par Cinci » sam. 29 juin 2013, 17:30
Paxetbonum,
Mais accuser la droite d'être à l'origine des la philosophie libérale qui contamine M Hollande alors là c'est une vaste blague.
Nullement.
http://commons.wikimedia.org/wiki/File: ... summit.jpg
Faut voir le portrait de famille
«... le poussent à abandonner le Programme commun pour mettre en œuvre le « tournant de la rigueur », incarné par le ministre des Finances Jacques Delors, afin de maîtriser les finances de l'État»
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Mauroy
«... Dans cette fonction, il a entrepris de profondes restructurations socialement difficiles, mais qui lui ont acquis
l'estime de nombreux dirigeants d'entreprise. Deux anciens membres de son cabinet, Louis Schweitzer et Serge Weinberg, ont depuis fait carrière dans le monde de l'entreprise.»
http://fr.wikipedia.org/wiki/Laurent_Fabius
Des socialistes ? Non.
Des faux-culs, des faux-culs, des faux-culs, des faux-culs ... de grands bourgeois, catholiques souvent ... et finalement complice de la mentalité répandue dans les conseils d'administration des grandes sociétés ou des réunions des conseils de banque. Tous des types qui ont «couillonné» les travailleurs, les ouvriers, etc. Très exactement le prototype de ''socialistes'' que Staline aurait voulu mener sur le bord de la fosse à Katyn à une époque plus difficile qu'aujourd'hui.
Socialiste ? Non. Mais faux-cul comme lorsque l'on prononce le vocable
Mitterand, tricheur-menteur-comédien ... et apprécié de la France.
L'historien Jacques Bainville (L'
Action Française, Maurras, la droite, etc.) faisait déjà remarqué de son temps que l'on entrait jeune au parti socialiste habituellement, pour faire carrière ensuite et jusqu'au couronnement, jusqu'à pouvoir sièger comme sénateur conservateur. Un peu comme un Michel Rocard qui serait enfin parvenu à obtenir sa médaille du Medef quoi.
Le « rocardisme »
La fin des années 1970 marque l’avènement du rocardisme, un courant au sein du Parti socialiste qui affiche une tendance décentralisatrice (congrès de Nantes, 1977), puis ouvertement hostile aux nationalisations intégrales (à 100 %) préparées par les mitterrandistes (congrès de Metz, 1979). Il profite du procès contre des membres du FLB, durant lequel il témoigne en faveur des accusés, en novembre 1979, pour justifier ses appels à la décentralisation : « Je sens profondément que ce mouvement centralisateur, commencé par Philippe le Bel, doit s'arrêter »17. Michel Rocard, dont la cote a toujours été élevée dans les sondages, et le place à partir de 1978 parmi les probables présidentiables, devient ainsi une figure incontournable du paysage politique français. En s’opposant aux « nationalisations à outrance » et en acceptant l’économie de marché, le rocardisme se retrouve à l’opposé des positions défendues par le Parti communiste dans les négociations du Programme commun. Les rocardiens se réclament souvent de la pensée de Pierre Mendès France lorsqu’ils prônent une politique économique « réaliste » et une culture de gouvernement.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Rocard
[...]
Enfin
Des vrais anarchistes, des vrais soixantehuitards, des hippies, des gens subversifs pour vrai, des chansonniers «à la Brassens», des homosexuels impénitents et jaloux de leur liberté : ils ne réclament rien du tout en fait de mariage. Parce que le mariage est une affaire qui ne les intéressent pas.
Mais des politiciens qui participent de la structure de pouvoir actuelle et alliés du discours libéral hégémonique, eux, poussent en faveur de la «fausse révolution qui ne coûte rien», qui amuse et distrait les masses, tout en ne risquant surtout pas de changer quoi que ce soit à la condition des pauvres, ou d'améliorer celle des travailleurs, d'accroître la moralité du citoyen lambda. Je veux dire que cette affaire de ''mariage gai'' n'est qu'une affaire de récupération politique pour reconduire le libéralisme.
[...]
Au Canada, l'homme politique qui aura mis en place la fameuse «charte des droits et libertés» était un libéral, partisan du libéralisme politico-philosophique et avait été élevé chez les jésuites dans sa jeunesse. Il n'était déjà plus une jeunesse en 1968 (il était déjà chef du parti libéral plutôt). Obama quant à lui sortait à peine de la petite enfance en 1968.
Paxetbonum,
[quote]Mais accuser la droite d'être à l'origine des la philosophie libérale qui contamine M Hollande alors là [u]c'est une vaste blague[/u].[/quote]
Nullement.
http://commons.wikimedia.org/wiki/File:14th_G7_summit.jpg
Faut voir le portrait de famille
«... le poussent à abandonner le Programme commun pour mettre en œuvre le « tournant de la rigueur », incarné par le ministre des Finances Jacques Delors, afin de maîtriser les finances de l'État»
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Mauroy
«... Dans cette fonction, il a entrepris de profondes restructurations socialement difficiles, mais qui lui ont acquis [u]l'estime de nombreux dirigeants d'entreprise[/u]. Deux anciens membres de son cabinet, Louis Schweitzer et Serge Weinberg, ont depuis fait carrière dans le monde de l'entreprise.»
http://fr.wikipedia.org/wiki/Laurent_Fabius
Des socialistes ? Non. [i]Des faux-culs, des faux-culs, des faux-culs, des faux-culs[/i] ... de grands bourgeois, catholiques souvent ... et finalement complice de la mentalité répandue dans les conseils d'administration des grandes sociétés ou des réunions des conseils de banque. Tous des types qui ont «couillonné» les travailleurs, les ouvriers, etc. Très exactement le prototype de ''socialistes'' que Staline aurait voulu mener sur le bord de la fosse à Katyn à une époque plus difficile qu'aujourd'hui.
Socialiste ? Non. Mais faux-cul comme lorsque l'on prononce le vocable [i]Mitterand[/i], tricheur-menteur-comédien ... et apprécié de la France.
L'historien Jacques Bainville (L'[i]Action Française[/i], Maurras, la droite, etc.) faisait déjà remarqué de son temps que l'on entrait jeune au parti socialiste habituellement, pour faire carrière ensuite et jusqu'au couronnement, jusqu'à pouvoir sièger comme sénateur conservateur. Un peu comme un Michel Rocard qui serait enfin parvenu à obtenir sa médaille du Medef quoi.
[color=#004080] Le « rocardisme »
La fin des années 1970 marque l’avènement du rocardisme, un courant au sein du Parti socialiste qui affiche une tendance décentralisatrice (congrès de Nantes, 1977), puis ouvertement hostile aux nationalisations intégrales (à 100 %) préparées par les mitterrandistes (congrès de Metz, 1979). Il profite du procès contre des membres du FLB, durant lequel il témoigne en faveur des accusés, en novembre 1979, pour justifier ses appels à la décentralisation : « Je sens profondément que ce mouvement centralisateur, commencé par Philippe le Bel, doit s'arrêter »17. Michel Rocard, dont la cote a toujours été élevée dans les sondages, et le place à partir de 1978 parmi les probables présidentiables, devient ainsi une figure incontournable du paysage politique français. En s’opposant aux « nationalisations à outrance » et en acceptant l’économie de marché, le rocardisme se retrouve à l’opposé des positions défendues par le Parti communiste dans les négociations du Programme commun. Les rocardiens se réclament souvent de la pensée de Pierre Mendès France lorsqu’ils prônent une politique économique « réaliste » et une culture de gouvernement.
[/color]
http://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Rocard
[...]
[b]Enfin[/b]
Des vrais anarchistes, des vrais soixantehuitards, des hippies, des gens subversifs pour vrai, des chansonniers «à la Brassens», des homosexuels impénitents et jaloux de leur liberté : ils ne réclament rien du tout en fait de mariage. Parce que le mariage est une affaire qui ne les intéressent pas.
Mais des politiciens qui participent de la structure de pouvoir actuelle et alliés du discours libéral hégémonique, eux, poussent en faveur de la «fausse révolution qui ne coûte rien», qui amuse et distrait les masses, tout en ne risquant surtout pas de changer quoi que ce soit à la condition des pauvres, ou d'améliorer celle des travailleurs, d'accroître la moralité du citoyen lambda. Je veux dire que cette affaire de ''mariage gai'' n'est qu'une affaire de récupération politique pour reconduire le libéralisme.
[...]
Au Canada, l'homme politique qui aura mis en place la fameuse «charte des droits et libertés» était un libéral, partisan du libéralisme politico-philosophique et avait été élevé chez les jésuites dans sa jeunesse. Il n'était déjà plus une jeunesse en 1968 (il était déjà chef du parti libéral plutôt). Obama quant à lui sortait à peine de la petite enfance en 1968.