par cmoi » sam. 08 août 2020, 6:11
Bonjour Pierrot2,
J’avoue que j’ai du mal à associer Jésus à un voleur, ne retenant pour moi la comparaison que dans sa signification « d’être prêt ».
Le voleur est pour moi le(s) démon(s) et les serviteurs sont nos vertus et qualités, qui nous défendent et se purifient dans la lutte ou l’attente espérentielle.
Et là où je vous rejoins donc, c’es t que quand nous avons péché, sans Jésus (sans qui le repentir est presque impossible, plus du remord…nous en avons parlé il y a peu…) nous n’avons plus à attendre que les mauvaises choses qui en résultent, le bien ne peut plus « entrer » car il correspond à autre chose d’incompatible. Et là, surprise !, Jésus s’introduit comme un voleur donc, certes, et transforme tout et apporte la lumière. Avec ou sans sacrement, c’est une grâce du ciel. La «nuit » des mystiques en figure l’épreuve sensible, pour leur acquérir des mérites et Le consoler dans la communion des saints.
Lui seul peut y parvenir, à cette intrusion surprise et inespérée, c’est pourquoi il est notre Rédempteur et c’est un vrai miracle sans tambours ni trompettes ni signes extérieurs.
Donc cette assimilation peut se faire dans le cas où nous avons péché, mais pour nous sauver quand nous avons péché. Nous ne sommes plus à l’heure de notre jugement, mais avant, à l’heure de notre salut et c’est surprenant, miraculeux…
Cela fait penser à cette belle histoire des pas sur le sable, de Paulo Coelho je crois, que j'ai déjà citée ici : quand il n'y a plus 2 traces mais 1 seule, ce n'est pas quand Jésus nous a abandonné, mais quand il nous a porté...
Je m'éloigne peut-être du sens littéral, je ne sais...
Bonjour Pierrot2,
J’avoue que j’ai du mal à associer Jésus à un voleur, ne retenant pour moi la comparaison que dans sa signification « d’être prêt ».
Le voleur est pour moi le(s) démon(s) et les serviteurs sont nos vertus et qualités, qui nous défendent et se purifient dans la lutte ou l’attente espérentielle.
Et là où je vous rejoins donc, c’es t que quand nous avons péché, sans Jésus (sans qui le repentir est presque impossible, plus du remord…nous en avons parlé il y a peu…) nous n’avons plus à attendre que les mauvaises choses qui en résultent, le bien ne peut plus « entrer » car il correspond à autre chose d’incompatible. Et là, surprise !, Jésus s’introduit comme un voleur donc, certes, et transforme tout et apporte la lumière. Avec ou sans sacrement, c’est une grâce du ciel. La «nuit » des mystiques en figure l’épreuve sensible, pour leur acquérir des mérites et Le consoler dans la communion des saints.
Lui seul peut y parvenir, à cette intrusion surprise et inespérée, c’est pourquoi il est notre Rédempteur et c’est un vrai miracle sans tambours ni trompettes ni signes extérieurs.
Donc cette assimilation peut se faire dans le cas où nous avons péché, mais pour nous sauver quand nous avons péché. Nous ne sommes plus à l’heure de notre jugement, mais avant, à l’heure de notre salut et c’est surprenant, miraculeux…
Cela fait penser à cette belle histoire des pas sur le sable, de Paulo Coelho je crois, que j'ai déjà citée ici : quand il n'y a plus 2 traces mais 1 seule, ce n'est pas quand Jésus nous a abandonné, mais quand il nous a porté...
Je m'éloigne peut-être du sens littéral, je ne sais...