J'avoue être assez étonnée. En quoi le conservatisme est-il près de la victoire? Pour gagner, il faut une influence politique. Or, force est de constater que depuis quelques décennies, ce sont les progressistes, la gauche, qui vont de victoires en victoires. Un certain conservatisme pourrait bien être vu de plus en plus favorablement par une partie du peuple, cela ne lui assurerait pas pour autant de se voir refléter par des lois. Dans la majorité des pays occidentaux, les conservateurs n'ont absolument pas pu ou pas su empêcher le mouvement de sécularisation grandissant et toutes les lois progressistes récemment adoptées.pour moi, la victoire du conservatisme est déjà certaine, c'est aussi inévitable que la marée ou le lever du soleil.
Quelles victoires? Je ne vois honnêtement pas ce que vous avez en tête.et un reniement injuste de certaines de leurs victoires.
En réalité, la néssécité
Et si le pape lui-même vient de déclarer le contraire?AL n'a pas l'autorité d'une encyclique, aux dernières nouvelles, et l'ambiguitée n'est pas l'erreur. Ne va-t-il pas de toute façon de soi, par définition, qu'il faille l'interpréter dans le sens de la Tradition ? Y-a-t-il une autre clé d'interprétation que celle-ci ? Pardonnez-moi de faire preuve de naïveté, mais il me semble bien qu'une ambiguité pontificale ne peut être une pleine ambiguïté, puisque son interprétation traditionnelle est la seule interprétation possible.
http://leblogdejeannesmits.blogspot.ch/ ... moris.html