Vous prenez le problème du mauvais angle, ce n'est pas pour rien que je procède ainsi. Bien sur que j'en fais usage quand il s'agit de telles questions et non quand il s'agit de savoir ce qui s'est passé lors de ... je sais pas moi ... la conquête spatiale. C'est du bon sens, je ne vais pas appliquer le même raisonnement avec quelque chose qu'on peut voir et comprendre et quelque chose d'aussi abstrait qu'un hypothétique Dieu, qui selon moi relève d'avantage du concept qu'autre chose, d'ailleurs.Archidiacre a écrit : La raison pure, vous ne la critiquez/relativisez que quand il s'agit de telles questions, mais la prenez comme fiable quand il s'agit d'autres questions. C'est exactement le comportement dont je parlais.
Sauf que votre énoncé est erroné, l'appel au futur n'est pas une impasse aux miracles, mais une conséquence de l'évolution de notre race. Et Je ne dis pas, juste pour vous dire "j'ai raison, t'as tort", j'ai une preuve pour appuyer mon propos:Pour les miracles, vous ne comprenez effectivement pas ce que je dis et c'est ce qui vous pousse à faire un homme de paille. Relisez, j'insiste, ça commence au moment où vous dites la naissance virginale illogique. Ensuite, j'ai développé dans les phrases qui suivaient, en soulignant votre appel au futur qui est une impasse rationnelle dans l'appréciation d'un miracle même réel, il suffisait de ne pas tronquer. Je crois m'être bien expliqué à ce sujet, mais répondre à des bouts de phrases vous induit vous-même en erreur.
-Jeanne Frétel, un intestin qui repousse. L’antécédence de la médecine n'entre pas dans l'équation, c'est du jamais vu. Il n'y pas d'appel du futur qui invalide quoi que ce soit dans le cas d'une guérison de ce type. C'est juste hors de des limites qu'on connaissait au corps de l'homme. Une régénération impossible.
le truc c'est que ce miracle soulève d'autres questions 1 la fameuse corrélation avec le dieu des chrétien pas si évidente à établir qu'on aimerait le croire 2 le fait qu'on en constate d'autres miracles dans les hôpitaux. Donc que l'église n'en a pas le monopole, donc c'est la nature du miracle qui est remise en question et non sa véracité.
Voyons ce qu'en pense la définition dite "académique" et donc vérifiable, au lieu de spéculer et de tourner autour du pot, allons droit au but:Je vous vois persister sur la définition de l'athéisme (et pas "d'athée", qui était tout de même utilisé pour désigner ceux qui rejetaient Dieu, "ne vous en déplaise"), qui désigne une idéologie. J'ai bien compris que cette définition académique (et vérifiable) dérangeait votre prétention à la neutralité (qui n'était pas revendiquée dans la grèce antique). Et je ne fais pas d'amalgame entre les athées, rassurez vous, mais vous agissez comme si vous représentiez l'athéisme, comme si vous aviez le monopole de sa définition, et comme si sa moindre mention vous concernait assez pour que vous sautiez sur l'occasion de vous défendre.
(source wikipédia)Étymologie:
Du grec ancien άθεος, atheos (littéralement « sans Dieu »), qui a donné le terme latin atheos.
En partant de cette définition, tout ce que vous pensez de l’athéisme relève de votre interprétation, mais aucunement de la définition littérale.
Pour qu'on parte de ses prémisses il serait d'abord raisonnable de les prouver. Inutile de vous ressortir l'exemple de la théière de Russell, y'a des fortes chances que vous la connaissiez sur le bout des doigts. On part de la prémisse que dieu n'existe pas, pour la simple raison qu'on a pas de preuve de son existence. Il n'y a rien de déraisonnable à cela, c'est vous qui êtes déraisonnable en réclamant une qu'une chose soit établie comme réelle sans aucune preuve tangible à l'appui.Si je devais résumer la chose, je dirai que si on part de la prémisse que Dieu existe et agit dans la nature (et non celle que Dieu n'existe pas et que tout est soumis à une loi matérielle), alors ça n'est pas illogique/impossible qu'un enfant naisse d'une vierge.