Bonjour Cinci,Cinci a écrit : "On voit bien ce que vaut l'Église des curés à la fin, n'est-ce pas ?"; "Quelle impuissance à redresser ce qui est tordu !"
Êtes-vous bien sur que cela soit là ce qu' en attend le Christ? Le "redressage", s'il doit y en avoir un ne serait-il pas tout aussi,(voire plus) efficace sans interventionisme, à la seule force de l'exemple donné?
C'est là votre sentiment! Et je pense moi aussi en terme de besoin..Cinci a écrit : Il se trouve que les hommes n'ont pas autant besoin de justice en vérité que de miséricorde
Je crois qu'il s'attirerait en effet de fort mauvaises grâces.Cinci a écrit : je doute qu'un religieux catholique, trouvé coupable d'avoir pu violer ou abuser un enfant, aille revendiquer ensuite son agir condamné par le pape, des magistrats civils ou d'autres comme étant un agir qui lui eusse été imposé par sa propre foi, sa religion ou la doctrine de l'Église
Mais au moins ce serait plus honnête, en ceci qu.e cela aurait le mérite du courage de ses opinions.
Là, j'ai le sentiment qu' il profite de cet héritage qui a coûté le sang d'un innocent (Jésus) pour tromper et abuser tout le monde, comme ces faux prophètes dont parle l'évangile(Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtements de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs), et qui ravissent, donc, en tant que ravisseurs.
Je ne vois pas par quel processus cela pourrait arriver. Je préfère réhabiliter la personne de Jésus en pleine lumière que de prêter le flanc à du scandale qui, comme tout scandale est traité théâtralement (j'entends de cette fausse lumière des feux de la rampe qui enténèbre tout) .Cinci a écrit : Au lieu d'évoquer une salissure de la personne de Jésus, il serait peut-être préférable de parler scandale. De gens faibles dans la foi en particulier risquent d'être plus ébranlés que d'autres, le scandale y ouvrir une brèche pour que les arguments des accusateurs s'y infiltrent mieux, etc.