Besoin témoignages/ suggestions sur la confession

par **Marie2964** » mer. 09 nov. 2022, 13:34

Bonjour Chrétienneendevenir,

Je viens seulement de découvrir votre message.

Après vous avoir lu, il me vient deux remarques: d'abord que vous péchez non pas tant que vous commettez des fautes qui offensent Dieu mais bien plus encore lorsque vous déconsidérez l'immense Miséricorde de Dieu. Ayez confiance en Dieu et en son Amour Infini pour vous.

Quand bien même vous seriez la plus grande pécheresse que cette terre ait porté, vous devez être persuadée qu'Il vous a créée et qu'il vous aime telle que vous êtes. Mais vous, l'aimez-vous suffisamment pour Lui prouver tout l'amour que vous lui portez?

Il me vient aussi l'idée en vous lisant que vous manquez de confiance en vous. Ca se "travaille" mais partez du principe qu'une relation d'Amour s'entretient à deux et que toutes les grâces, tout le soutien qu'il vous apportera vous permettra de dépasser votre zone de confort et votre manque de confiance.

Pour ce qui est de la confession, peut-être pourriez-vous prendre contact avec le prêtre de votre paroisse pour lui parler de votre angoisse aussi, il sera à même de vous conseiller et de vous guider. Il n'y a aucune honte à demander conseil et les prêtres/diacres sont habitués à ce genre de chose.

Osez vous aider vous-même grâce à Notre Seigneur!

Tenez-nous au courant.

Bon courage.

Marie.

par **Chretienendevenir** » ven. 04 nov. 2022, 16:54

Bonjour, d'avance je vous remercie pour votre lecture et votre aide.
Je crois en Dieu et j'ai beaucoup pratiqué avant de me rendre compte que j'étais dans les œuvres mortes car au fond je pratiquais en comptant sur mes forces pour être sauvé . Oui je m'en suis rendue compte. Mais après ça, je suis retombée dans le péché plus bas que jamais , et dorénavant je me sens désespérer... Comme si cette descente avait coupé ma relation avec Dieu. J'ai l'impression d'être damnée et qu'il n'a plus d’espoir pour moi d'être sauvée . Enfin, du coup j'ai pris la résolution d'aller me confesser mais j'ai très peur... Vraiment peur ... Déjà de base je n'ose pas sortir de chez moi lors allez à la messe dominicale est déjà pour moi une immense réussite mais l'idée d'aller me confesser me parait également effrayante d'autant que je n'ai pas d'amis dans ma ville encore moins des personnes chrétiennes , je ne parle à personne à la messe si ce n'est Bonjour , au revoir , paix du christ . Je suis une personne très timide , réservée et peu sûr d'elle d'ailleurs je suis même très scrupuleuse sur les péchés et défaitiste sur les bords (ce qui explique mon désespoir d'aller au paradis ) ... De plus le vendredi étant mon unique jours de congés j'avoue également avoir envie de me reposer car je travaille le samedi. Enfin, cette fois ci je me suis mise une alarme le 11 pour aller me confesser, cela me permettra de me préparer mentalement, prier Dieu pour l’encouragement... Mais j'irai coûte que coûte... Auriez-vous des conseils pour que tout cela se passe bien et moins stressé ?

Amicalement

par **Marie2964** » mar. 23 août 2022, 11:45

Bonjour Léon,

Merci pour votre retour.

En fait, j'ai toujours confiance en Dieu. Je sais qu'il est là, fidèle et qu'il m'accompagne.

C'est juste que je me déçois moi-même ces derniers temps...

Je n'ai pas encore de date de baptême car mon mariage sera célébré dans la foulée mais pour cela, il faut que monsieur mon compagnon se décide à aller voir le prêtre. Normalement c'est pour la rentrée.

Marie, impatiente.

par **Léon** » mar. 23 août 2022, 10:42

Marie2964 a écrit : ↑
mer. 10 août 2022, 8:27
Bonjour à tous,

Je fais une nouvelle fois appel à vous car je me pose une question pratico-pratique sur la confession. Voici: il n'y a pas systématiquement de séance de confession avant la messe du dimanche mais il y en a souvent la veille, le samedi.

Bref, étant une grande pécheresse et n'ayant aucune expérience en ce domaine, je m'interroge sur le fait de pouvoir communier à la messe dominicale dans des conditions optimales. En effet, j'ai peur de commettre un péché mortel après la confession du samedi et donc de ne pouvoir communier le lendemain. J'ai bien entendu la possibilité d'assister à la messe du mercredi et de communier à ce moment-là puisque je pourrai me confesser avant. C'est toujours ça de pris (pardon pour cette expression triviale) me diriez-vous! mais je ne suis pas sûre de pouvoir y assister régulièrement pour des raisons pratiques or j'aurais voulu, surtout dans mes "débuts" de catholique, m'habituer à cet exercice de confession pour prendre un "bon pli" et pour m'affirmer dans ma foi nouvelle et dans mes nouvelles habitudes de vie.

Avez-vous des conseils, trucs, astuces ou suggestions concernant mon petit "problème" ? Bien entendu je vais tout faire pour éviter de commettre des péchés mortels et ce, quelque soit le moment dans la semaine.

Merci d'avance pour vos remarques.

Bonne journée.

Marie.

Bonjour Marie2964,

je vous suggère une vie de prière quotidienne stable, et spécialement le chapelet quotidien dans le calme.
Ou du moins, pour commencer, une dizaine de chapelet --Credo-Pater-Ave (5minutes)-- chaque matin avant d'engager la journée.
L'important c'est la fidélité et la confiance en Dieu au quotidien quoiqu'il arrive.
Concernant les péchés, ne pensez pas à ça tout le temps... Réserver ça à l'examen de conscience du soir ou de la fin de semaine ?

Cette prière quotidienne stable de votre choix vous apportera la protection et la paix dont vous semblez avoir besoin.
Votre Baptême est prévu pour quand ?

La Paix du Christ soit sur vous ! Salut !

par **Fée Violine** » ven. 12 août 2022, 13:47

Cette parabole des noeuds vient du judaïsme, je crois.

par **Jean-Mic** » ven. 12 août 2022, 11:51

Altior a écrit : ↑
jeu. 11 août 2022, 21:53
Un prêtre disait, en forme poétique, une fois lors d'un sermon que l'âme est comme tombée dans la Mer Morte par le péché originel. Le Baptême offre une corde de sauvetage au naufragé. Malheureusement, cette corde est coupée par le péché mortel. C'est la Confession qui réalise un noeud, de manière que la connexion est rétablie. Mais, ayant un noeud, la corde devient un peu plus courte qu'avant que le péché mortel la coupe. De cette façon, plus il y a de noeuds, plus l'âme se rapproche de son Sauveur. J'ai retenu cette image qui me semble fort intuitive et je vous la donne comme je l'ai reçue.

L'image est très belle et très poétique. A un détail près. Je ne suis pas sûr que le nombre de nœuds (et donc de confession) soit une garantie absolue de sainteté.

Pour continuer sur cette belle image, je proposerais deux alternatives :
1/ peut-être que nos cordes n'ont pas toutes la même longueur au départ

...
2/ peut-être que certaines cordes sont élastiques ; tantôt la sainteté de nos vies et notre perméabilité à la grâce la raccourcissent, tantôt notre endurcissement la rallonge

Quant à des nœuds que le Seigneur pourrait faire de sa propre initiative, rien que pour nous rapprocher de Lui, ils sont la preuve de son infinie miséricorde. Miséricorde totalement gratuite dont Dieu a le secret. Miséricorde qui ne passe pas que par les sacrements (ainsi, les visions et les extases de certains saints).

Tiens ! En Français, dans le mot Miséricorde, il y a le mot ... corde. Joli clin d'œil que les linguistes et philologues me pardonneront.

par **Marie2964** » ven. 12 août 2022, 11:34

Jean-Mic a écrit : ↑
ven. 12 août 2022, 11:32

Marie2964 a écrit : ↑
ven. 12 août 2022, 10:42
... à mesure que le temps passe, je m'aperçois à quel point je suis sujette au péché. Ça me donne le vertige! ...
Evidemment ! C'est pour ça que le Christ a institué le Baptême !

C'est pourquoi (je me répète), vous devriez vous concentrer sur votre Baptême, et laisser vos questions sur la Réconciliation à votre après-baptême.

Jean-Mic,

Je comprends et prends en considération votre recommandation.

Merci.

Marie.

par **Jean-Mic** » ven. 12 août 2022, 11:32

Marie2964 a écrit : ↑
ven. 12 août 2022, 10:42
... à mesure que le temps passe, je m'aperçois à quel point je suis sujette au péché. Ça me donne le vertige! ...

Evidemment ! C'est pour ça que le Christ a institué le Baptême !

C'est pourquoi (je me répète), vous devriez vous concentrer sur votre Baptême, et laisser vos questions sur la Réconciliation à votre après-baptême.

par **Marie2964** » ven. 12 août 2022, 10:46

Altior a écrit : ↑
jeu. 11 août 2022, 21:53

Marie2964 a écrit : ↑
jeu. 11 août 2022, 7:58

Pour ma part (et c'est certainement psychologique) j'ai quand même l'impression que plus je me confesserai, plus j'aurai de force pour combattre le péché...

Oui, bien sûr. Mais ce n'est pas (exclusivement) psychologique. C'est parce que le fruit d'une bonne confession n'est pas seulement la Grâce Sanctifiante, mais aussi la grâce sacramentelle. Il s'agit d'un type spécial de la cathégorie des grâces actuelles (en langage byzantin on dit charismes travaillantes). Ou "travailleuses" plutôt, je ne sais pas comment traduire cela. Ces grâces ne sont pas offertes par la confession, mais par tous les Sacrements et sacremantaux. La spécificité de la grâce sacrementelle de la Confession est justement de nous armer mieux contre les péchés. La même chose est obtenue par la Communion, à seule différence que par la Communion on obtient une arme non-spécifique (c'est à dire utilisable contre tous les péchés), tandis que par la Confession on se munie mieux contre les péchés confessés. C'est pourquoi la Communion aussi a un caractère salvifique, chose que nous savons déjà depuis l'Évangile se Saint Jean.

Un prêtre disait, en forme poétique, une fois lors d'un sermon que l'âme est comme tombée dans la Mer Morte par le péché originel. Le Baptême offre une corde de sauvetage au naufragé. Malheureusement, cette corde est coupée par le péché mortel. C'est la Confession qui réalise un noeud, de manière que la connexion est rétablie. Mais, ayant un noeud, la corde devient un peu plus courte qu'avant que le péché mortel la coupe. De cette façon, plus il y a de noeuds, plus l'âme se rapproche de son Sauveur. J'ai retenu cette image qui me semble fort intuitive et je vous la donne comme je l'ai reçue.

Bonjour Altior,

Décidément, j'aime beaucoup cette image de nœuds moi aussi.

Quant à la confession, j'ai hâte d'être enfin baptisée pour profiter de ce beau sacrement et tenter par-là même de me rapprocher de Dieu, si celui-ci le permet!

Merci pour cette belle réponse.

Marie.

par **Marie2964** » ven. 12 août 2022, 10:42

Jean-Mic a écrit : ↑
jeu. 11 août 2022, 14:25

Marie2964 a écrit : ↑
jeu. 11 août 2022, 10:29
Entre nous, je n'ai pas besoin d'attendre de communier pour voir déjà l'ampleur de mon état de pécheresse... hélas !
Une chose à la fois !

Le Baptême est là pour nous libérer du péché.

Bien qu'appelés à la sainteté, et fortifiés par le Baptême dans cette voie, nous savons que nous risquons bel et bien de chuter sur ce chemin.
Pourtant (l'analogie -sous forme de question - qui suit vaut ce qu'elle vaut),
Que penseriez-vous d'un fiancé ou d'une fiancée qui se demanderait avant le Mariage comment il se fera pardonner par son épouse ou son époux ses infidélités (de toutes sortes) à venir ?

NB : Pour faire encore plus clair, remplacez fiancé par catéchumène, Mariage par Baptême, infidélité par péché.

Alors,
Croyez fermement, et dès maintenant, aux grâces du sacrement et, s'il est plus que probable qu'après l'avoir reçu, vous viendrez probablement comme nous tous à y manquer, alors mais alors seulement se posera la question de la Réconciliation.

[+] Texte masqué
Et, pour rendre plus précise encore mon analogie, rappelons-nous que, dans le mariage, les occasions d'infidélité ne se limitent pas à l'adultère mais incluent tous (absolument tous !) les manquements à la promesse nuptiale : la convoitise et le désir incontrôlés pour un ou une autre que l'époux ou l'épouse évidemment, mais également l'indifférence, l'oubli de la tendresse et la routine qu'on laisse s'installer, ou, plus insidieux encore, l'attachement envahissant à tous ces objets d'attention si tentants (combien d'époux trompent leur conjoint avec leur travail, avec leurs loisirs, avec la télé ou les jeux sur S...phone®, etc. ?).

Bonjour Jean-Mic,

Effectivement, vous avez raison de me rappeler tout cela.

Il est évident que mon espérance réside dans le fait de m'affermir dans ma Foi et donc dans ma conduite. C'est simplement qu'à mesure que le temps passe, je m'aperçois à quel point je suis sujette au péché. Ça me donne le vertige! Je sais néanmoins que Dieu m'assiste et veille sur moi...

Marie.

par **Foxy** » jeu. 11 août 2022, 22:22

Altior a écrit : ↑
jeu. 11 août 2022, 21:53

Un prêtre disait, en forme poétique, une fois lors d'un sermon que l'âme est comme tombée dans la Mer Morte par le péché originel. Le Baptême offre une corde de sauvetage au naufragé. Malheureusement, cette corde est coupée par le péché mortel. C'est la Confession qui réalise un noeud, de manière que la connexion est rétablie. Mais, ayant un noeud, la corde devient un peu plus courte qu'avant que le péché mortel la coupe. De cette façon, plus il y a de noeuds, plus l'âme se rapproche de son Sauveur. J'ai retenu cette image qui me semble fort intuitive et je vous la donne comme je l'ai reçue.

MERCI Altior pour cette image de noeuds, je ne connaissais pas.

par **Altior** » jeu. 11 août 2022, 21:53

Marie2964 a écrit : ↑
jeu. 11 août 2022, 7:58

Pour ma part (et c'est certainement psychologique) j'ai quand même l'impression que plus je me confesserai, plus j'aurai de force pour combattre le péché...

Oui, bien sûr. Mais ce n'est pas (exclusivement) psychologique. C'est parce que le fruit d'une bonne confession n'est pas seulement la Grâce Sanctifiante, mais aussi la grâce sacramentelle. Il s'agit d'un type spécial de la cathégorie des grâces actuelles (en langage byzantin on dit charismes travaillantes). Ou "travailleuses" plutôt, je ne sais pas comment traduire cela. Ces grâces ne sont pas offertes par la confession, mais par tous les Sacrements et sacremantaux. La spécificité de la grâce sacrementelle de la Confession est justement de nous armer mieux contre les péchés. La même chose est obtenue par la Communion, à seule différence que par la Communion on obtient une arme non-spécifique (c'est à dire utilisable contre tous les péchés), tandis que par la Confession on se munie mieux contre les péchés confessés. C'est pourquoi la Communion aussi a un caractère salvifique, chose que nous savons déjà depuis l'Évangile se Saint Jean.

Un prêtre disait, en forme poétique, une fois lors d'un sermon que l'âme est comme tombée dans la Mer Morte par le péché originel. Le Baptême offre une corde de sauvetage au naufragé. Malheureusement, cette corde est coupée par le péché mortel. C'est la Confession qui réalise un noeud, de manière que la connexion est rétablie. Mais, ayant un noeud, la corde devient un peu plus courte qu'avant que le péché mortel la coupe. De cette façon, plus il y a de noeuds, plus l'âme se rapproche de son Sauveur. J'ai retenu cette image qui me semble fort intuitive et je vous la donne comme je l'ai reçue.

par **Jean-Mic** » jeu. 11 août 2022, 14:25

Marie2964 a écrit : ↑
jeu. 11 août 2022, 10:29
Entre nous, je n'ai pas besoin d'attendre de communier pour voir déjà l'ampleur de mon état de pécheresse... hélas !

Une chose à la fois !

Le Baptême est là pour nous libérer du péché.

Bien qu'appelés à la sainteté, et fortifiés par le Baptême dans cette voie, nous savons que nous risquons bel et bien de chuter sur ce chemin.

Pourtant (l'analogie -sous forme de question - qui suit vaut ce qu'elle vaut),

Que penseriez-vous d'un fiancé ou d'une fiancée qui se demanderait avant le Mariage comment il se fera pardonner par son épouse ou son époux ses infidélités (de toutes sortes) à venir ?

NB : Pour faire encore plus clair, remplacez fiancé par catéchumène, Mariage par Baptême, infidélité par péché.

Alors,

Croyez fermement, et dès maintenant, aux grâces du sacrement et, s'il est plus que probable qu'après l'avoir reçu, vous viendrez probablement comme nous tous à y manquer, alors mais alors seulement se posera la question de la Réconciliation.

[+] Texte masqué: Et, pour rendre plus précise encore mon analogie, rappelons-nous que, dans le mariage, les occasions d'infidélité ne se limitent pas à l'adultère mais incluent tous (absolument tous !) les manquements à la promesse nuptiale : la convoitise et le désir incontrôlés pour un ou une autre que l'époux ou l'épouse évidemment, mais également l'indifférence, l'oubli de la tendresse et la routine qu'on laisse s'installer, ou, plus insidieux encore, l'attachement envahissant à tous ces objets d'attention si tentants (combien d'époux trompent leur conjoint avec leur travail, avec leurs loisirs, avec la télé ou les jeux sur S...phone®, etc. ?).

par **Marie2964** » jeu. 11 août 2022, 10:30

PaxetBonum a écrit : ↑
jeu. 11 août 2022, 8:15

Marie2964 a écrit : ↑
jeu. 11 août 2022, 7:58

Pour ma part (et c'est certainement psychologique) j'ai quand même l'impression que plus je me confesserai, plus j'aurai de force pour combattre le péché...

Bonjour Marie2964,

Ce n'est pas psychologique : la confession est un sacrement qui vous donne des grâces pour mieux vivre à l'avenir.

Excusez moi, étant un ignoble pécheur en pénitence, mes commentaires sont souvent arbitrairement censurés, toujours décalés et je suis rarement informé de vos réponse.

Vous avez entièrement raison PaxetBonom !

Merci pour votre retour!

par **Marie2964** » jeu. 11 août 2022, 10:29

Jean-Mic a écrit : ↑
jeu. 11 août 2022, 9:44

Marie2964 a écrit : ↑
jeu. 11 août 2022, 7:54
J'attends d'être baptisée pour me confesser et ensuite communier.
Après avoir été baptisée, vous serez probablement invité à recevoir la communion pour la première fois. Pas besoin de recevoir le sacrement de Réconciliation avec cette communion-là. Ce n'est que plus tard, au vu de nos manques aux promesses de notre baptême, que nous devons recourir au Pardon de Dieu avant une nouvelle communion.

Ne brûlez pas les étapes ! Tant que vous n'êtes pas baptisée, concentrez-vous sur votre Baptême à venir et sur votre première participation communiante à l'Eucharistie. Vous aurez tout le temps après de penser à la Réconciliation lorsque vous aurez goûté aux joies de l'Eucharistie, et que vous mesurerez tout ce qui nous manque pour être parfait comme notre Père est parfait.

Bonjour Jean-Mic,

Merci pour votre retour. Il est évident que j'anticipe énormément puisque je ne suis pas encore baptisée. Comme je l'indiquais dans quelques une de mes réponses précédentes, je posais la question à titre théorique...

Entre nous, je n'ai pas besoin d'attendre de communier pour voir déjà l'ampleur de mon état de pécheresse... hélas ! Ceci dit, Notre Père est Parfait, il est Bon et Miséricordieux, ça je le sais aussi d'avance...

Marie.

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