"Le style, c'est l'homme" disait Buffon.katolik a écrit :
« Vous êtes des pasteurs, pas des fonctionnaires >
Avec des formules comme celle-ci, on ne va pas être déçu par ce Pape: ça va déménager de partout, à l'intérieur et hors de l’Église.
"Le style, c'est l'homme" disait Buffon.katolik a écrit :
« Vous êtes des pasteurs, pas des fonctionnaires >
Une phrase choc prononcée lundi matin par le Pape François dans l'homélie de la messe à la Maison Sainte Marthe où il réside. Une messe en présence du Père Federico Lombardi, directeur de la Salle de presse du Saint-Siège et directeur général de Radio Vatican, du Père Ciro Benedettini, vice-directeur de la salle de presse, de quelques employés de ce bureau et quelques techniciens de la Radio travaillant au Centre de retransmission de Santa Maria di Galeria."Dans les communautés chrétiennes aussi se trouvent des arrivistes".
Jésus disait aux pharisiens: "Vous vous échangez la gloire l'un l'autre. Une religion un peu de boutiquier, non? Je te donne la gloire, tu me donnes la gloire. Mais ceux-là ne sont pas entrés par la véritable porte, qui est Jésus !""Ils font semblant d'entrer mais ce sont des voleurs et des brigands, ils volent à Jésus sa gloire". Et le Pape d'ajouter: "On ne peut suivre une religion "de boutiquier".
Et pour qui ne l'aurait encore compris, le Pape répétait : "La porte c'est Jésus, et celui qui n'entre pas par cette porte se trompe". Comment sait-on que la porte c'est Jésus ? Pour le Pape, il faut alors prendre les Béatitudes et faire ce qu'elles disent. "Tu es humble, tu es pauvre, tu es doux, tu es juste. Et quand tu entends une autre proposition, tu ne l'écoutes pas". Certes, ajoutait le Pape François,La porte, la vraie porte, l'unique porte est Jésus. Nous devons entrer par cette porte". Celui qui ne le fait pas est un voleur ou un brigand, quelqu'un qui veut faire du profit pour lui-même".
Refusant de passer pour un fondamentaliste, il ajoutait : N'est-ce pas Jésus qui nous le dit :"Je suis la porte, je suis le chemin qui donne la vie"."il existe de nombreuses routes, peut-être beaucoup plus avantageuses pour arriver. Mais elles sont fausses. La route, c'est Jésus.
"C'est une dichotomie absurde de vouloir vivre avec Jésus sans l'Eglise", a encore expliqué le Pape, "de vouloir suivre Jésus en dehors de l'Eglise, d'aimer Jésus sans l'Eglise". "L'Eglise mère nous donne Jésus, elle nous donne l'ìdentité qui n'est pas seulement un sceau, mais une appartenance:"l'identité chrétienne n'est pas une carte d'identité, mais bien une appartenance à l'Eglise, à l'Eglise mère", parce que "trouver Jésus en dehors de l'Eglise n'est pas possible".
ajoutait encore le Pape dans cette homélie improvisée.l'identité signifie appartenance, et cette appartenance à l'Eglise est une belle chose"
Pour le Pape, une fois encore il "n'est pas possible de croire en Jésus sans l'Eglise, car Jésus lui-même le dit dans l'Evangile: Mais vous vous ne croyez pas parce que vous ne faites pas partie de mes brebis"."Si nous ne sommes pas "brebis de Jésus", la foi ne vient pas. C'est une foi à l'eau de roses, une foi sans substance".
"Les bureaux sont nécessaires, mais jusqu'à un certain point. Car l'Eglise n'est pas une ONG, mais une histoire d'amour, a ajouté le Pape, et donc le IOR et les autres organismes sont nécessaires "pour soutenir cette histoire d'amour". Mais"Quand l'Eglise veut se vanter de sa grandeur, et crée des organismes, des bureaux et devient un peu bureaucratique, elle perd sa substance principale".
L'Eglise n'est pas une entreprise"quand l'organisation prend la première place, l'amour vient à manquer et l'Eglise malheureusement devient une ONG. Et ce n'est pas là le bon chemin".
Le Pape s'est alors interrogé sur ce qu'est l'Eglise. "L'Eglise n'est pas seulement une entreprise humaine, a-t-il souligné, ce ne sont pas les disciples qui font l'Eglise. Les disciples sont des envoyés, par Jésus. Le Christ lui-même a été envoyé par le Père. L'Eglise commence là, dans le coeur du Père qui a eu cette idée ou plutôt cet amour, une histoire d'amour si longue dans le temps et qui n'est pas encore finie".le chemin que Jésus a voulu pour son Église est un autre: c'est celui des difficultés, de la Croix, des persécutions..."
Mais cette histoire là n'était pas cette histoire d'amour de Dieu."L'Eglise "ne croît pas par la force humaine, et certains chrétiens se sont donc trompés au cours de l'histoire, ils ont levé des armées, ils ont mené des guerres de religion.
Le sens de l’existence de l’Homme est résumée dans cette phrase. La création de l’homme et de la femme à l’image de Dieu et le jugement éternel du Christ. Un évènement sur lequel Jésus est revenu régulièrement lors de sa vie terrestre. François s’est donc attardé sur trois passages de l’Évangile de Matthieu : la parabole des dix vierges, celle des talents et celle du Jugement dernier.« Jésus viendra de nouveau dans la gloire pour juger les vivants et les morts. »
et ayons le cœur ouvert au bien, à la beauté et à la vérité. Il nous enjoint donc d’être toujours prêt à sa venue dont nous ne connaissons ni le jour, ni l’heure en sachant décrypter les signes de sa présence parmi nous et maintenant vive notre Foi par la prière et les sacrements.Avec miséricorde et patience, le Seigneur nous donne ce temps d’attente avant son retour pour que nous tenions allumées les lampes de la foi, de l’espérance et de la charité,
L’attente du retour du Seigneur est le temps de la mise en valeur de ces dons pour Dieu, pour l’Église et pour les autres. Une parabole qui prend tout son sens en cette période de crise où la solidarité devient une nécessité rappelle le Pape. François s’est une nouvelle fois adressé aux jeunes qu’il a interpellé.La parabole des talents nous fait réfléchir sur l’usage des dons que nous recevons de Dieu.
La parabole du jugement éternel« N’enterrez pas vos talents ! Pariez sur des idéaux de service de l’autre ! La vie ne nous est pas donnée pour la garder jalousement mais pour que nous la donnions ! N’ayez pas peur de rêver en grand
Le fait de penser au Jugement dernier, a insisté le Pape François, devrait nous stimuler à mieux vivre notre quotidien, en apprenant chaque jour à reconnaître Dieu présent dans les pauvres et les petits, en travaillant pour le bien et en étant vigilants dans la prière et dans l’amour.Nous serons donc jugés sur notre amour pour Dieu sur notre attention et à notre service au prochain.
L’histoire d’amour à laquelle le Pape François s’est référée au cours de la Messe célébrée dans la matinée du mercredi 24 avril, dans la chapelle de la Domus Sanctae Marthae, c’est celle de la maternité de l’Eglise. Une maternité, a-t-il dit, qui croît et se diffuse dans le temps « et qui n’est pas encore finie », poussée non par des forces humaines mais « par la force de l’Esprit Saint ».quant l’administration et la bureaucratie prennent une dimension prépondérante, l’Eglise perd sa vraie substance et risque de se transformer en une simple organisation non gouvernementale.
Puis s’adressant aux personnes présentes, il a expliqué : « Tout est nécessaire, les bureaux sont nécessaires », mais « ils sont nécessaires jusqu’à un certain point », c’est-à-dire « comme soutien à cette histoire d’amour ». Quand en revanche « l’organisation prend la première place, l’amour rétrocède et l’Eglise, la pauvre, devient une ONG. Et cela n’est pas la bonne route ».l’Eglise n’est pas une ONG. C’est une histoire d’amour ».
Ainsi peut-on expliquer cette première lecture: “La Parole de Dieu croissait et se répandait”. Elle croît ainsi. Ici s’explique ce que disait Jésus : “Qui croit en moi, ne croit pas en moi mais en Celui qui m’a envoyé”. Le Père qui est à l’origine de cette histoire d’amour».nous avec la force de l’Esprit, « tous ensemble, nous sommes une famille dans l’Eglise qui est notre Mère.
Cela est la magnanimité que les chrétiens doivent avoir. On ne peut comprendre qu’un chrétien soit pusillanime. Cette magnanimité est propre à la vocation chrétienne : toujours plus, toujours plus, toujours plus ; toujours de l’avant.».Le Seigneur travaille avec tous ceux qui prêchent l’Evangile.
Le style de la prédication évangélique va sur cette attitude, l’humilité, la charité, l’amour fraternel ».“Très chers amis revêtez-vous tous d'humilité dans vos rapports mutuels, car Dieu résiste aux orgueilleux, mais c'est aux humbles qu'il donne sa grâce”.
La dimension missionnaire chrétienne, la prédication de l’Evangile de l’Eglise, passe par cette voie ».Aller de l’avant, en tenant compte aussi des petites choses. Cela est divin. C’est comme une tension entre le grand et le petit ; les deux réunis, c’est cela qui est chrétien.
C’est une invitation à ne pas se laisser saisir par la peur et à vivre la vie comme une préparation à mieux voir, à mieux écouter et à aimer davantage que le Pape François a prononcée dans l’homélie de la Messe célébrée le vendredi matin, 26 avril, dans la chapelle de la Domus Sanctae Marthae.La foi n’est pas une aliénation ni une escroquerie, mais elle est un chemin concret de beauté et de vérité, tracé par Jésus, pour préparer nos yeux à fixer sans lunettes « le visage merveilleux de Dieu » dans l’endroit définitif qu’il a préparé pour chacun.
« Sur le chemin de la vie – a expliqué le Pape – le Seigneur a toujours fait cela : à travers les épreuves, les consolations, les tribulations, les bonnes choses. Tout le chemin de la vie est un chemin de préparation. Parfois le Seigneur doit le faire rapidement, comme il l’a fait avec le bon larron : il n’avait que quelques minutes pour le préparer et il l’a fait. Mais la norme dans la vie est d’aller ainsi : se laisser préparer le cœur, les yeux, l’ouïe pour arriver à cette patrie. Car là est notre patrie ».préparer le cœur pour aimer, aimer davantage ».
Également le chemin du retour à notre patrie ».nous somme en chemin, avec cette promesse de la patrie définitive. Et « cela n’est pas une aliénation : cela est la vérité, cela signifie laisser Jésus préparer notre cœur, nos yeux, pour cette beauté si grande. C’est le chemin de la beauté.
– et d’autre en revanche « utilisent l’argent pour acheter des faveurs » et trouver des compromis, ou « la calomnie pour diffamer et chercher de l’aide auprès des puissants de la terre » et se moquent parfois de ceux qui essaient de vivre dans la joie chrétienne leur propre souffrance. C’est sur cette confrontation que s’est arrêté le Pape François samedi matin, 27 avril, dans l’homélie lors de la Messe célébrée dans la Domus Sanctae Marthae.Certains affrontent la souffrance en gardant la joie vivante qui naît de l’Esprit – comme par exemple les chrétiens persécutés encore aujourd’hui dans de nombreuses régions du monde
Comme l’ont fait ceux qui, le matin de la résurrection, quand des soldats sont allés leur dire: “Nous avons vu cela ”, leur ont ordonné “Taisez-vous ! Tenez...” et avec l’argent ils ont tout étouffé ».La calomnie ». Ceci est un comportement qui l’on retrouve tout au long de l’histoire : c’est le propre des « groupes fermés de faire des compromis avec le pouvoir ; de résoudre les questions “entre nous”.
Regardons Jésus qui nous envoie évangéliser, annoncer son nom avec joie, emplis de joie. N’ayons pas peur de la joie de l’Esprit. Et ne nous mêlons jamais, jamais, à ces choses qui, à la longue, nous conduisent à nous fermer en nous-mêmes. Dans cette fermeture, on ne trouve pas la fécondité et la liberté de l’Esprit ».
: c’est l’encouragement du pape François ce 28 avril 2013, au cours de la messe qu’il a célébrée place Saint-Pierre.« Nous chrétiens nous ne sommes pas choisis par le Seigneur pour de petites bricoles, allez toujours au-delà, vers les grandes choses »
Ouvrons la porte à l’Esprit, laissons nous guider par lui, laissons l’action continue de Dieu faire de nous des hommes et des femmes nouveaux, animés par l’amour de Dieu, que l’Esprit Saint nous donne ! Qu’il serait beau si chacun de vous, le soir pouvait dire : aujourd’hui à l’école, à la maison, au travail, guidé par Dieu, j’ai accompli un geste d’amour envers mon camarade, mes parents, une personne âgée ! Que c’est beau !l’Esprit Saint nous transforme vraiment et veut transformer, à travers nous aussi, le monde dans lequel nous vivons.
3. Et j’en viens au dernier point. C’est une invitation que je vous adresse à vous confirmands et à tous :les difficultés, les épreuves, font partie de la route pour parvenir à la gloire de Dieu, comme pour Jésus, qui a été glorifié sur la Croix ; nous les rencontrerons toujours dans la vie ! Ne pas se décourager ! Nous avons la force de l’Esprit Saint pour vaincre ces épreuves.
Là se trouve le secret de notre chemin ! Lui nous donne le courage d’aller à contre-courant. Écoutez bien, les jeunes : aller à contre-courant ; cela fait du bien au cœur, mais il nous faut du courage pour aller à contre-courant et lui nous donne ce courage ! Il n’y a pas de difficultés, d’épreuves, d’incompréhensions qui doivent nous faire peur si nous demeurons unis à Dieu comme les sarments sont unis à la vigne, si nous ne perdons pas l’amitié avec lui, si nous lui faisons toujours plus de place dans notre vie. Ceci aussi et surtout si nous nous sentons pauvres, faibles, pécheurs, parce que Dieu donne force à notre faiblesse, richesse à notre pauvreté, conversion et pardon à notre péché. Il est si miséricordieux le Seigneur :demeurez solides sur le chemin de la foi avec une ferme espérance dans le Seigneur.
Misez sur les grands idéaux, sur les grandes choses. Nous chrétiens nous ne sommes pas choisis par le Seigneur pour de petites bricoles, allez toujours au-delà, vers les grandes choses. Jeunes, jouez votre vie pour de grands idéaux !si nous allons à lui, il nous pardonne toujours. Ayons confiance dans l’action de Dieu ! Avec lui nous pouvons faire de grandes choses ; il nous fera sentir la joie d’être ses disciples, ses témoins.
: c’est une vraie joie ! Qu’il en soit ainsi !ouvrons grande la porte de notre vie à la nouveauté de Dieu que nous donne l’Esprit Saint, pour qu’il nous transforme, nous rende forts dans les épreuves, renforce notre union avec le Seigneur, nous fasse demeurer solides en lui
Mais il faut s'approcher du sacrement sans tromperies ni demi-vérités, avec douceur et joie, confiants et armés de la « bienheureuse honte », la « vertu du humble » qui nous fait nous reconnaître pécheurs. C'est à la réconciliation que le Pape François a consacré l'homélie de la Messe célébrée dans la matinée du lundi 29 avril, dans la chapelle de la Domus Sanctae Marthae.la confession est la rencontre avec Jésus au cours de laquelle l'on touche du doigt sa tendresse.
qui offre à l'homme une paix différente, une paix du monde, pas la vraie paix. Tel est le sens de la réflexion proposée par le Pape François dans la matinée du mardi 30 avril, au cours de la Messe célébrée dans la chapelle de la Domus Sanctae Marthae.les chrétiens doivent continuer de confier l’Église à Dieu, en lui demandant d'en prendre soin et de la défendre des pièges du malin,
et dire au Seigneur: "ce sont les tiens, ce sont les nôtres... protège-les" » est une autre chose: cela signifie « confier l'Eglise au Seigneur »; c'est « une prière qui fait croître l’Église », mais c'est aussi « un acte de foi ».prier l’Église, pour ceux que nous ne connaissons pas, mais qui sont nos frères et sœurs, parce qu'ils ont reçu le même baptême,
Avec cette attitude, il nous donnera, parmi les tribulations, la paix que lui seul peut donner, qui ne s'achète pas; cette paix qui est un véritable don de la présence de Jésus au milieu de son Église », même dans les tribulations: les grandes, comme « la persécution », mais « aussi les petites tribulations de la maladie, ou des problèmes familiaux ».invitation à apprendre à confier les personnes âgées, les malades, les enfants, les jeunes au Seigneur, en répétant: « "Veille, Seigneur, sur ton Église": elle est à toi!
Le pape a centré sa catéchèse, lors de l'audience générale place Saint-Pierre, sur le travail et kla contemplation, en présence de quelque 70 000 visiteurs.éradiquer "la traite des personnes condamnées à un travail avilissant, qui rend esclave".
Le travail ! Jésus naît de Marie par l’action de Dieu, mais en présence de saint Joseph, son père légal. Il vit dans la Sainte Famille où il apprend le métier de charpentier. Cela nous rappelle que le travail fait partie du dessein d’amour de Dieu. Il nous « oint » de dignité et nous rend semblables à Dieu.deux idées : le travail et la contemplation de Jésus.
La prière du rosaire nous permet de contempler les mystères de Jésus. En ce mois de Marie, qu’il serait beau si, en famille, avec les amis, en paroisse, nous récitions ensemble le rosaire ou une prière à Jésus et à Marie !Chacun de nous devrait se demander : quelle place je donne au Seigneur ?
Bon pèlerinage à tous !""Quant à vous chers jeunes, que chacun mette du sien dans ses devoirs quotidiens, ses études, son travail, ses amitiés et dans sa vie de charité.
Le livre de la Genèse raconte que Dieu a créé l’homme et la femme en leur confiant la tâche de remplir la terre et de la soumettre, ce qui ne signifie pas l’exploiter, mais la cultiver et la préserver, en prendre soin par leur propre labeur (cf. Gn 1, 28 ; 2, 15). Le travail fait partie du plan d’amour de Dieu ;la dignité et l’importance du travail.
Le travail est un élément fondamental pour la dignité d’une personne.nous sommes appelés à cultiver et à préserver tous les biens de la création et c’est ainsi que nous participons à l’œuvre de la création !
très souvent à cause d’une conception économiste de la société qui recherche un profit égoïste, sans tenir compte des paramètres de la justice sociale.je pense à tous ceux, et ce ne sont pas seulement les jeunes, qui sont au chômage,
Et je voudrais aussi m’adresser en particulier à vous, les jeunes, les garçons et les filles : engagez-vous dans votre devoir quotidien, à vos études, dans votre travail, dans vos relations amicales, dans le souci des autres ; votre avenir dépend aussi de la manière dont vous savez vivre ces années précieuses de votre vie.ne pas perdre espoir ; saint Joseph aussi a connu des moments difficiles, mais il n’a pas perdu confiance et il a su les surmonter, certain que Dieu ne nous abandonne pas.
J’ajoute un mot sur une autre situation particulière de travail qui me préoccupe : je veux parler de ce que nous pourrions appeler le « travail d’esclave », le travail qui rend esclave. Tant de personnes, dans le monde, sont victimes de cette forme d’esclavage, où c’est la personne qui sert le travail, alors que ce devrait être le travail qui offre un service aux personnes, leur permettant de garder leur dignité. Je demande à tous les frères et sœurs dans la foi, et à tous les hommes et femmes de bonne volonté de faire un choix décisif contre la traite des personnes, qui englobe aussi le « travail d’esclave ».N’ayez pas peur de l’engagement, du sacrifice et regardez sans peur vers l’avenir ; entretenez l’espérance ; il y a toujours une lumière à l’horizon.
Chacun de nous, et vous aussi les jeunes, les garçons et les filles, si nombreux ce matin, nous devrions nous demander :Pour écouter le Seigneur, il faut apprendre à le contempler, à percevoir sa présence constante dans notre vie ; il faut s’arrêter pour dialoguer avec lui, lui donner de la place par la prière.
Depuis notre enfance, nos parents nous ont habitués à commencer et à finir la journée par une prière, pour nous apprendre à sentir que l’amitié et l’amour de Dieu nous accompagnent. Souvenons-nous plus souvent du Seigneur au cours de nos journées ! Et en ce mois de mai, je voudrais rappeler l’importance et la beauté de la prière du chapelet. Lorsque nous récitons le « Je vous salue, Marie », nous sommes amenés à contempler les mystères de Jésus, c’est-à-dire à réfléchir sur les moments importants de sa vie, pour que, comme pour Marie et pour saint Joseph, il soit au centre de nos pensées, de nos attentions et de nos actions.quelle place est-ce que je donne au Seigneur ? Est-ce que je m’arrête pour dialoguer avec lui ?
Chers frères et sœurs, demandons à saint Joseph et à la Vierge Marie de nous enseigner à être fidèles à nos engagements quotidiens, à vivre notre foi dans nos activités de chaque jour et donner plus de place au Seigneur dans notre vie, à nous arrêter pour contempler son visage. Merci.La prière dite ensemble est un moment précieux qui affermit encore davantage la vie de famille, l’amitié. Apprenons à prier plus souvent en famille et comme une famille !
qui contraint l’Esprit « à un double travail »: telle est l’image proposée par le Pape François aux personnes qui ont participé à la Messe du jeudi 2 mai, dans la chapelle de la Domus Sanctae Marthae.L’ Église, « communauté du oui » forgée par l’Esprit Saint, qui s’oppose à « l’Eglise du non »,
« Demandons au Seigneur que l’Esprit Saint nous assiste toujours pour devenir une communauté d’amour. D’amour de Jésus qui nous a tant aimés »; « une communauté du oui qui conduit à accomplir les commandements », a conclu le Pape.Quand une communauté chrétienne vit dans l’amour, confesse ses péchés, adore le Seigneur, pardonne les offenses, est charitable envers les autres, et est une manifestation de l’amour, alors elle ressent l’obligation de fidélité au Seigneur de suivre ses commandements.
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