par Judith » ven. 26 sept. 2008, 8:52
à Papayou.
Lorsque je dis communion spirituelle, souvent appellée également communion de désir, cela consiste tout simplement à dire au moment de la communion dans son coeur au Seigneur combien on l'aime et qu'on souhaite lui rester fidèle malgré ce sacrifice (l'Eucharistie) auquel nous ne pouvons participer de par notre état.
Remettre toute sa confiance en Lui, avoir un moment de recueillement et d'adoration profond et sincère et lui demander les graces nécessaires pour continuer.
En faite, prier et remercier le Seigneur comme s'il on avait communier.
Tout du moins c'est comme cela que je l'ai toujours faite.
Voici un extrait trouvé sur le site du Vatican écrit par le Pape :
Chapitre IV
LA SAINTE COMMUNION
1. LES DISPOSITIONS POUR RECEVOIR LA SAINTE COMMUNION
- 80 - Comme cela est mis en évidence dans les différentes parties de la Messe, l’Eucharistie doit être présentée aux fidèles aussi «comme l’antidote qui nous libère de nos fautes quotidiennes et nous préserve des péchés mortels»[160]. L’acte pénitentiel, situé au début de la Messe, a pour but d’aider les participants à se préparer à célébrer dignement les saints mystères;[161] toutefois, « il n’a pas l’efficacité du sacrement de Pénitence »,[162] et il ne peut se substituer au sacrement de Pénitence pour la rémission des péchés graves. Les pasteurs d’âmes doivent veiller attentivement dans la catéchèse à ce que la doctrine chrétienne dans ce domaine soit transmise aux fidèles.
- 81 - De même, la coutume de l’Église affirme qu’il est nécessaire que chacun s’éprouve soi-même,[163] afin que celui qui a conscience d’être en état de péché grave, ne célèbre pas la Messe ni ne communie au Corps du Seigneur, sans avoir recouru auparavant à la confession sacramentelle, à moins qu’il ait un motif grave et qu’il soit dans l’impossibilité de se confesser; dans ce cas, il ne doit pas oublier qu’il est tenu par l’obligation de faire un acte de contrition parfaite, qui inclut la résolution de se confesser au plus tôt.[164]
- 82 - De plus, «l’Église a donné des normes qui visent tout à la fois à favoriser l’accès fréquent et fructueux des fidèles à la Table eucharistique, et à déterminer les conditions objectives dans lesquelles il faut s’abstenir d’administrer la communion».[165]
- 83 - Il est certainement bien préférable que tous ceux qui participent à une célébration de la sainte Messe reçoivent la sainte Communion au cours de cette célébration, à condition qu’ils remplissent les conditions, qui leur permettent de communier. Cependant, il arrive parfois que les fidèles s’approchent de la sainte table en grand nombre et sans le discernement nécessaire. Il est du devoir des pasteurs de corriger un tel abus avec prudence et fermeté.
- 84 - De plus, lorsque la sainte Messe est célébrée pour une grande foule ou, par exemple, dans les grandes villes, il faut veiller à ce que des non-catholiques ou même des non-chrétiens, agissant par ignorance, ne s’approchent pas de la sainte Communion, sans tenir compte du Magistère de l’Église tant au plan doctrinal que disciplinaire. Il revient aux pasteurs d’avertir, au moment opportun, les personnes présentes à la célébration sur la vérité et la discipline, qui doivent être observées strictement.
- 85 - Les ministres catholiques administrent licitement les sacrements aux seuls fidèles catholiques, qui, de même, les reçoivent licitement des seuls ministres catholiques, restant sauves les dispositions des can. 844 §§ 2, 3 et 4, et du can. 861 § 2.[166] De plus, les conditions établies par le can. 844 § 4, auxquelles on ne peut déroger en aucun cas,[167] ne peuvent pas être séparées les unes des autres: il est donc nécessaire que ces dernières soient toujours toutes requises d’une manière simultanée.
- 86 - Il faut inciter instamment les fidèles à recourir au sacrement de pénitence en dehors de la célébration de la Messe, surtout aux heures établies, de telle sorte que ce sacrement leur soit administré paisiblement et pour leur véritable profit, sans qu’ils soient empêchés de participer activement à la Messe. Il faut instruire ceux qui ont l’habitude de communier chaque jour ou très souvent, de l’importance de s’approcher du sacrement de pénitence d’une manière régulière, selon les possibilités de chacun.[168]
- 87 - La première Communion des enfants doit toujours être précédée de la confession sacramentelle et de l’absolution.[169] De plus, la première Communion doit toujours être administrée par un prêtre, et elle ne doit jamais être reçue en dehors de la célébration de la Messe. Sauf dans des cas exceptionnels, il est peu approprié d’administrer la première Communion au cours de la Messe de la Cène du Seigneur du Jeudi Saint. Il est préférable de choisir un autre jour, comme les dimanches de Pâques (du 2ème au 6ème dimanche) ou la solennité du Saint-Sacrement du Corps et du Sang du Christ ou les dimanches «per annum», puisque le dimanche est considéré avec raison comme le jour de l’Eucharistie.[170] «Les enfants n’ayant pas encore atteint l’âge de raison», ou ceux que le curé «juge insuffisamment disposés», ne doivent pas être admis à recevoir l’Eucharistie.[171] Toutefois, il peut arriver exceptionnellement qu’un enfant, en dépit de son jeune âge, soit jugé assez mûr pour recevoir le sacrement; dans ce cas, on ne lui refusera pas la première Communion, pourvu qu’il soit suffisamment formé.
à Papayou.
Lorsque je dis communion spirituelle, souvent appellée également communion de désir, cela consiste tout simplement à dire au moment de la communion dans son coeur au Seigneur combien on l'aime et qu'on souhaite lui rester fidèle malgré ce sacrifice (l'Eucharistie) auquel nous ne pouvons participer de par notre état.
Remettre toute sa confiance en Lui, avoir un moment de recueillement et d'adoration profond et sincère et lui demander les graces nécessaires pour continuer.
En faite, prier et remercier le Seigneur comme s'il on avait communier.
Tout du moins c'est comme cela que je l'ai toujours faite.
Voici un extrait trouvé sur le site du Vatican écrit par le Pape :
Chapitre IV
LA SAINTE COMMUNION
1. LES DISPOSITIONS POUR RECEVOIR LA SAINTE COMMUNION
- 80 - Comme cela est mis en évidence dans les différentes parties de la Messe, l’Eucharistie doit être présentée aux fidèles aussi «comme l’antidote qui nous libère de nos fautes quotidiennes et nous préserve des péchés mortels»[160]. L’acte pénitentiel, situé au début de la Messe, a pour but d’aider les participants à se préparer à célébrer dignement les saints mystères;[161] toutefois, « il n’a pas l’efficacité du sacrement de Pénitence »,[162] et il ne peut se substituer au sacrement de Pénitence pour la rémission des péchés graves. Les pasteurs d’âmes doivent veiller attentivement dans la catéchèse à ce que la doctrine chrétienne dans ce domaine soit transmise aux fidèles.
- 81 - De même, la coutume de l’Église affirme qu’il est nécessaire que chacun s’éprouve soi-même,[163] afin que celui qui a conscience d’être en état de péché grave, ne célèbre pas la Messe ni ne communie au Corps du Seigneur, sans avoir recouru auparavant à la confession sacramentelle, à moins qu’il ait un motif grave et qu’il soit dans l’impossibilité de se confesser; dans ce cas, il ne doit pas oublier qu’il est tenu par l’obligation de faire un acte de contrition parfaite, qui inclut la résolution de se confesser au plus tôt.[164]
- 82 - De plus, «l’Église a donné des normes qui visent tout à la fois à favoriser l’accès fréquent et fructueux des fidèles à la Table eucharistique, et à déterminer les conditions objectives dans lesquelles il faut s’abstenir d’administrer la communion».[165]
- 83 - Il est certainement bien préférable que tous ceux qui participent à une célébration de la sainte Messe reçoivent la sainte Communion au cours de cette célébration, à condition qu’ils remplissent les conditions, qui leur permettent de communier. Cependant, il arrive parfois que les fidèles s’approchent de la sainte table en grand nombre et sans le discernement nécessaire. Il est du devoir des pasteurs de corriger un tel abus avec prudence et fermeté.
- 84 - De plus, lorsque la sainte Messe est célébrée pour une grande foule ou, par exemple, dans les grandes villes, il faut veiller à ce que des non-catholiques ou même des non-chrétiens, agissant par ignorance, ne s’approchent pas de la sainte Communion, sans tenir compte du Magistère de l’Église tant au plan doctrinal que disciplinaire. Il revient aux pasteurs d’avertir, au moment opportun, les personnes présentes à la célébration sur la vérité et la discipline, qui doivent être observées strictement.
- 85 - Les ministres catholiques administrent licitement les sacrements aux seuls fidèles catholiques, qui, de même, les reçoivent licitement des seuls ministres catholiques, restant sauves les dispositions des can. 844 §§ 2, 3 et 4, et du can. 861 § 2.[166] De plus, les conditions établies par le can. 844 § 4, auxquelles on ne peut déroger en aucun cas,[167] ne peuvent pas être séparées les unes des autres: il est donc nécessaire que ces dernières soient toujours toutes requises d’une manière simultanée.
- 86 - Il faut inciter instamment les fidèles à recourir au sacrement de pénitence en dehors de la célébration de la Messe, surtout aux heures établies, de telle sorte que ce sacrement leur soit administré paisiblement et pour leur véritable profit, sans qu’ils soient empêchés de participer activement à la Messe. Il faut instruire ceux qui ont l’habitude de communier chaque jour ou très souvent, de l’importance de s’approcher du sacrement de pénitence d’une manière régulière, selon les possibilités de chacun.[168]
- 87 - La première Communion des enfants doit toujours être précédée de la confession sacramentelle et de l’absolution.[169] De plus, la première Communion doit toujours être administrée par un prêtre, et elle ne doit jamais être reçue en dehors de la célébration de la Messe. Sauf dans des cas exceptionnels, il est peu approprié d’administrer la première Communion au cours de la Messe de la Cène du Seigneur du Jeudi Saint. Il est préférable de choisir un autre jour, comme les dimanches de Pâques (du 2ème au 6ème dimanche) ou la solennité du Saint-Sacrement du Corps et du Sang du Christ ou les dimanches «per annum», puisque le dimanche est considéré avec raison comme le jour de l’Eucharistie.[170] «Les enfants n’ayant pas encore atteint l’âge de raison», ou ceux que le curé «juge insuffisamment disposés», ne doivent pas être admis à recevoir l’Eucharistie.[171] Toutefois, il peut arriver exceptionnellement qu’un enfant, en dépit de son jeune âge, soit jugé assez mûr pour recevoir le sacrement; dans ce cas, on ne lui refusera pas la première Communion, pourvu qu’il soit suffisamment formé.