écrit cmoi. Erreur ! Le Christ reviendra sur terre, à la fin des temps, POUR JUGER LES VIVANTS ET LES MORTS...Le Christ n’est pas venu pour juger le monde, mais pour le sauver.
Relisez les évangiles.
écrit cmoi. Erreur ! Le Christ reviendra sur terre, à la fin des temps, POUR JUGER LES VIVANTS ET LES MORTS...Le Christ n’est pas venu pour juger le monde, mais pour le sauver.
Cher cmoi,
Certes oui : juge et sauveur, entre autres (pasteur, agneau, fils de l’homme, semeur, vigneron, pain de vie, etc.)pierrot2 a écrit : ↑jeu. 02 janv. 2020, 16:27Cher cmoi,
Vous avez raison,Jésus n est pas venu juger le monde, mais le sauver. Il doit y avoir un temps pour chaque chose :d abord la proposition de salut. Mais viendra le temps du jugement également , où je suppose ceux qui n auront pas saisi la perche et ceux qui l auront saisie seront administrés distinctement (Marc16, 16)
Jean XII, 47 ? : aucun rapport avec cette discussion....
Levergero, vous avez plusieurs trains de retard ou vous le faites exprès ?Levergero a écrit : ↑lun. 06 janv. 2020, 12:49Jean XII, 47 ? : aucun rapport avec cette discussion....
Relisez plutôt le CREDO :
"... Il ressuscita le troisième jour, conformément aux Écritures, et il monta au ciel ; il est assis à la droite du Père. Il reviendra dans la gloire, pour juger les vivants et les morts; et son règne n'aura pas de fin..."
Bonjour Levergero,
Or non seulement je l’avais déjà signalé cette différence sur l’échelle de temps, mais la première intervention de cet fil de Lavergero fait suite à ce post de ma part sous « la crise dans l’Eglise : de quoi s’agiti-il », à savoir :Invité a écrit : ↑ven. 10 janv. 2020, 17:49Dans le débat qui oppose Levergero à Cmoi, je pense qu'aucun n'a réellement tort ; ils ne se situent simplement pas sur la même échelle de temps.
Comme vous pouvez le remarquer, il ne s’agissait nullement de discuter de jugement, mais du sens à donner pour nous à la venue du Christ il y a 2000 ans.cmoi a écrit : ↑ven. 27 déc. 2019, 13:52Cher Cinci,
Je veux dire que l’explication qui fut donnée à l’époque, pour excuser chacun, à savoir que les uns privilégiaient le dogme et la vérité, les autres la charité, n’était effectivement que ce qui chacun les excusait, et ne permettait pas de résoudre l’écart.
Je tiens à préciser aussi que par « le monde » je n’entends pas celui qui appartient à Satan, mais celui qui est dans l’attente d’un sauveur : le même, et au sein duquel se sont retrouvés d’ancien croyants qui avaient eu des raisons de quitter l’Eglise (Cf. le fil sur l’apostasie) et qui avaient besoin de signes et de réponses, de gestes pour y revenir.
Je pense au fameux débat télévisé entre Bernard Tapie et un prêtre intégriste (heure de grande écoute, comme quoi il y avait de l’intérêt encore pour l’Eglise), où ce dernier pour justifier la position catholique évoqua la grandeur de Dieu et l’honneur qui lui était due et donc l’horreur du péché : ce n’était vraiment pas la bonne approche et on assistait à un dialogue de sourds. Face à des cas très concrets, ce prêtre n’avait aucune solution à proposer.
En tant que croyants, nous devons être convaincus que le message de l’Eglise n’est pas obsolète, et capables de montrer en quoi il est encore aujourd’hui une « bonne nouvelle », et non un sommet d’abstraction.
Le Christ n’est pas venu pour juger le monde, mais pour le sauver.
Il n’y a que par le dialogue et une meilleure connaissance de l’autre, qu’il convient de ne pas fuir, que nous pourrons trouver ce qui lui convient pour adhérer à l’enseignement des évangiles et retrouver la foi.
On ne peut plus se contenter d’arguments tels que « parce que c’est comme çà », et c’est très bien. Mais cela suppose d’avoir une foi vivante et nourrie, de n’avoir pas contourné les obstacles, et de croire aux inspirations du saint Esprit qui ne nous donne jamais rien « tout cuit », car il veut notre active participation.
La vérité ne peut venir et sortir que d'une démarche de vérité.
IL dit qu’il n’y a aucune rapport, mais c’est lui qui a changé le sens de la discussion et qui cherche à l’imposer, car le sujet n’était pas le jugement mais le salut, et ce qu’il critiquait était bien dans Jean qu’entre-temps j’aurais cité dans un extrait plus complet, qu’aura déjà mentionné NANO.Levergero a écrit : ↑lun. 06 janv. 2020, 12:49Jean XII, 47 ? : aucun rapport avec cette discussion....
Relisez plutôt le CREDO :
"... Il ressuscita le troisième jour, conformément aux Écritures, et il monta au ciel ; il est assis à la droite du Père. Il reviendra dans la gloire, pour juger les vivants et les morts; et son règne n'aura pas de fin..."
Ce qui ne manque pas d’être cocasse quand on sait que quelque temps auparavant, en lisant l’Evangile du jour et un commentaire poétique que j’en avais fait, il interroge Etienne Laurent en ces termes :Levergero a écrit : ↑ven. 10 janv. 2020, 12:25Le 6 janvier j'ai écrit un post en rappelant, comme vous le faites pierre2, la phrase du credo bien connu" Il reviendra dans la gloire pour juger les vivants et les morts et son règne n'aura pas de fin) sauf de "cmoi" semble-t-il, lui qui se déclare un si bon chrétien et qui ne connait même pas le credo ni les évangiles... C'est bien triste alors qu'il me jette, tout à fait gratuitement, aux gémonies !
Et ma réponse fut : « C'est exact Levergero
Merci de votre question, cher Invité.Invité a écrit : ↑ven. 10 janv. 2020, 17:49Invité :
En revanche, votre débat soulève une question que je ne m'étais pas forcément posée : où les Évangiles proclament-ils que le Christ jugera les morts à la fin des temps ? De mémoire, je ne retiens aucun verset en ce sens.
Notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ a déclaré que « lors du renouvellement du monde […] le Fils de l’homme siégera sur son trône de gloire […] pour juger » (Mt 19, 28), n’est-ce pas ?Mt 19, 28 Jésus leur déclara : « Amen, je vous le dis : lors du renouvellement du monde, lorsque le Fils de l’homme siégera sur son trône de gloire, vous qui m’avez suivi, vous siégerez vous aussi sur douze trônes pour juger les douze tribus d’Israël.
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