Maupassant : Une lecture qui salit
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Maupassant : Une lecture qui salit
Notre coeur de Maupassant. Je ne l'ai pas lu en entier pendant mes vacances car c'était trop immoral.
C'est l'histoire d'une femme qui aime séduire. De ce que j'ai lu pas de description érotique. Juste une femme qui aime séduire.
Je pense avec beaucoup de sincérité que lire ce genre de livre est au moins aussi grave que d'avoir de temps en temps une maitresse.
C'est l'histoire d'une femme qui aime séduire. De ce que j'ai lu pas de description érotique. Juste une femme qui aime séduire.
Je pense avec beaucoup de sincérité que lire ce genre de livre est au moins aussi grave que d'avoir de temps en temps une maitresse.
- Fée Violine
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Re: Une lecture qui salit
Maupassant écrivait admirablement bien, mais généralement des histoires morbides. Quand je pense qu'on le fait étudier dans les collèges !
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Re: Une lecture qui salit
Mais qui donc devrait être à l'étude dans les collèges ? quel écrivain en lieu et place de Guy Maupassant ? avez-vous une suggestion ?
- Fée Violine
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Re: Une lecture qui salit
Autre chose que des descriptions de perversions sexuelles ou de sadisme! J'avais eu une discussion sur ce sujet avec le prof de français de ma fille, qui avait alors 12 ou 13 ans. Ma fille m'avait dit qu'on leur avait fait lire une nouvelle de Maupassant où il s'agissait d'un cheval attaché tellement court qu'il ne pouvait pas manger et finissait par mourir de faim dans son pré. Et le même prof leur avait fait lire aussi la nouvelle intitulée "La chevelure", où (dans le meilleur des cas) les enfants n'ont rien compris.
Ce prof a eu beaucoup de mal à comprendre ce que je lui reprochais, il pensait que je préférais des lectures mièvres. Mais entre les deux, il y a de la marge. Il y a tellement de bons auteurs, classiques ou modernes!
Ce prof a eu beaucoup de mal à comprendre ce que je lui reprochais, il pensait que je préférais des lectures mièvres. Mais entre les deux, il y a de la marge. Il y a tellement de bons auteurs, classiques ou modernes!
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- Tribunus plebis
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Re: Une lecture qui salit
Ouh !
Les textes de l'écrivain ne m'auront jamais «perturbé» de manière négative, pas même quand je les aurai lu à l'adolescence.
En règle générale, je trouvais ses histoires plutôt passionnantes au travers différents registres. Les méchancetés ou la cruauté dépeinte chez certains personnages (à l'occasion) m'auront toujours semblé être une dénonciation plus qu'autre chose.
Quant à la nouvelle «La chevelure» ... dont je me rappelle un peu le décor ... il était question d'un bonhomme passionné d'une maîtresse désormais défunte ... enfin, je pense qu'il s'agissait d'une mèche de cheveux d'une morte trouvée dans une ancienne armoire de l'autre siècle. Il imaginait le reste et se demandait s'il n'était pas en train de devenir complètement fou.
Il me semblait que l'histoire se plaçait dans le registre macabre de l'époque romantique, dans le style de La dame aux camélias (le héros qui ne se résout pas à la disparition de sa bien-aimée, compris jusqu'à vouloir se saisir du cadavre de l'aimée dans sa bière pour la presser encore contre son coeur en dépit des signes manifestes d'un début de corruption et des arômes méphitiques flottant de ci de là. On raconte que le célèbre Danton aurait été jusqu'à faire une folie semblable avec sa jeune femme trop tôt disparue ... Je ne sais pas si c'est vrai. On imagine les outrances dans le goût d'une certaine époque ... C'est comme Maupassant qui faisait un clin d'oeil à une certaine littérature romantique, noire ou fantastique ... mais à sa façon ...
Ce genre d'histoire me rappelait aussi les contes d'Edgar Allan Poe (que je lisais aussi vers la même époque où je découvrais celui dont on parle) qui étaient assez populaires en France à l'époque de Maupassant justement. Je ne sais pas si c'est Stéphane Mallarmé qui avait fait la traduction française de Poe ?
En tout cas, on parle de littérature, de thèmes d'une époque. Pour moi c'est de l'art et rien d'autre. Et faire connaître la chose relève de la transmission de la culture.
P.S. : ce sont les contes de Maupassant qui m'ont permis de connaître qu'il y avait eu une affaire sérieuse entre la France et l'Allemagne en 1870. Le récit donne chair à l'événement a posteriori et incite à s'y intéresser.
Les textes de l'écrivain ne m'auront jamais «perturbé» de manière négative, pas même quand je les aurai lu à l'adolescence.
En règle générale, je trouvais ses histoires plutôt passionnantes au travers différents registres. Les méchancetés ou la cruauté dépeinte chez certains personnages (à l'occasion) m'auront toujours semblé être une dénonciation plus qu'autre chose.
Quant à la nouvelle «La chevelure» ... dont je me rappelle un peu le décor ... il était question d'un bonhomme passionné d'une maîtresse désormais défunte ... enfin, je pense qu'il s'agissait d'une mèche de cheveux d'une morte trouvée dans une ancienne armoire de l'autre siècle. Il imaginait le reste et se demandait s'il n'était pas en train de devenir complètement fou.
Il me semblait que l'histoire se plaçait dans le registre macabre de l'époque romantique, dans le style de La dame aux camélias (le héros qui ne se résout pas à la disparition de sa bien-aimée, compris jusqu'à vouloir se saisir du cadavre de l'aimée dans sa bière pour la presser encore contre son coeur en dépit des signes manifestes d'un début de corruption et des arômes méphitiques flottant de ci de là. On raconte que le célèbre Danton aurait été jusqu'à faire une folie semblable avec sa jeune femme trop tôt disparue ... Je ne sais pas si c'est vrai. On imagine les outrances dans le goût d'une certaine époque ... C'est comme Maupassant qui faisait un clin d'oeil à une certaine littérature romantique, noire ou fantastique ... mais à sa façon ...
Ce genre d'histoire me rappelait aussi les contes d'Edgar Allan Poe (que je lisais aussi vers la même époque où je découvrais celui dont on parle) qui étaient assez populaires en France à l'époque de Maupassant justement. Je ne sais pas si c'est Stéphane Mallarmé qui avait fait la traduction française de Poe ?
En tout cas, on parle de littérature, de thèmes d'une époque. Pour moi c'est de l'art et rien d'autre. Et faire connaître la chose relève de la transmission de la culture.
P.S. : ce sont les contes de Maupassant qui m'ont permis de connaître qu'il y avait eu une affaire sérieuse entre la France et l'Allemagne en 1870. Le récit donne chair à l'événement a posteriori et incite à s'y intéresser.
- Fée Violine
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Re: Une lecture qui salit
"Une affaire sérieuse" ?! Il y a eu une guerre, qui a fait pas mal de dégâts (des tas de morts + perte de l'Alsace-Lorraine => violent désir de revanche contre l'Allemagne, développement du nationalisme).
C'est Baudelaire qui a traduit Poe.
Oui, Maupassant dénonce des travers, mais il faut un minimum de maturité pour comprendre ça, en prenant un peu de recul. Des gamins de 12 à 14 ans sont trop jeunes et trop sensibles pour pouvoir faire la part des choses.
C'est Baudelaire qui a traduit Poe.
Oui, Maupassant dénonce des travers, mais il faut un minimum de maturité pour comprendre ça, en prenant un peu de recul. Des gamins de 12 à 14 ans sont trop jeunes et trop sensibles pour pouvoir faire la part des choses.
Re: Une lecture qui salit
Maupassant me semble en effet très étudié dans les collèges, au-delà de son importance (qui est réelle) dans l'histoire de la littérature.
Mais j'y vois, sans du tout penser à mal, deux raisons d'ordre pédagogique :
- on étudie de lui quelques nouvelles, donc des récits courts, donc les collégiens les lisent, même ceux pour qui Harry Potter c'est trop long!
- il est très facile avec lui de comprendre l'art de construire un récit, à l'aide des catégories de situation initiale, d'élément perturbateur, de dénouement, etc.
Du coup, après avoir étudié Maupassant, les élèves deviennent fréquemment capables de résumer un récit. Mine de rien, au jour d'aujourd'hui, ce n'est pas si mal!
Mais j'y vois, sans du tout penser à mal, deux raisons d'ordre pédagogique :
- on étudie de lui quelques nouvelles, donc des récits courts, donc les collégiens les lisent, même ceux pour qui Harry Potter c'est trop long!
- il est très facile avec lui de comprendre l'art de construire un récit, à l'aide des catégories de situation initiale, d'élément perturbateur, de dénouement, etc.
Du coup, après avoir étudié Maupassant, les élèves deviennent fréquemment capables de résumer un récit. Mine de rien, au jour d'aujourd'hui, ce n'est pas si mal!
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Re: Une lecture qui salit
Merci pour le commentaire, Prodigal.
Re: Maupassant : Une lecture qui salit
Bonsoir,
C'est HS mais je me souviens qu'à cet âge nous avions étudié en cours de français le livre Le parfum, avec du recul, je me dis qu'il faut quand même être sacrément timbré pour faire apprendre ça à des enfants ou ne serait-ce que pour le publier.Des gamins de 12 à 14 ans sont trop jeunes et trop sensibles pour pouvoir faire la part des choses.
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Re: Maupassant : Une lecture qui salit
Je n'ai pas lu Le Parfum et même si je savais qu'il représentait apparemment un best-seller à l'époque. Je ne pourrais donc pas me prononcer. Quoi ? Il s'agissait d'une histoire de sadique? de tueur en série? de maniaque sexuel?
Fée Violine,
Baudelaire ? Oui, en effet. Principalement. J'ai eu un doute. J'y allais par mémoire sans tricher, sans vouloir ouvrir un dictionnaire en cachette. Et puis il fait un bail que je n'aurai pas lu à nouveau du Edgar Poe.
Maintenant, je viens juste de vérifier sur wiki. Vous savez que je mériterais bien un prix de consolation à travers tout ça. Quand même ! Je peux lire ici que Mallarmé aurait lui aussi traduit certains textes de Poe. Ha ... ? mais l'honneur serait-il sauf?
Je vous accorde que le texte pourrait mal convenir pour un jeune de 12 ans. C'est possible. Admettons.
Sauf, vers 14-15 ans, moi je lisais déjà des contes de Maupassant, juste pour le plaisir soit dit entre nous. Tout à fait en dehors du cadre scolaire. Parallèlement, je n'ai absolument pas souvenir d'un traumatisme particulier, d'un déséquilibre occasionné par l'un ou l'autre de ces contes. Je ne vois pas que j'aurais dû percevoir un texte comme celui dont vous parlez d'une manière bien différente sur le fond à ce que serait ma compréhension d'aujourd'hui.
Je comprenais que le récit ouvrait comme une fenêtre d'intériorité, sur le malheur que pourrait être pour un homme le fait de perdre la raison, me semblait-il.
Mais l'intérêt du texte vient d'une sorte d'ambiguïté entretenue par l'auteur, en sorte que l'on ne sait trop si le problème émane d'une fragilité des individus eux-mêmes ou si c'est plutôt l'objet qui serait tel un gris-gris ensorcelé ou maléfique. La chute du texte nous amène à pouvoir pousser une sorte de «Ouf! la morale est sauve!» ... mais dans une sorte de note ironique qui ne serait pas si flatteuse pour l'espèce humaine. C'est assez mordant.
Il y a là comme une sorte de conte relevant de la catégorie du fantastique en même temps, non? Quand on est adolescent n'aimerait-on pas les contes fantastiques généralement?
Fée Violine,
Baudelaire ? Oui, en effet. Principalement. J'ai eu un doute. J'y allais par mémoire sans tricher, sans vouloir ouvrir un dictionnaire en cachette. Et puis il fait un bail que je n'aurai pas lu à nouveau du Edgar Poe.
Maintenant, je viens juste de vérifier sur wiki. Vous savez que je mériterais bien un prix de consolation à travers tout ça. Quand même ! Je peux lire ici que Mallarmé aurait lui aussi traduit certains textes de Poe. Ha ... ? mais l'honneur serait-il sauf?
O.k. C'est votre idée.Oui, Maupassant dénonce des travers, mais il faut un minimum de maturité pour comprendre ça, en prenant un peu de recul. Des gamins de 12 à 14 ans sont trop jeunes et trop sensibles pour pouvoir faire la part des choses.
Je vous accorde que le texte pourrait mal convenir pour un jeune de 12 ans. C'est possible. Admettons.
Sauf, vers 14-15 ans, moi je lisais déjà des contes de Maupassant, juste pour le plaisir soit dit entre nous. Tout à fait en dehors du cadre scolaire. Parallèlement, je n'ai absolument pas souvenir d'un traumatisme particulier, d'un déséquilibre occasionné par l'un ou l'autre de ces contes. Je ne vois pas que j'aurais dû percevoir un texte comme celui dont vous parlez d'une manière bien différente sur le fond à ce que serait ma compréhension d'aujourd'hui.
Je comprenais que le récit ouvrait comme une fenêtre d'intériorité, sur le malheur que pourrait être pour un homme le fait de perdre la raison, me semblait-il.
Mais l'intérêt du texte vient d'une sorte d'ambiguïté entretenue par l'auteur, en sorte que l'on ne sait trop si le problème émane d'une fragilité des individus eux-mêmes ou si c'est plutôt l'objet qui serait tel un gris-gris ensorcelé ou maléfique. La chute du texte nous amène à pouvoir pousser une sorte de «Ouf! la morale est sauve!» ... mais dans une sorte de note ironique qui ne serait pas si flatteuse pour l'espèce humaine. C'est assez mordant.
Il y a là comme une sorte de conte relevant de la catégorie du fantastique en même temps, non? Quand on est adolescent n'aimerait-on pas les contes fantastiques généralement?
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- Tribunus plebis
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- Conviction : catholique perplexe
Re: Maupassant : Une lecture qui salit
Ici :
Je crois que mon étonnement fut provoqué d'abord par votre remarque ci-dessus. C'est votre mot à l'effet qu'il aurait écrit généralement des histoires morbides. Maupassant, morbides?
Il me sera jamais arrivé de penser que la majorité de ses contes serait morbide.
J'ai souvenir de contes drôlatiques, surtout amusants; parfois des sortes de satires sociales, comme des vannes expédiées envers des figures de bourgeois, la ladrerie du paysan normand ambitieux, la rouerie de l'autre ... Tantôt c'est la veine de l'innocence qui peut se trouver exploité avec d'attendrissantes petites histoires. Il y a quelques récits de peur vraiment bien tournés. Je ne les qualifierais pas de morbides ou malsains non plus. Le conte Le Horla est juste un vrai chef-d'oeuvre. C'est du fantastique pur jus.
J'y repense.... mais généralement des histoires morbides. Quand je pense qu'on le fait étudier dans les collèges ! - Fée Violine
Je crois que mon étonnement fut provoqué d'abord par votre remarque ci-dessus. C'est votre mot à l'effet qu'il aurait écrit généralement des histoires morbides. Maupassant, morbides?
Il me sera jamais arrivé de penser que la majorité de ses contes serait morbide.
J'ai souvenir de contes drôlatiques, surtout amusants; parfois des sortes de satires sociales, comme des vannes expédiées envers des figures de bourgeois, la ladrerie du paysan normand ambitieux, la rouerie de l'autre ... Tantôt c'est la veine de l'innocence qui peut se trouver exploité avec d'attendrissantes petites histoires. Il y a quelques récits de peur vraiment bien tournés. Je ne les qualifierais pas de morbides ou malsains non plus. Le conte Le Horla est juste un vrai chef-d'oeuvre. C'est du fantastique pur jus.
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- Barbarus
Re: Maupassant : Une lecture qui salit
De tueur en série sans aucune doute, et les deux autres qualificatifs ne sont pas hors-sujet ! Le Parfum raconte l'histoire de Grenouille. Le héros, dès l'enfance, a la caractéristique de ne pas avoir d'odeur - ce qui provoque une sorte de malaise instinctif chez les autres - mais au contraire un odorat très développé. Encore jeune, il tue une jeune fille, enivré par l'odeur qu'elle émane. Il commence alors son apprentissage auprès d'un parfumeur. Après un séjour à l'écart du monde (les relations sociales, c'est pas son fort), il retourne en ville et continue son apprentissage auprès d'un autre maitre pour perfectionner sa technique. Tout ceci se terminera par le meurtre : une vingtaine de jeunes filles vierges sont assassinées dans le but de fabriquer LE parfum.Cinci a écrit :Je n'ai pas lu Le Parfum et même si je savais qu'il représentait apparemment un best-seller à l'époque. Je ne pourrais donc pas me prononcer. Quoi ? Il s'agissait d'une histoire de sadique? de tueur en série? de maniaque sexuel?
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Re: Maupassant : Une lecture qui salit
Je vois.
Merci pour le petit résumé, Milla. Il resterait à savoir dans quelle catégorie ranger le roman. Policier? trash ? inclassable ? dans une sous-catégorie du fantastique ? apparenté au roman d'horreur ?
Merci pour le petit résumé, Milla. Il resterait à savoir dans quelle catégorie ranger le roman. Policier? trash ? inclassable ? dans une sous-catégorie du fantastique ? apparenté au roman d'horreur ?
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- Barbarus
Re: Maupassant : Une lecture qui salit
Je ne sais pas s'il est réellement inclassable, mais je ne sais moi-même pas où le classer ! Je vous laisse faire votre choix dans les étiquettes de Babelio : fantastique, historique, thriller, polar ; ou même roman d'aventures ou conte philosophique à la Voltaire si on en croit la description qu'en fait le site.
Trash me semble trop fort mais, clairement, certains passages me feraient hésiter à le conseiller à un jeune de 12 ans.
Et pour terminer sur du Maupassant, je ne dirais pas non plus qu'il écrit des choses morbides. Ses nouvelles sont parfois cruelles, mais c'est autre chose.
Trash me semble trop fort mais, clairement, certains passages me feraient hésiter à le conseiller à un jeune de 12 ans.
Et pour terminer sur du Maupassant, je ne dirais pas non plus qu'il écrit des choses morbides. Ses nouvelles sont parfois cruelles, mais c'est autre chose.
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