Bonjour,
Si j'aurais une chose à dire c'est de se méfier des ennemis de la foi, des adversaires de l'Église, loups déguisés en brebis, désespéré(e)s n'ayant plus la foi catholique ou incapables de l'avoir en vérité, qui vont se présenter comme des réformateurs soi-disant pleine de bonnes intentions mais qui vont en réalité agir comme des destructeurs. Oui, au profit de la destruction.
Et l'une de ces stratégies de destruction de la foi catholique va employer la filière féministe. Et, de cela, je suis absolument convaincu. C'est une filière qui, - comme Satan qui cherche toujours à se déguiser en ange de lumière -, va évidemment enrégimenter à son service le bataillon des pauvres victimes. On parlera bien d'un bord des enfants victimes de ces affreux curés. Mais on ne se gênera pas non plus pour soulever ces autres pauvres victimes que seraient les femmes. Quand on est affeux, on ne l'est pas à moitié. Il sera bien clair que les curés seront aussi des oppresseurs de femmes. "Bon sang mais c'est bien sûr !"
Quelle solution ? Détruire l'Église ... On le dira jamais comme ça. Non, juste l'améliorer, changer ses structures, sabrer dans la doctrine, reconstruire, repenser la façon de voir ... et etc.
Je tombe, il y a peu, sur un reportage radio-canadien de l'émission
Second Regard. Un reportage dans lequel on donne la parole de manière dramatique et univoque, avec cadrage serré et obsédant, sur la figure d'une spécialiste du département des sciences religieuses (défunte faculté de théologie) et qui nous cause de ce scandale du viol des religieuses, des femmes soumises et exploitées. Il faudrait sûrement,là aussi, appelé Ozon en renfort.
Faut entendre sur quoi débouche le discours. Rien de moins que le sabordement complet de l'Église, la création d'une nouvelle Église. Ces gens sont des protestants essentiellement.
Ces "théologien(ne)s" que nos médias aiment interviewé et qui sont les seul(e)s à qui l'on donne la parole : ce sont des individus qui sont incapables de croire à plusieurs des dogmes de l'Église. Dans leur incapacité personnelle, tout ce qu'ils trouvent de mieux à faire c'est d'accuser l'Église, Pour eux (ou elles), les scandales sont comme du pain bénit, un bon instrument par lequel penser pouvoir abattre la Bête : papauté, évêques, prêtres ordonnés ...
C'est vraiment écoeurant de voir ça. Moi, ça me lève le coeur. "... à dégobiller." En même temps, je ne peux pas faire autrement que voir à quel point nos libéraux laïcistes sont complices (artisans) de ces manoeuvres tout à la fois démagogiques et anti-catholiques.
Les directeurs actuels de programmes comme l'émission Second Regard n'ont plus rien à voir, rien mais rien à voir, avec les anciens responsables du service des émissions religieuses de Radio-Canada des années 1960 ou 1970.
Mais ce que je veux dire : je dirais à tous de ne pas se décourager. Le Christ est vainqueur, puis l'Église aussi. Ce qui n'empêchera pas que pour le moment, les catholiques peuvent s'attendre à subir des attaques de toutes sortes, à être méprisés, insultés, traités de criminels, exploiteurs, misogynes, abuseurs, méchants et tout. Il faut tenir bon. Et toujours se rappeler qui est l'accusateur "de nos frères" (de l'Église en général ...)
Attention ! Il n'en veut jamais dire que des fidèles catholiques ou des prêtres ne peuvent pas tantôt sombrer dans des tentations, perdre la maîtrise d'eux-mêmes et pécher plus ou moins gravement. C'est clair ! Il arrive que même des religieux peuvent être pris en faute. Mais ce que je dénonce c'est la
récupération qui est fait du péché de l'un, dans le but de faire avancer l'agenda de démolition; ce qui nous renverrait bien à l'action de ces autres femmes en Allemagne.
"L'autre scandale" ... dit Radio-Canada. Voir la solution à la fin.
https://ici.radio-canada.ca/tele/Second ... s-proteges