre saisir toute sa profondeur. J'aurais bien aimé vous partager tout le bien qu'il me fait et toute l'espérance qu'il contient . Mais .......tabarouette...de tabarouette ça fait deux fois que le message s'efface par ma maladresse.

Je ne suis pas une sainte et pourtant je suis priviligiée par tout ce que Jésus m'apporte de joie et de découverte dans mon quotidien.

Alleluia!

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René
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Message non lu par René » sam. 05 mai 2012, 4:34

Bonjour Lucieperraton et Miguel,

Il y a quelques jours, je postais une question sur ce même sujet de la souffrance.

Vous me confirmez dans ce que je commence à comprendre aprés l'avoir ressenti !! Malade chronique le sujet me passionne !! Je crois que vous avez tout les deux raison et il me semble que chaque "expérience " de la souffrance abonde en ce sens. En se jetant sous ce véhicule, Lucieperraton, le brigadier s'est identifié au Christ en souffrance.

Et, comme le dit le pére Nouwen, merci Miguel, ""ta souffrance est la manière concrété de participer à la souffrance de l"humanité "". Je crois bien que, comme c'est dit dans le texte, il faut comprendre la "nécessité" d'intégrer sa propre souffrance à celle de l'humanité et à celle du Christ.

A partir de là, ses petits maux sont une façon, la façon humaine, de revivre la passion, de participer à la rédemption. Il me semble que c'est fondamental dans la mesure où, dés l'instant où sa souffrance possède un sens, cette même souffrance est vécue avec de l'allégresse.

Il me semble, au fur et à mesure de la réflexion que je mené, que chaque minute de souffrance peut être considéré comme un don. J'avais posé la question de savoir si on pouvait demander au Seigneur que de prendre sa propre souffrance pour en dispenser un être aimé; mais oui, on peut le faire; mais ce n'est pas une absolue nécessité. A chaque intrusion de cette cochonnerie que constitue la souffrance, je songe, je me concentre sur la passion sur Christ et sur l'autre, sur autrui. Dieu nous a fait libres, même libres de donner un sens à ce qui semblerait ne pas en avoir !!! Aucun "mauvais moments" n'est dénués de sens s'il est vécu avec amour et patience. Je crois que la souffrance de l'individu est un tremplin ,une passerelle entre ce même individu et Christ et l'humanité dans sa généralité. Il y a soi, l'autre et Christ.

Souffrir, c'est donner, c'est aimer, c'est contribuer à la rédemption de l'humain. C'est étonnant comme les mots, eux aussi , peuvent servir la cause du Seigneur !

Lucieperraton et Miguel, merci de ce sujet fabuleux !!
René

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Message non lu par lucieperraton » jeu. 10 mai 2012, 3:28

René

Merci de votre réponse . Vous vivez des expériences spirituelles , comme un tête à tête avec Dieu d’une manière bien concrète. Cela m’intéresse cette relation avec Dieu quand nous lui ouvrons grandes les portes. C’est ma Foi en Dieu qui me révèle cette connaissance de la souffrance. J’aimerais bien lire cette expérience que vous avez ressentie avant de commencer à comprendre comment Dieu s’y prenait pour vous soulager. En attendant votre réponse, je veux vous partager une petite part de souffrance que Jésus a eu la joie de vivre avec moi.

En gros, Il y a 4 ingrédiens dans ma recherche d’un contact avec Dieu (ça fait un peu prétentieux mais je me lance……l’Esprit Saint est avec nous).
- Le premier c’est la Foi, une belle Foi qui s’est amenée un jour ( il n’y a pas longtemps) que plus rien ne marchait dans ma vie et que visiblement à bout de ressources, j’ai bien été obligée de conclure que Seul Dieu peut sauver du désastre une vie si moche. Bon , à la suite de cette prise de conscience, la prière aidant, la vie suivait son cours mais pas tout à fait comme avant. Des petits signes auxquels je me raccrochais. Cela ressemblait à un soupirqui relâche la tension ; un soulagement, oui un soulagement bien que bref mais réel est apparu devant certaines situations que je remettais maintenant entre les mains de Jésus.
- Deuxième ingrédient : OSER vivre sa souffrance
Un fait vécu encore il y a 2 jours jetterait un peu de lumière : Une résistance mêlée de culpabilité, de colère, de fatigue qui frise la déprime m’habite toujours avant d’aller visiter ma mère à une heure et demi de chez moi ( en passant maman est une femme formidable et pleine de vie )
Et pourtant avant chaque visite, à mes yeux j’ai toutes les raisons du monde de trouver rébutant cette visite! Mais aux yeux de Jésus (que j’ai laissé entré dans ma vie) il y a toutes les raisons du monde pour vivre cette expérience que j’appréhende tant. Je le sais. Trop souvent dans la voiture, vers ma destination, je suis tirée vers de sombres pensées; alors je prie, et demande à Dieu de m’aider…………. et enfin il y a 2 jours voici que. ……, aussi limpide qu’une source, le constat me saute au visage : je n’arrive pas à aimer ma mère… Ma Mère!! La souffrance ressentie à cet instant prend une tournure inattendue. Mise à jour et supportée par le regard de Jésus ,cette souffrance m’apparaît comme un pont entre Lui et ma petite âme. Cette relation me fait sentir vivante!!! Et vécue ans honte .Alors confiante, je Lui demande de m’aider à résoudre cette affaire à sa façon.
- Troisième ingrédient : s’étonner !! …….Devant les maladresses, les accrocs, les peurs de chacune de nous, maman et moi, des mots gentils, des sourires, des petites attendtions, jaillissent sans effort. Agréablement étonnée, je ne me reconnais pas; devant cette facilité à régler au fur et à mesure les défis , je sais que la tendresse de mon Jésus y est pour quelque chose.
- Quatrième ingréient; la récolte : de retour chez moi,2 jours plus tard, ma fatigue a pris le large, le sentiment que quelque choe de beau s’est passé dans ma vie me fait sentir vivante et reconnaissante.

Voilà une des milliers de recettes que le Christ propose dans nos tourments. Que de mystère devant nos souffrances ……..que de souffrance devant notre refus de vivre nos malheurs dans les bras de Celui qui sait plus que tout nous soulager. Quelque fois je me dis combien j’ai gaspille d'années de souffrance seule sans cet être Adorable.. Combien de patience et de souffrance Dieu doit’il endurer pour nous retrouvrer .

La souffrance aux yeux de Dieu n’est pas quantifiable. À lui Seul le pouvoir de soulager toute misère selon son dessin ,par Amour pour chacun de ses enfants. Merci mon Bon Jésus d’ëtre là et de m’aimer comme je suis. À René et Miguel un immense merci de Sa lumière en vous qui a rejailli dans ma vie

Je vous emprunte, René, vos mots pour terminer: ''Souffrir, c'est donner, c'est aimer, c'est contribuer à la rédemption de l'humain.''

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Message non lu par René » jeu. 17 mai 2012, 9:05

Bonjour Lucieperraton,

Pardon du retard de la réponse, je ne "surveillais" plus le sujet et par ailleurs j'ai été en CHU durant quelques jours avec une connexion épouvantable.

Vous me dites votre intérêt pour mon parcours de foi; c'est l'histoire d'une vie. Je crois que ce n'est pas le lieu ; mais surtout, je suis convaincu que chaque histoire de la naissance d'une foi est individuelle, personnelle. La relation au Seigneur est une relation privilégiées, unique en son genre.

Dieu est le seul être à pouvoir se manifester de façon collective et individuelle. Voyez comme nos civilisations peinent à faire le bonheur de l'humain; la personne est noyée dans la masse.Seul , la parole de Christ, son enseignement donne satisfaction. Mon parcours, comme le votre sont uniques en leur genre; et c'est ce qui en fait la valeur.

A bientot
René

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Message non lu par lucieperraton » mer. 30 mai 2012, 4:03

Merci René de votre réponse. Effectivement l'histoire d'une vie n'est pas le but de ce forum

Tout ce que je vis avec Dieu est unique en son genre que ce soit sentir une fleur, se lever le matin, aider quelqu'un, et vivre une colère, partager dans un forum....... c'est toute une vie que cela. C'est ma relation avec Dieu qui fait l'éclairage. La maladie a été un moyen que Dieu a utilisé dans votre vie. Moi aussi.....et bien d'autres gens dans ce forum j'en suis certaine.Cette histoire que vivent les gens m'intéresse.

Juste une petite remarque pour terminer:vous avez écrit:
Voyez comme nos civilisations peinent à faire le bonheur de l'humain; la personne est noyée dans la masse,,......''
Cette phrase ne nous apprend rien de constructif et pourtant combien j'aime ma société aussi malheureuses soit-elle. Je me sens responsable et redevable. J'ai 60 ans et sans tous ceux ( des centaines...) qui m'ont accompagnés dans ma vie je ne serais pas ce que je suis, une fille du DIeu vivant. Le Christ m'a ouvert ses bras des milliers de fois à travers les autres pour m'aider et je n'ai pas toujours été reconnaissante. Notre société n'est pas heureuse , soit; laissons Dieu régler ce que nous ne pouvons pas régler . J'arrête mon discours car voilà une autre histoire .

(Je suis débutante et quelque chose m'échappe dans votre réponse. J'espère n'avoir pas été déplacée dans ce que j'ai raconté sur mon parcours de la foi et dans mon intérêt à connaitre un bout de votre chemin.)

Enfin , l'erreur est humaine et bravo à toux ceux qui partagent sur ce forum

Mes respects Lucie

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Message non lu par René » mer. 30 mai 2012, 12:27

Bonjour Lucieperraton,

Oui, je pense comme vous que notre société pourrait être plus heureuse !! Mais c'est de notre fait; c'est nous qui bâtissons notre société mais pas dans le respect de la parole.

Dieu nous laissé libres et nous faisons parfois un bien mauvais usage de ce merveilleux cadeau !!

Ma remarque en effet, n'est pas constructive mais à partir de cette prise de conscience et vous nous donnez des exemples, il serait possible de repartir sur des bases plus saines.

Rassurez vous , vous n'avez été en aucune façon importune ! Je vous souhaite de passer une bonne journée

René

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La souffrance

Message non lu par Trinité » sam. 29 sept. 2018, 22:24

A l'instar de Jésus qui a souffert pour le pardon de nos péchés, la souffrance est elle nécessaire pour notre rédemption? [...]

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Re: La souffrance

Message non lu par Voyageur » sam. 29 sept. 2018, 22:38

Oui.

Étymologiquement souffrance vient de "porter sous" ou supporter.
La souffrance est la résultant de la contrition et le pardon sa solution.
Tu m'as montré les chemins de la vie,
Tu me rempliras de joie par ta présence.

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Re: La souffrance

Message non lu par Trinité » sam. 29 sept. 2018, 23:02

Voyageur a écrit :
sam. 29 sept. 2018, 22:38
Oui.

Étymologiquement souffrance vient de "porter sous" ou supporter.
La souffrance est la résultant de la contrition et le pardon sa solution.
Bonsoir Voyageur,

Il est patent de constater, que tout le monde ne supporte pas les mêmes souffrances!
Il y a des gens qui souffrent beaucoup et d'autres ...très peu, ou pour le moins qui ont eu des vies très ...tranquilles, et j'en connais!
Peux t'on en déduire que ces personnes là n'ont pas gagné leur paradis, car elles n'ont pas été confrontées à la souffrance?

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Re: Souffrance, espérance et rédemption

Message non lu par Voyageur » dim. 30 sept. 2018, 8:02

Je vous ai parlé d'une souffrance particulière, associée à la contrition.
Lorsque l'on s'oppose à la guidance de l'Esprit-Saint dans nos vies.
Alors oui, cette souffrance est un passage nécessaire à la Libération.

À quel type de souffrance faites-vous référence ?
Tu m'as montré les chemins de la vie,
Tu me rempliras de joie par ta présence.

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Re: Souffrance, espérance et rédemption

Message non lu par Trinité » dim. 30 sept. 2018, 16:59

Voyageur a écrit :
dim. 30 sept. 2018, 8:02
À quel type de souffrance faites-vous référence ?
Je fais allusion à la souffrance basique (si je puis m'exprimer ainsi...) relatives aux épreuves de la vie, supportées par tout un chacun !

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Re: Souffrance, espérance et rédemption

Message non lu par Voyageur » dim. 30 sept. 2018, 19:34

Vous voulez dire une souffrance temporaire...
Qui ne s'apparente pas à un décès, une maladie dégénérative ou un handicap profond,...
Qui sert de signal d'alarme et nous enjoins à modifier ce qui provoque notre douleur ?

Comme l'anxiété ?
Tu m'as montré les chemins de la vie,
Tu me rempliras de joie par ta présence.

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Re: Souffrance, espérance et rédemption

Message non lu par Trinité » dim. 30 sept. 2018, 20:23

Voyageur a écrit :
dim. 30 sept. 2018, 19:34
Vous voulez dire une souffrance temporaire...
Qui ne s'apparente pas à un décès, une maladie dégénérative ou un handicap profond,...
Qui sert de signal d'alarme et nous enjoins à modifier ce qui provoque notre douleur ?

Comme l'anxiété ?
Non!

Il y a des personnes pour qui la vie est un long fleuve tranquille, pas de soucis familiaux, pas de maladie, pas de problèmes de travaille ect...alors qu'il y en a d'autres qui traînent la misère du monde derrière eux!

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