Sur l'avortement

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Gwendi
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Message non lu par Gwendi » dim. 20 août 2006, 17:51

Karol W a écrit :
Gwendi a écrit :
mais bien sur les seuls damnés qui resteront ce sont des enfants malades déformés, trisomiques, myopathes, handicapés et autres qui subiront les pires souffrances que jamais vous porteurs SAINS vous ne connaitrez dans votre foi incurable au mensonge, cette différence, cette déficience qui les conduira dans le meilleur des cas au suicide, ou bien vers un mal etre constant porté par le regard inquisiteur vers les autres dont le votre car jamais vous ne cesserez de JUGER, de les dévisager, en leur offrant votre profonde pitié (ou dégout apres tout si Dieu l a fait comme ca, il le mérite) et surtout en affichant votre égo (une petite piece mon BON monsieur) comme un besoin de charité bien ordonné et de vous faire pardonner, mais cette culpabilité ne sera jamais et en aucune mesure aussi insupportable car vous l'oublierez égoistement (et ne me dites pas que vous etes un modele je répondrais que vous etes prétentieux, chacun ses petits soucis apres tout, on essaie tant bien mal de les surmonter) que le petit enfant qui nait avec cet handicap moteur ou mental qu'il na jamais choisi, qui lui pourrit son existence et celles de ses proches au point d etre assisté, ligoté, ou couché, incapable de marcher pour voler de ses propres ailes et devient un petit animal en cage sans coeur ni ame.
Gwendi, j'ai un petit jeu pour vous:
Une femme est enceinte, elle a déjà eu 8 enfants. Trois sont sourds, deux sont aveugles, un souffre de troubles mentaux et deux de la syphilis.
Iriez-vous dans ce cas-là recommander à cette femme d'avorter? Réfléchissez un peu.




Et bien la réponse est simple: Si vous aviez conseillé à cette femme d'avorter, vous auriez causé la mort de Beethoven!

J'ai trouvé ce petit questionnaire sur un site allemand: http://mypage.bluewin.ch/a-z/dmahler/spasstexte.htm

cest un peu absurde comme question, rapprocher l'anti ivg avec beethoven. je vous mets au défit de vous crever les deux yeux, vous rendre aveugle. sans doute que votre génie naitra pour exprimer votre souffrance, votre complainte et votre morosite de la vie.
Dernière modification par Gwendi le dim. 20 août 2006, 18:38, modifié 1 fois.

Gwendi
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Message non lu par Gwendi » dim. 20 août 2006, 18:36

Je ne saisis pas bien la logique de ce paragraphe. L'Église catholique s'oppose pour sa part à l'avortement mais également à toute forme de mutilation. Il va bien entendu de soi qu'une opération chirurgicale à but curatif ne saurait être comparée à une mutilation à caractère sociale ou religieux. Je ne vois par ailleurs pas comment le clonage reproductif pourrait sauver des vies mais passons, j'ai l'impression que ce bref paragraphe vous a servi d'exutoire après la lecture de ce fil.
le clonage n'en tuera pas de toute facon. mais on parle au futur actuellement les techniques ne sont pas au point.


Tout cela est quelque peu confus. L'Église catholique n'a jamais cessé de jouer le rôle que vous lui attribuez, simplement certains États et gouvernements se dispensent aisément de nos jours de son « expertise en humanité ». Certains regretteront ce fait, d'autres le loueront: il est cependant clairement indépendant de la volonté de L'Église

Pour moi, l'église est dévenue un instrument du pouvoir pour le pouvoir. elle va dans le sens de laicité, la communauté pour la communauté. La république francaise a imposé ses dogmes matérialistes archaiques, modernes (la foi en la raison), positiviste (la vie a tout prix et pour la jouissance de l'instant ) et scientistes (Ordre progres) apres la révolution de 1789 et pourtant audela de la loi des hommes, celle d'un état, il y a les lois divines. aujourdhui dans le monde des apparences, de l'argent, c'est l'anti Culture qui s'oppose a l'homme de Culture, contre l'état, la nation protectrice des corps et des âmes a travers la spritualité, la solidarité, la justice, l'histoire, les traditions, les racines et autres valeurs métaphysiques intemporelles.



Vous avez au minimum quatre décennies de retard à mon humble avis. L'Église catholique ambitionne depuis le Saint Concile de Vatican II notamment d'évangéliser à nouveau le monde et donc de ne plus craindre de vivre en son sein. Cette décision n'implique bien évidemment pas de sacrifier la morale chrétienne à la modernité et au politiquement correct, au sens originel du terme.
qu'elle tente déja d'exister, de survivre, de perdurer culturellement, philosophiquement (!) avant d'évangéliser. cet universalisme est contraire a l'esprit chrétien et surtout divin puisqu'elle offre une vision immanente, prosélytiste, propagandiste, idéologique, marchande du monde. vous vous prenez pour son messager? le christ ? c'est du christianisme a la sauce hollywoodienne, du simple mercantilisme, du laicisme, de la pseudo tolérance. pour l instant les chrétiens en occident ceux qui s'en réclament non seulement ne croient plus en dieu pour la grande majorité, ne pratiquent plus les rites traditionnels, ou alors font semblants par nostalgie, par besoin de s'affranchir de la réalité matériel, mais tout en s'écartant du droit chemin dictés par les fondements sacrés qui revelent la puissance divine.


Qu'est-ce que « système capitalo-marxiste sous une forme archaïque néo futuriste et d'idolâtrie sommaire »? :unsure:
je pense qu'on retrouvera les masques d'horreur du 20 eme siecle a travers un capitalisme, et un communisme forcené sous forme de totalitarisme tendance judgment day a ambition bassement économique et matérialiste si rien n'y fait, si l'homme vend son ame, il remplace dieu, et se fait bourreau des hommes. a léglise de s'adapter aux enjeux a venir ou alors elle sera récupéré a des fins politiciennes par des usurpateurs gnostiques révisionnistes de l'identité.

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Le grand marché des croix

Message non lu par bajulans » dim. 20 août 2006, 18:54

On m'a parlé d'un livre à propos d'une handicapée, prénommée Helen. Elle était sourde et aveugle de naissance. Donc elle ne savait ni lire, ni écrire, ni parler, n'avait jamais rien entendu, n'entendrait jamais rien, ne verrait jamais rien.

Pourtant des amies à elle s'étaient acharnées à communiquer avec elle. Elles l'avaient fait par des pulsions imposées sur son avant bras, en lui permettant de communiquer en retour par de doux pincements sur les avant bras de ses compagnes. C'était une petite Américaine. Les Américains raffolent de ces histoires où l'on s'acharne contre un handicap, une malchance et qu'on en triomphe.

La croix de cette femme était effroyable, et pourtant c'était sa croix, ça a été l'occasion de solidarité magnifique, et de l'invention d'un moyen de communication.

S'il y avait un marché des croix, ai-je lu quelque part, chacun pourrait dire "Qui veut ma croix, je l'échange contre la vôtre !" Mais ce marché fermerait vite, car il n'y aurait pas d'échangeur. L'auteur disait, finalement chacun garderait sa croix, car elle est adaptée à chaque personnalité. Si quelqu'un vous disait, - moi mon enfant est mort ! - Moi, j'ai un cancer ! - Moi mon mari m'a quittée pour une autre plus jeune ! etc. Chacun dirait - Heu ben finalement, je garde ma croix qui me paraissait si lourde... et faute d'échange le marché arrêterait.

Alors inutile de nous torturer l'imagination. Un médecin qui piquait ma fille pour je ne sais plus quelle injection, elle dit "Aie !" Il répondit "- Moi, je n'ai rien senti !" Plaisanterie, humour noir nécessaire aux médecins pour pouvoir supporter les souffrances auquelles il assistent tous les jours. Mais humour profond, dans le fond, heureusement Docteur que vous n'aviez rien senti ! L'émotivité est mauvaise conseillère.

Chacun de nous a sa croix, c'est celle que Dieu a prévu pour chacun. Ce qui ne veut pas dire que l'on ne doit pas chercher à soulager les souffrances (ne me faites pas dire, ce avec quoi je ne suis pas d'accord), mais supprimer le bonhomme parce qu'il souffre, ce serait faire le mal pour qu'il arrive un bien, ce qui n'est jamais licite.

Les croix des hommes sont d'ailleurs nécessaires pour compléter ce qui manque à la Passion.

Colossiens I, 24
24 Maintenant je suis plein de joie dans mes souffrances pour vous, et ce qui
manque aux souffrances du Christ en ma propre chair, je l'achève pour son
corps, qui est l'Eglise.
C'est une idée que j'ai trouvée dans Arminjon, si cher à Ste Thérèse de l'Enfant Jésus. Jésus n'a pas souffert la souffrance d'une mère à qui on enlève son enfant, ni du jeune père à qui on annonce qu'il a une maladie et qu'il ne pourra élever ses enfants (etc. à l'infini, ou presque), ainsi Dieu donne à chacun d'entre nous la possibilité de compléter "ce qui manque aux souffrances du Christ".

L'humanité est semblable à un grand orchestre où chacun a sa partition à jouer, jusqu'à ceux qui ne savent pas ou ne peuvent pas jouer, du moins au jugement des hommes. Car notre Grand Chef entend, Lui, la musique qu'ils jouent.
Loué soit Jésus-Christ

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Re: Le grand marché des croix

Message non lu par Gwendi » dim. 20 août 2006, 19:19

c'est une jolie prose, ce sont la de forts jolis textes, de belles complaintes, de petites histoires tristes et souriantes, de gens bien portants qui "voient" avec leurs yeux d'individus sains et moralistes, s'expriment avec leur langue, s'agitent avec leurs bras, écoutent avec leur oreille mais non avec leur coeur, et qui au final ne souhaitent qu'une chose, se déculpabiliser d'etre en bonne santé avec ses quelques soucis quotidiens, et égoistement déresponsabiliser leurs actes et le regard misérabiliste qu'il porte sur leur prochain, moi je crois que tout etre a droit au bonheur avant de naître. l'homme ne doit pas a infliger de terribles douleurs MORALES, sociales et mentales a nos enfants, nos petits enfants et les générations qui suivront pour des raisons sentimentales, émotionnelles et subjectives.
Votre histoire était belle maintenant regardons la réalité en face. la vie pour la vie est une chose, la vie pour Dieu une autre.
Jamais vous ne me ferez croire que cette petite fille a choisi et ne souhaitait pas vivre comme les autres condamnés a la solitude et l'abandon, a ne pas entendre ses proches, a ne pas connaitre ses amis, a ne pas exprimer son amour pour eux par la parole sauf a ressentir au fond d'elle le malheur de ses proches du fait de sa différence.
je pense que de toute facon le suicide, la dépression comme le cancer ce sont des maladies, qui se soignent physiquement ou psychologiquement, et qu'on peut en mourir. A partir de la. il faut trouver le remède, il vient en nous ou bien on vient à lui. l'acte en lui meme n'est donc pas plus condamnable que l'acte d'avorter. beaucoup ont des comportements suicidaires, 'déviants" par l'alcoolisme, la toxicomanie, l'agressivité, l'anorexie etc..., qui ne sont que des symptomes comportementaux d'un déséquilibre moral et intérieur, le corps n'étant pas en harmonie avec sa conscience et son esprit.

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Re: Eugénisme & Devoir d'avortement

Message non lu par Gwendi » dim. 20 août 2006, 19:54

Christophe a écrit :
Gwendi a écrit :mais bien sur les seuls damnés qui resteront ce sont des enfants malades déformés, trisomiques, myopathes, handicapés et autres qui subiront les pires souffrances que jamais vous porteurs SAINS vous ne connaitrez dans votre foi incurable au mensonge, cette différence, cette déficience qui les conduira dans le meilleur des cas au suicide, ou bien vers un mal etre constant porté par le regard inquisiteur vers les autres dont le votre car jamais vous ne cesserez de JUGER, de les dévisager, en leur offrant votre profonde pitié (ou dégout apres tout si Dieu l a fait comme ca, il le mérite) et surtout en affichant votre égo (une petite piece mon BON monsieur) comme un besoin de charité bien ordonné et de vous faire pardonner, mais cette culpabilité ne sera jamais et en aucune mesure aussi insupportable car vous l'oublierez égoistement (et ne me dites pas que vous etes un modele je répondrais que vous etes prétentieux, chacun ses petits soucis apres tout, on essaie tant bien mal de les surmonter) que le petit enfant qui nait avec cet handicap moteur ou mental qu'il na jamais choisi, qui lui pourrit son existence et celles de ses proches au point d etre assisté, ligoté, ou couché, incapable de marcher pour voler de ses propres ailes et devient un petit animal en cage sans coeur ni ame.
Je suppose que pour ceux là aussi vous préconisez le "devoir d'avortement" ?
L'eugénisme n'a pas le droit de cité ici, tenez-vous le pour dit.

Merci de votre compréhension.
Christophe
l'eugénisme (naitre bien) s'il nest pas biologique, sera thérapeutique et s'appliquent culturellement dans la sphère spirituelle vivre bien vivre mieux vivre en bonne santé en recherchant l'amour et la paix intérieur) sans que vous ne trouviez rien a redire dans ses intentions qui sont purement humanistes. les femmes cherchent des hommes beaux, riches et intelligents et d'autres hommes souhaitent le bien de l'humanité contre la misère, avec une descendance heureuse et une famille joyeuse.

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Père s'il est possible !

Message non lu par bajulans » dim. 20 août 2006, 21:11

Bien sûr la croix, n'est jamais drôle, on aimerait bien en être débarassé, je ne le nie pas, même Jésus-Christ lui-même a prié pour que le calice de la croix s'éloigne de lui.

Marc XIV, 36
35 S'étant un peu avancé, il tomba sur la terre; et il priait que cette heure,
s'il était possible, s'éloignât de lui,
36 et il disait : " Abba, Père, tout vous est possible, détournez de moi ce
calice; cependant, non ce que je veux, mais ce que vous (voulez) ! "
Le suicide l'avortement sont des maux, et l'on n'a pas le droit de faire le mal pour qu'il arrive un bien.

Vous ne savez pas si j'ai participé à un avortement ou si j'ai fait une tentative de suicide, ni si je suis malade !

Laiglejo qui était sur notre forum était une handicapée. Elle était très fière de l'être !

George Bush et Mel Gibson souffrent de la maladie alcoolique ! Cela traduit de profondes souffrances intérieures, eux qui sont riches et puissants !

Bien sûr cette femme qui était aveugle et sourde de naissance, par l'imagination parfois, je me dis "Mon Dieu, quelles souffrances, comment peut-on supporter pareilles horreurs ?"

Mais je ne me sens pas coupable et que je me torture ou que je ne me torture pas par l'imagination, cela ne lui rendra pas cinq minutes de vue ou d'ouïe, même si de tout mon être je voudrais que pareilles souffrances n'existent pas et même si je sais que certaines vies ne valent pas la peine d'être vécues, du moins humainement parlant, avec nos vues, nos courtes vues humaines.

Je me console en me disant que je ne suis pas Dieu, qui a ses raisons que je ne connais pas et qu'en en tout cas mes opinions ne peuvent, en aucun cas, m'autoriser à tuer. Nous sommes "embarqués", c'est comme ça.
Loué soit Jésus-Christ

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Re: Père s'il est possible !

Message non lu par Gwendi » dim. 20 août 2006, 21:44

oui ce sont des maux, comme vous dites donc le libre arbitre n'intervient pas. on ne peut pas abolir la maladie, la souffrance, symptome de cette maladie qui nous mene parfois vers la mort . ils font partie de nous. pour qu'il y ait un bien, il est nécessaire qu'il y ait un mal. un bonheur et un malheur. vous ne pouvez pas interdire aux mortels le fait de mourir. vous ne pouvez pas sacraliser comme un positiviste la vie sans désacraliser la mort et ainsi rejeter le royaume de dieu.

jésus s'est tué sur la croix en sacrifice a dieu. depuis son corps clouté, souillé, marqué est synonyme de foi et de conviction.
la souffrance physique n'est que conceptuelle, une image, une représentation symbolique, de la douleur inconsciente et mentale la plus dure a vaincre, jésus n'a pas souffert car il a gardé son honneur, ses valeurs, son intégrité et sa foi.
je ne vois pas ce qui interdirait, ce qui empechera a une femme ou un homme malade, dépressive, victime d'un cancer, alcoolique et autres de quitter ce monde réel pour rejoindre les cieux. cet acte involontaire ou volontaire est une croyance certaine en l'audela, en l'irraison et en l'éternité de l'ame, une libération pour certains. les mutilations, les ablations n'effraient pas, et encore moins la mort pour ces gens la.
les femmes qui avortent n'y sont pour rien, prenez vous en a la société capitaliste qui autorise, cache ou bien précarise meme sacralise de telles pratiques pour des raisons qui sont plus d'ordre financieres que morales et politiques .
mais ce message sera inaudible parceque vous n'entendez pas la détresse de ces femmes et le cri de du silence des enfants aveugles et nécessiteux.
Dernière modification par Gwendi le dim. 20 août 2006, 22:02, modifié 2 fois.

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Il n'y a pas de différence

Message non lu par bajulans » dim. 20 août 2006, 21:54

sous un certain rapport entre la souffrance physique et la souffrance morale, vu que c'est toujours l'âme qui souffre et non le corps (lorsqu'il n'y a plus d'âme, l'homme ne souffre plus, le cadavre est insensible.)

Merci de dire que je ne suis pas sensible aux souffrances des autres, seul vous sans doute et vos amis... Toutes mes félicitations !
Loué soit Jésus-Christ

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Re: Il n'y a pas de différence

Message non lu par Gwendi » dim. 20 août 2006, 22:06

bajulans a écrit :sous un certain rapport entre la souffrance physique et la souffrance morale, vu que c'est toujours l'âme qui souffre et non le corps (lorsqu'il n'y a plus d'âme, l'homme ne souffre plus, le cadavre est insensible.)

Merci de dire que je ne suis pas sensible aux souffrances des autres, seul vous sans doute et vos amis... Toutes mes félicitations !
dites moi est ce difficile de vivre dans un pays qui tolére voire légitime chaque année un génocide de 200 000enfants? est ce surmontable de garder ces morts dans la conscience?
si oui comment faites vous? vous me direz par la prière, mais est ce suffisant pour rester insensible et indifférent par la suite en désespoir de cause ?

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Message non lu par Gwendi » lun. 21 août 2006, 7:15

on a : la liberté de culte, de conscience, la liberté de disposer de son propre corps et la défense ds droits de l'homme. le second englobant l'autre.

ainsi si on considere l'embryon comme un amas de cellules avec 12 semaines par ex, la femme est libre d'avorter

si l'embyron est un humain il y a deux hypotheses.
_ou on suppose que l'embryon appartient au corps de la femme, dans ce cas là, il n'a aucun droit, il n'existe pas car il n'est pas autonome ni former.
_ou il est un individu a part entière et il a des droits dont celui de vivre.

pour ma part, c'est a létat de décrire les droits et les devoirs. ce qui est juste ce qui doit etre sanctionné et donc de définir les lois/regles d'éthique sur l'avortement. interdiction, tolérance, devoir et droit. consentement de l'époux/se, consertation avec un médecin, assistante sociale, budget, tout ceci étant cadré.
chacun bien sur est libre ensuite de condamner ou non personnellement moralement selon son échelle de cruauté de la monstruausité de l'acte en lui meme.


ce n'est pas à la femme de choisir individuellement, et je pense que c'est à l'état de décider si elle doit ou non garder l'enfant. et dans ce sens le 5 eme commandement divin ne s'applique pas. TU ne tueras point à léchelle d'une société mais AU fidele et SA propre conscience, a l'homme de foi, a son libre ARBITRE. ceci est valable pour l'euthanasie et la peine de mort ou seule la législation condamne.
pour le suicide, je pense que pour ma part cest une maladie psychologiue et physique, un maletre sociétal, déréglement hormonal, et autres et donc il peut etre considérer comme un homciide involontaire au regard du droit pénal suite a la folie, la drogue ou la déviance.


l'etat francais comptabilise 200 000 avortements (...) par an sans rougir de honte, et pourtant...
sur le clonage reproductif, ou aucun droit ne sont baffouer, on peut s'interroger puisque cette reproduction d'échantillon adn ressemble ni plus ni moins a l'insémination artificielle dans un établissement privé (banque de sperme pour couple stérile/malade ou femme celib ou couple lesbien) de maniere strictement anonyme en belgique ou naturelle dans la vie réelle.

d'ailleurs le sénat francais fidele a son habitude s'est permis de trancher sans consertation, ni hésitation, la bible ne spécifiant pas toutes les recommandations.
on se demande pourquoi quand aux states et en france, on autorise les centrales nucleaires et la recherche en semence ogm avec les vrais risques qu'on connait et que l'histoire nous a démontré et qui ont permis de perpetrer de VRAIS crimes contre l'humanité... avec prix nobel a la clé et brevets de société.


« Le Sénat français a adopté, mercredi [29 janvier 2003] au soir, à l'unanimité, un amendement du ministre de la Santé Jean-François Mattei interdisant le clonage à finalité reproductive lors de la discussion du projet de loi sur la bioéthique. L'amendement du gouvernement dispose "qu'est interdite toute intervention ayant pour but de faire naître un enfant génétiquement identique à une autre personne humaine vivante ou décédée". Le gouvernement proposera aux sénateurs d'assortir cette interdiction d'une incrimination pénale de "crime contre l'espèce humaine" prévue dans une autre partie du texte. La transgression sera punie de 20 ans de prison et 7 500 000 euros d'amende. Il est prévu une prescription particulière de 30 ans (au lieu de 10) avec comme point de départ de la prescription à partir de la majorité du clone. » (Extrait d'une dépêche AFP du 30 janvier 2003)

http://www.quebecoislibre.org/030215-5.htm

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210.700 IVG en France en 2004

Message non lu par Adnocturne » ven. 22 sept. 2006, 11:41

210.700 IVG en France en 2004, les IVG médicamenteuses en hausse
Par Martine VERON


PARIS (AFP) - Le recours à l'interruption volontaire de grossesse en France métropolitaine a progressé en 2004, après un léger repli en 2003, avec quelque 210.700 femmes concernées dont 11.500 mineures, la voie médicamenteuse s'imposant de plus en plus, selon la Drees (ministère).

La légère baisse du nombre d'IVG en 2003, la première observée depuis 1996, ne s'est pas confirmée en 2004, indique la Drees (ministère de la Cohésion sociale) qui estime à 210.700 le nombre de femmes ayant eu recours à une IVG en 2004, contre 203.000 en 2003.

"Depuis leur autorisation en 1975, le nombre d'IVG n'a que peu varié en France métropolitaine", fait cependant remarquer la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques, dans son étude rendue publique jeudi.

[font=verdana]Sur 1.000 femmes âgées de 15 à 49 ans, 14,6 ont eu recours à une IVG en 2004, contre 14,1 en 2003, et 12,3 en 1995.[/font]
Au total, 75% des IVG sont pratiquées chez des femmes âgées de 18 à 35 ans, mais parmi elles, ce sont les plus jeunes, entre 20 et 24 ans, qui y ont le plus souvent recours (27 IVG pour 1.000).

Les IVG ont progressé en particulier chez les mineures (+32% entre 1990 et 2004), concernant en 2004 11.500 jeunes filles âgées de 15 à 17 ans, soit une sur 100.

La grande majorité des IVG sont réalisées dans le secteur hospitalier public, 70% contre 60% en 1990. Dans près de 90% des cas, l'hospitalisation ne dépasse pas 12 heures et la durée moyenne entre la date de la demande d'IVG déposée auprès d'un établissement de santé et l'acte est d'environ 9 jours, un délai très stable d'année en année.

La part des IVG médicamenteuses, qui peuvent être pratiquées jusqu'à sept semaines d'aménorrhée (fin de la cinquième semaine de grossesse), dans un établissement public ou privé autorisé, continue de croître : 42% en 2004 contre 38% en 2003 et 20% en 1998.

L'IVG médicamenteuse constitue une alternative médicale à l'IVG par aspiration utérine (méthode instrumentale ou chirurgicale).

Depuis juillet 2004, les IVG médicamenteuses peuvent être pratiquées dans le cadre de la médecine de ville, par un praticien ayant passé une convention avec un établissement hospitalier. En 2004, selon la Drees, on comptait moins de cent médecins conventionnés, et le nombre de femmes concernées s'est élevé à 2.185.

Au 31 décembre 2005, environ 500 médecins avaient passé une convention et le nombre d'IVG médicamenteuses hors hôpital, a indiqué récemment le ministère de la Santé, a atteint 10.000.

De fortes disparités régionales dans le nombre d'IVG persistent. Elles sont plus fréquentes en Ile-de-France et dans le Sud (Corse, Languedoc-Roussillon, Provence-Alpes-Côtes-d'Azur). Dans les départements d'Outre-Mer, le taux s'est élevé en 2004 à 41,7 pour 1.000 femmes en Guadeloupe et à 33,8 en Guyane.

"La tendance à la hausse du nombre d'IVG ne semble pas s'expliquer par une moindre utilisation des contraceptifs", souligne la Drees.

En 2005, en effet, 71% des personnes âgées de 15 à 54 ans qui ont eu des rapports sexuels durant les douze mois précédant ont utilisé un moyen contraceptif.

Chez les jeunes, la contraception est aussi de plus en plus courante. La pilule reste le moyen de contraception le plus pratiqué: 68% des 15-19 ans disent la prendre et 56% disent utiliser le préservatif.

Par ailleurs, les femmes connaissent et utilisent de plus en plus la contraception d'urgence, accessible en pharmacie sans prescription médicale depuis juin 1999. Selon le baromètre santé 2005, 13,7% des femmes disent y avoir eu recours au cours de leur vie., les IVG médicamenteuses en hausse
Par Martine VERON
"Stat Crux dum volvitur orbis"

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Message non lu par Christian » lun. 23 oct. 2006, 12:10

Sur un autre fil, Zef m’a sommé de déclarer ma position de libertarien, ou d'ultralibéral, sur l’avortement. Je m’exécute avec plaisir.
condamner [l’avortement] suffisamment haut et fort pour plaider en faveur d'une abrogation de la loi Veil et le retour à une loi replaçant cet acte à son niveau réel , celui de crime ? C'est à dire ne pas en faire un choix individuel privé, mais protéger l'enfant à naître par une juste coercition légale ? Qu'en disent nos trois libéraux ?
Bonjour Zef,

Il est intolérable pour un libéral, parce que follement dangereux pour nous tous, qu’un gouvernement quelconque puisse décider à son bon plaisir qui est un être humain et qui ne l’est pas.

Dans tel pays on est un être humain à 24 semaines de gestation et à ce titre protégé par la loi ; avant, on est une tumeur. Dans tel autre pays, c’est 20 semaines. Ou 22. Ou 16… On n’est pas un être humain pour avoir un père suborneur brutal. On n’est pas un être humain pour avoir une mère trop pauvre ou dépressive.

En l’absence d’évènement biologique, constatable scientifiquement, qui permettrait de repérer l’apparition de son humanité chez un embryon, il faut le déclarer humain dès sa conception. Le détruire à tout moment après cet évènement est donc bien tuer un être humain.

Tuer, néanmoins, peut être légitime. Notamment lorsqu’un agresseur menace la vie d’autrui. Si la grossesse ou l’accouchement présente un danger mortel pour la mère, l’avortement est assimilable à un acte de légitime défense. Peu importe l’intention de celui dont la présence menace la vie d’autrui (et certes l’enfant n’a aucune intention meurtrière !). S’il n’existe qu’une bouée de sauvetage et trois inconnus autour de moi, je considère a priori que ma vie vaut la leur, que je vivrai aussi bien s’ils ne sont plus de ce monde et je me cramponne à la bouée en les laissant se noyer. En revanche, je sais que la perte d'êtres chers, la femme que j'aime, notamment, m'affectera profondément. Et donc, dans ces situations de vie ou de mort, je n’aurai aucune hésitation à recommander à ma femme, à toutes les femmes, avec la plus vive instance, d’avorter. Il appartient à la mère, et à la mère seule, de décider si elle souhaite se sacrifier, mais l’avortement en ce cas devrait être la norme afin de lui éviter de porter une trop lourde culpabilité. Je sais que je ne suis pas dans le droit fil du Magistère en défendant cette position :-( , mais encore une fois, je suis prêt à offrir ma vie pour quelques très rares personnes que je connais, que j’aime, dont j’apprécie les qualités, mais pas pour celui ou celle que je ne connais pas.

Certains chrétiens et législateurs humanistes vont plus loin. Ils admettent l’avortement en cas de viol. Le crime est immonde, certes, mais l’enfant en est innocent. L’avortement ne fait qu’ajouter une victime à celle qui existe. Le viol ne saurait constituer un motif juridiquement valable d’avortement.

Voilà exposée ma position personnelle. J’emploie dans cet article le mot enfant où d’autres utiliseraient embryon ou fœtus, pour souligner mon parti pris. Mais je n’ignore pas d’autres approches.

Celles de certaines féministes gauchistes, par exemple. Elles recyclent l’argument libertarien de John Locke en revendiquant la propriété de soi : « Mon ventre est moi ». (Ces féministes gauchistes versent dans l’incohérence en s’opposant dans le même souffle à la prostitution, aux mères porteuses, à la vente d’organes, etc. Que peut bien signifier « Mon corps est à moi » si je n’ai pas le droit de le louer ni de le vendre :?: ). Assurément, la propriété de son corps est indéniable. On ne saurait la réfuter sans la manifester dans l’acte même de la réfutation (l’objecteur ferait la démonstration de la pleine propriété de ses organes vocaux et de ses membres pour dire ou écrire qu’ils ne sont pas sa propriété). Soit. Les féministes poursuivent le raisonnement en constatant que l’enfant est perçu par certaines femmes comme un intrus dans leur corps. Or chacun a le droit d’évincer un intrus de sa propriété, même s’il s’y est aventuré par inadvertance et sans intention de nuire. L’avortement serait alors justifié comme cas particulier d’éviction d’un indésirable.

L’argument n’est pas idiot, mais disséquons-le.

Ceux qui attribuent à la propriété un caractère absolu, les libertariens américains, par exemple, admettent sans battre un cil qu’on flingue n’importe quel intrus sur son domaine. J’entends d’ici les féministes gauchistes glapir d’indignation. Mais, ô incohérence, elles exigent exactement la même loi du Far West en clamant : « Mon ventre est à moi, tuez l’indésirable. »

Cette logique libertarienne ‘propriétariste’ est-elle imparable ? Elle fonctionne si on l’applique au cas de viol. L’embryon est bien ‘entré par effraction’. Il est innocent, certes, mais, dans la mesure où un conscrit peut être tué avec impunité (si l’on en croit la théorie de la ‘guerre juste’ prônée par l’Eglise catholique et défendue ici par Popeye) alors que le malheureux ne voulait aucun mal aux habitants du pays attaqué, alors un enfant innocent envahissant la propriété de sa mère peut l’être aussi. Si l'on défend la guerre juste, il faut accepter logiquement le refoulement de tous les intrus. Je crois que je suis plus cohérent que les juristes canoniques :innocent: en refusant toute légitimité, tant à une guerre qui implique de tuer des civils (conscrits) qu’à l’avortement en cas de viol.

L’argument ‘propriétariste’ vacille, me semble-t-il, dans les cas de rapports sexuels consentis. Les partenaires ne peuvent ignorer que la procréation est une conséquence possible de ces rapports, de même que l’accident est une conséquence possible de la pratique d’un sport. On fait tout pour l’éviter — et l’usage de contraceptifs manifeste cette prudence — mais on ne peut que s’y résigner s’il survient. (« C’est ainsi, c’est la vie » serait l’expression parfaitement appropriée).

L’intrus, dès lors, n’en est plus un. Il n’est pas entré par effraction. Une porte était restée ouverte. Et l’on serait bien coupable de le tuer en l’expulsant.

Or c’est justement tuer que l’on veut. Et voici où l’argument des propriétaristes s’effondre totalement. Je discute peu d’avortement, mais chaque fois que je m’y suis risqué, j’ai émis l’hypothèse suivante : « La question de l’avortement ne sera-t-elle pas résolue un jour prochain lorsqu’on mettra au point un utérus artificiel ? L’enfant sera délicatement extrait de l’utérus de la mère qui n’en veut point pour être remis à des parents qui l’adopteront à la fin de sa gestation. » Choc, émoi ! Tollé de mes amies ! « Il me serait intolérable, disent-elles en substance, que mon enfant vive quelque part, soit élevé par une autre femme, et puisse ressurgir dans ma vie. Je ne pourrais jamais en faire le deuil. »

Oublié l’argument ‘propriétariste’. Il n’était qu’un cache-sexe. Posez la question autour de vous, vous verrez. Ce n’est pas « Mon ventre est à moi » qui est la revendication, c’est bien la mort de l’enfant.

Puisque vous me l’avez demandé, cher Zef, voilà à ce stade de ma réflexion et très schématiquement ma position sur l’avortement.

Cordialement

Christian

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Message non lu par Renaud » lun. 30 oct. 2006, 20:37

S'agissant du respect de la vie, le discernement entre le bien el le mal est plus facile à faire.
Voir le lien ci-dessous, venant d'un des pays les plus pauvres du continent américain, cette défense de la vie a quelque chose de dure et de sain à la fois, et cela devrait nous interpeller:

http://www.edicom.ch/fr/news/internatio ... nt=2434239

Ave Maria

Renaud

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Message non lu par zefdebruz » mer. 01 nov. 2006, 23:20

Bonsoir Christian,

Je vous remercie chaleureusement pour cette mise au point très claire concernant votre position sur l'avortement, et je me réjouis aussi de celles exprimées par MB et Gaudemus . J'ai sans doute une vision un peu carricaturale des rapports entre libéralisme et morale chrétienne, et je veux bien faire amende honorable.
Je ne sais pas si je peux espérer que vos avis soit partagés par une majorité de libéraux ou d'ultra-libéraux, quelle est selon vous l'opinion dominante en la matière dans cette sensibilité politique ?
Bien à vous dans le Christ,

Zef :)
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Boris
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Message non lu par Boris » jeu. 02 nov. 2006, 8:44

Pour donner un point de vue biologique :
- l'enfant à naître n'a aucun contact avec sa mère pendant les 2 premières semaines de sa conception (donc avant la nidation). Donc du jour 0 au jour 15, on ne peut pas le qualifier d'être une excroissance de sa mère ! Faire ce raccourci révèle une méconnaissance profonde et/ou un mensonge immonde;

- la mère ne nourrit pas son enfant à naître : c'est lui qui va puiser dans le sang de sa mère ce dont il a besoin. Ainsi il aspire ce qui est contenu dans le sang de sa mère sans se préoccuper de la santé de celle-ci. Si elle ne mange pas assez, ce n'est pas l'enfant qui va en patir le premier mais elle. L'enfant est donc en réalité autonome dans le pourvoi en alimentation. Néanmoins son "supermarché" ne contient que ce qui se trouve dans le sang de sa mère : nicotine (si elle fumme), alcool (si elle boit), ... Il est autonome mais dépendant.

Ces 2 éléments sont soigneusement masqués et déformés dès lors que l'on parle d'avortement. Pourtant, il suffit d'ouvrir un livre de médecine ou de biologie humaine pour les vérifier.

La conclusion logique de ces 2 points est que cet être autonôme et possédant 24 paires chromosomiques ne peut être autre chose qu'un être humain vivant.
A la considération que c'est un amas de cellules, que sommes-nous ? N'avons nous plus de cellules amassées entre elles ?
Dernière modification par Boris le mar. 26 déc. 2006, 14:03, modifié 1 fois.
UdP,
Boris

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