L'Opus Dei

[DeLesdiguieres]

Un livre qui arriverait a apostasier des baptisés, c'est aller un peu loin...

[Hélène]

Un livre qui arriverait a apostasier des baptisés, c'est aller un peu loin...

Pas du tout ! L'Église Anglicane rapporte plus d'un million de demandes d'apostasie depuis la sortie du livre. Dans l'expérience personnelle, j'ai une amie qui travaille dans les paroisses qui reçoit régulièrement des téléphones de personnes enragées contre l'Église qui demandent l'apostasie. L'ignorance des gens au sujet de l'Église et de la religion chrétienne en général est telle qu'ils croient dur comme fer, même si l'auteur dit que c'est une fiction, que les faits sont réels. Allez visionner le reportage de KTO et constatez ce qui se passe à l'église saint Sulpice. J'ai une collègue de travail qui est très fachée contre l'Église (c'était déjà latent avant de lire le Code Da Vinci) depuis qu'elle a lu le bouquin. J'ai beau lui dire que c'est de la fiction, de la bouillie pour les chats...elle y croit.

Je n'ose pas imaginer ce que fera le film...

[Lucie]

Bonjour Hélène,

Lucie a écrit:
"Bonjour,
j'ai lu que l'opus dei , les membres s'infligeaient des "châtiment corporels" ou des douleurs physique. "

Vous avez répondue "Bien sûr que ce serait choquant...si c'était vrai ! "

Pourtant les divers participants à ce forum ont l'air de s'entendre pour reconnaître que certains membres de l'Opus Dei portent des cilices et se flagellent...
J'avoue je n'ai pas lu le débat en entier , en fait la deuxième page je ne l'ai pas lu en entière , donc si jamais je dis des bêtises pardonnez ma paresse.

Lucie

[Hélène]

Bonjour Lucie, bonne fête (c'est la fête de votre sainte patronne aujourd'hui) !

En fait, je n'en sais pas tellement plus que vous à ce sujet. Seulement, je fais confiance au discernement de l'Église et je me méfie de plus en plus de ce que les médias rapportent, spécialement l'Internet. Il est très difficile de nos jours de trouver l'information juste dans les médias, spécialement lorsqu'il s'agit de l'Église Catholique. Je préfère faire encore confiance dans les sites officiels qui annoncent tel et tel mouvement ainsi que le site du Vatican. J'ai pour mon dire, ma foi oblige, que le Seigneur Jésus ne peut pas nous tromper ni tromper son Église et que s'il existe des déviances à l'intérieure de l'Église (ce qui n'est jamais impossible), elle saura les mettre en lumière par le charisme de discernement dont elle jouit.

Je vous propose de lire ce qui suit du site de l'Opus Dei concernant les mythes véhiculés dans les médias à son sujet : http://www.opusdei.org/art.php?w=59&p=8827

Je ne vois pas en quoi il y a quelque chose de différent que ce qu'enseigne l'Église. Les histoires de cilices et de peines corporelles sont sujets à beaucoup de fantasmes dans notre monde, spécialement depuis que le Code da Vinci en a fait une horrible exagération. Il ne s'agit pas d'imposer cela aux membres...absolument pas.

N'allez pas croire tout ce que l'Internet nous raconte...

[jean_droit]

Personnellement je pense que le "problème de l'Opus Dei" est un problème franco-français.
Politique on l'a bien compris.
Je me rappelle les commentaires des journalistes chrétiens sur KTO lors de la canonisation du fondateur de l'Opus Dei !
Fièleux en diable.
Il était difficile de tirer à boulets rouges contre l'Opus Dei ce qui devenait une critique de Jean Paul II et des 500.000 personnes présentes.
Alors on a utilisé la méthode journalistique des demi vérités, des demi mensonges et des allusions.
Je ne connais pas vraiment l'Opus Dei mais tout ce qui est sur leur site me parait tout à fait intéressant et conforme à la doctrine de l'Eglise.
Une ou deux idées qui guident leur action m'ont semblées très bonnes :
D'abord le rappel que nous sommes chrétiens 24h sur 24.
Ensuite qu'il faut évangéliser le milieu étudiant.
De plus il s'agit d'une des organisations catholiques qui comporte le plus de membres.
N'oublions pas que les jésuites furent persécutés très rapidement après la création de leur ordre un peu partout dans le monde catholique.
Bonne journée de l'Avent à tous !
Avec Marie, mère de Dieu, qui porte notre Sauveur !

[Escriva]

Bonsoir Franck,

"Bénie soit la douleur.Aimée soit la douleur.Sanctifié soit la douleur.Glorifié soit la douleur."
Josémaria Escriva.
C'est à se demander pourquoi Jésus guérissait les malades.

Exactement comme si je disais:
"Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux"?
C'est à se demander pourquoi on cherche à se former...
Il est certain que tirer une phrase telle que "aimée soit la douleur" de son contexte prête à confusion. Lorsque l'on cherche à comprendre l'esprit de la lettre, il s'agit bien sûr de faire de la douleur une offrande pour le salut des âmes.

In Christo,

Escriva

[Charles DC]

[align=justify]

Cela dit, il faudrait pour commencer faire le ménage dans l'église, et mettre au pas les fanatiques de l'Opus Dei.

Bonsoir Aramis,

Au risque de susciter un long débat passionné, pouvez-vous préciser quels sont vos griefs à l'encontre de l'Opus Dei ?[/align]

Une lecture trop stricte de Da Vinci Code, peut-être.

[jean_droit]

De ZENIT :

....................

Entretien avec l’auteur de L’Opus Dei – Enquête sur le « monstre »
Patrice de Plunkett répond au film « Da Vinci Code »

ROME, Lundi 15 mai 2006 (ZENIT.org) – Nous publions ci-dessous un entretien que Patrice de Plunkett, auteur du livre L’Opus Dei – Enquête sur le « monstre » (qui sortira le 17 mai) a accordé à Liberté politique.com. « Ne voit-on pas dans l’Opus un ‘concentré’ de tout ce que notre époque reproche à l’Église romaine ?, s’interroge-t-il.… Nous entrons dans une ère où le christianisme n’est plus connu des foules. Il est urgent de ‘ré-informer’ nos contemporains. C’est ce que j’ai voulu faire ».

Q – Pourquoi cette enquête sur l’Opus Dei ?

P. de Plunkett – Parce que le super-film hollywoodien Da Vinci Code (au festival de Cannes le 17 mai) succède au roman Da Vinci Code (40 millions d’exemplaires vendus dans le monde) !

On sait que ce roman donne un rôle de monstre à l’Opus Dei, à son prélat ténébreux et à son «moine-tueur»… Roman + film assènent aux masses ce message : 1/ «L’Opus Dei est un monstre», 2/ «il est le produit de l’Église», 3/ «donc l’Église fait des monstres». Ce message étant propagé par des moyens colossaux sur toute la planète, on ne peut le prendre à la légère. Il faut démonter la machinerie en commençant par le début : l’Opus Dei est-il un monstre ? D’où mon enquête.

Q – Alors : est-ce un monstre ?

P. de Plunkett – Aux yeux de ceux qui ont bâti puis diffusé la légende noire de l’Opus Dei, oui ! Mais qui sont-ils ? La première partie de mon enquête fait la lumière sur eux. Et l’on a beaucoup de surprises... Ce n’est pas la gauche qui a ouvert les hostilités contre l’Opus Dei : c’est l’aile dure du franquisme, dans l’Espagne des années 1940, parce que Josémaria Escriva refusait de s’intégrer à l’idéologie officielle de l’époque ! «Sainte Mafia», «franc-maçonnerie blanche» : tous ces termes dont nos médias usent (aujourd’hui) quand ils parlent de l’Opus Dei, ont été forgés il y a plus de soixante ans par les journaux de la Phalange espagnole !

Q – Mais ensuite, pourquoi la légende noire de l’Opus Dei a-t-elle traversé les décennies ?

P. de Plunkett – Parce que, de 1970 à nos jours, notre société en pleine évolution a projeté ses fantasmes successifs sur l’Opus Dei, selon les «besoins» de chaque époque :
Pendant les seventies, les médias rhabillent l’Opus Dei en «mafia de droite» hostile aux idées de 1968.
Pendant les années 1980, ils décident que l’Opus Dei incarne la «secte» des ennemis de l’hédonisme individualiste et de la société de consommation.
Pendant les années 1990, ils décident que le «dérapage conservateur de l’Église de Jean-Paul II » ne peut s’expliquer que par «un complot», forcément ourdi par l’Opus Dei.
Après le 11 septembre 2001, les médias rhabillent une fois de plus l’Opus Dei en autre chose : cette fois c’est «le réseau secret qui conspire pour le triomphe de l’Occident chrétien». Ce nouveau fantasme correspond à l’évolution des leaders d’opinion en Europe : se sentant menacés par l’islamisme, mais ne voulant pas avoir l’air d’affronter l’islam, ils cherchent à se poser en censeurs de «tous les fondamentalismes dans toutes les religions». Et dans la religion catholique, ils attribuent ce rôle à l’Opus Dei !

Ainsi, de période en période, de fantasme collectif en fantasme collectif, la société se sert successivement du mythe de «l’Opus monstre» pour des usages différents, voire contradictoires… D’où ce paradoxe très significatif : l’Opus Dei, désigné comme «ennemi des valeurs d’aujourd’hui» par la Phalange espagnole en 1941, est encore désigné comme «ennemi des valeurs d’aujourd’hui» en 2006 par les libéraux-libertaires qui votent Delanoë !

Ces soixante ans de légende noire expliquent comment Dan Brown a pu en rajouter encore une couche, encore plus sombre et plus effrayante, et se tailler un pareil succès. Le public a «marché» aussitôt, parce qu’il était habitué à entendre désigner l’Opus comme un monstre. La clé des grands succès de librairie, c’est d’aller à la rencontre d’une évidence populaire : une image (vraie ou fausse), répandue profondément et largement à l’avance...

Dans l’histoire des fantasmes, le «complot de l’Opus Dei» succède au «complot jésuite», au «complot franc-maçon», au «complot juif». Comparer tous ces mythes du complot, du XIXe siècle à aujourd’hui, réserve une autre surprise : à toutes les époques (et surtout quand le monde change), l’opinion publique a besoin de croire à des complots. J’étudie ça dans un chapitre de mon enquête.

Mais si l’Opus Dei est mal vu par les leaders d’opinion à chaque génération, c’est qu’il y a tout de même en lui quelque chose :
Est-ce une «monstruosité», tellement «monstrueuse» qu’elle ferait peur à la fois à une Chemise bleue de 1940 et à un journaliste bobo de 2006 ?
Ou est-ce simplement une vision de la vie qui échapperait au politiquement-correct de chaque époque ?

Q – Donc vous avez enquêté à l’intérieur de l’Opus Dei …

P. de Plunkett – Oui. Et j’ai eu accès à toutes les informations que je souhaitais. Secoué par la violence folle de l’agression Da Vinci Code, l’Opus Dei a compris – un peu tardivement – que sa traditionnelle discrétion, qualifiée de «culte du secret» par ses adversaires, se retournait contre lui. Aujourd’hui, la sécurité c’est la transparence : il est indispensable de faire comprendre qui l’on est exactement, et ce que l’on fait, et pourquoi l’on agit ainsi.

L’Opus Dei a donc coopéré à mon enquête sans réticence. On le constate dans mon livre : réponses franches et détaillées de jeunes femmes et de jeunes hommes membres de «l’Œuvre», confidences d’ex-membres disant pourquoi ils sont partis (et dans quelles conditions), divulgation de données immobilières et financières, explication de l’esprit opusien, exposé clair et net de la gestion des multiples structures de la «mouvance Opus» à travers le monde, éclaircissements sur les démêlés du passé au sein de l’Église…

J’ai aussi enquêté sur le terrain : entre autres dans une institution de l’Opus Dei où plusieurs de mes confrères avaient cru voir récemment un «scandale» épouvantable (rappelez-vous une émission de Canal Plus en 2003, et un livre en 2005)… Après mon enquête, il y a beaucoup de choses qu’on ne pourra plus continuer à affirmer au sujet de l’Opus Dei !

J’ai aussi rencontré des personnages étonnants, dont la présence au sein de l’Opus Dei va stupéfier ceux qui s’en faisaient une image conventionnelle…

Mon livre pose les questions brûlantes et obtient en réponse des éléments objectifs : sur le «conservatisme» dont la presse accuse l’Opus Dei, sur les supposées «dérives sectaires», et bien entendu sur les fameuses «affaires politico-financières»… Je raconte notamment ce qui s’est passé en réalité lors de l’assassinat du banquier Calvi : un récit qui fait pâlir les films les plus noirs sur la Mafia sicilienne. (C’est d’ailleurs elle qui a pendu Calvi sous le pont de Londres. Après quoi elle a cherché à faire diversion, en accusant… l’Opus Dei. Même la Mafia est donc capable de faire du mauvais journalisme !)

Q – Vous pensez avoir fait œuvre utile avec cette enquête ?

P. de Plunkett – Sincèrement oui : parce qu’on ne doit pas laisser proliférer les fausses évidences. Dans les salons du livre et les débats où je suis intervenu depuis septembre 2005 (pour mon précédent livre : Benoît XVI et le plan de Dieu), les gens finissaient toujours par m’interroger, de façon soupçonneuse, sur «le pape et l’Opus Dei» : comme si la nocivité de l’Opus était un fait établi. Cette mauvaise image est due en partie à la stratégie du silence — la «discrétion» — trop longtemps appliquée par l’Opus Dei. Sans doute aussi y a-t-il eu des fautes de la part de membres ou de responsables opusiens ; ce sont les aléas de toute organisation, et je les examine dans mon livre... Mais rien, dans les faits, ne correspond aux accusations (énormes et même invraisemblables) qui circulent à l’encontre de l’Opus Dei !

Alors : pourquoi cette disproportion ? Ne cherche-t-on pas à atteindre l’Église catholique au travers de l’Opus ? Ne voit-on pas dans l’Opus un «concentré» de tout ce que notre époque reproche à l’Église romaine ? Dans ce cas, faire la lumière sur la fille (l’Opus), c’est faire la lumière sur la mère (l’Église)… Nous entrons dans une ère où le christianisme n’est plus connu des foules. Il est urgent de «ré-informer» nos contemporains. C’est ce que j’ai voulu faire.

[Adnocturne]

J'ai tenté par deux fois de créer un topic sur le forum de C dans l'air sur le site France 5.
A chaque fois il a été retiré !
Allez comprendre pourquoi !

[FMD]

[align=justify]

voilà je cherche un livre sur Saint Josemaria escriva qui lui est favorable.
et j'en cherche un qui lui est défavorable.
par contre j'aimerai des livres intelligents et honnêtes.

Je ne connais que deux livres pour le grand public sur l'Opus Dei, réalisés par des journalistes indépendants, et ils ne sont a priori ni favorables, ni défavorables à l'Oeuvre. Le premier est Opus Dei: un regard objectif sur les mythes et les réalités de la puissance la plus mystérieuse de l'Église catholique par John L. Allen (Doubleday pour ce qui est de la version poche... en anglais) et le second est Opus Dei, enquête sur un monstre par Patrice de Plunkett (éditions de la Renaissance, pas de version poche à ma connaissance). À titre personnel, j'ai une petite préférence pour l'oeuvre de John L. Allen. Il existe bien sûr d'autres ouvrages mais ils sont moins facile d'accès, je songe notamment à une biographie de Saint Josémaria en quelques milliers de pages. La lecture de ces livres ne dispense pas de se faire une opinion par soi-même de la pensée de Saint Josémaria en consultant ses différentes oeuvres.[/align]

[Boris]

voilà je cherche un livre sur Saint Josemaria escriva qui lui est favorable.
et j'en cherche un qui lui est défavorable.
par contre j'aimerai des livres intelligents et honnêtes.

Le souci est qu'un livre défavorable à l'Opus Dei est forcément malhonnête car seule la malhonnêté et la mauvaise foi permette de calomnier ce mouvement.

[Cycas]

Concernant les mortifications, elles ont pour seul but de rappeler les souffrances de Notre Seigneur. Si certains utilisent encore le cilice, il me semble que les douleurs physiques sont de plus en plus remplacées par des privations dans la vie quotidienne comme par exemple ne pas prendre de dessert, ne pas acheter quelque chose dont on a envie ou bien encore se priver d'un moment de plaisir.
Ceci afin de méditer sur Celui qui nous comble vraiment.

On peut sanctifier notre douleur, mais aussi et surtout notre vie de tous les jours et c'est bien là le message principal de l'Opus Dei. Et il est terriblement d'actualité alors que beaucoup d'emplois semblent n'avoir aucun sens sinon le profit virtuel immédiat. Même dans son travail pénible, inutile, stressant, le Seigneur nous demande de tout donner pour Lui, de ne pas gâcher nos talents et de les faire fructifier afin de construire dans nos banales existences Son Royaume. Quel excellent moyen d'arracher au vide spirituel ceux qui effectuent le même geste pendant des heures ou ceux qui savent que leur travail n'existera plus dans peu de temps. Chaque moment donné est gagné au Seigneur.
Il me semble que c'est un moyen de conversion efficace dans un monde du travail plutôt tenu par les socialistes et les ultralibéraux.

Enfin pour les livres, il faut bien sûr lire Chemin et méditer chaque conseil en n'hésitant pas à y revenir souvent. Car c'est à la lumière de notre existence que certaines phrases prennent tout leur sens.

Je ne suis pas (encore) membre de l'Oeuvre mais je crois qu'avoir investi le monde du travail riche en bouleversements, talents, exclusions, fraternité et souffrances ne peut que mettre le chrétien au coeur de la société.

[Cycas]

Ne pas oublier non plus Monseigneur Dominique Le Tourneau dont le Que sais-je ? sur l'Opus reste une référence. Une partie est consacrée à son fondateur.

http://dom.letourneau.free.fr/

[Cycas]

Sinon, sur Amazon, j'ai trouvé ces livres mais sans toujours savoir ce qu'ils valent.

St Josemaria Escriva And The Origins Of Opus Dei: The Day The Bells Rang Out par William Keenan

Mgr Josemaria Escriva de Balaguer par Salvador Bernal

Josemaria Escriva

Entretiens avec Monseigneur Escriva de Balaguer

J'ai lu ce livre, Josemaria traite de nombreux sujets. Intéressant pour mieux connaître l'homme.

Prier 15 jours avec Josémaria Escriva par Guillaume Derville

[FMD]

[align=justify]

Mais je préfère quelquechose qui est centré sur josémaria etc.
ceci dit si mis à part la bio il n'y a pas j'irai voir les deux livres cités dans ton message.

Voici donc quelques biographies sérieuses, recommandées par le Centre de Documentation et d'Études sur Josemaría Escrivá (CEDEJ, Université de Navarre). Je te donne les titres originaux mais ces ouvrages ont été traduits en Français:

El Fundador del Opus Dei par Andrés Vázquez de Prada (Le Laurier - Wilson & Lafleur Ltée, Paris - Montréal, 2001)

Opus Dei. Leben und Werk des Gründers Josemaría Escrivá par Peter Berglar (Mame, Paris 1992)

Au pas de Dieu. Josemaría Escrivá de Balaguer, fondateur de l'Opus Dei par François Gondrand (Paris, France-Empire, 1982, 1ère éd.)

Apuntes sobre la vida del Fundador del Opus Dei par Salvador Bernal Fernández (Sos, Paris 1978)

Je ne connaissais parmi ces quatre biographies que la première, déjà évoquée sur ce fil, qui est de très loin la plus fournie.[/align]