par Altior » dim. 03 nov. 2019, 19:14
Les premiers chrétiens vivaient en communauté de vie évangélique. Un peu comme les fraternités d'aujourd'hui (les Franciscains, par exemple). De nos jours, le minimum syndical est le 5ème commandement de l'Église: la dîme. (à propos: le mois de novembre est bien le mois traditionnel de régler la dîme). Bien sûr, on peut faire plus que ça, beaucoup plus que ça, mais là nous ne sommes pas dans l'obligation. Pas mal de chrétiens je connais qui font beaucoup plus que ça.
Avec l'Église, je ne crois pas que la richesse matérielle soit un péché, ni que la pauvreté, voire la précarité, soit une vertu. On a eu des saints richissimes, on a eu des saints d'une pauvreté extrême. Ils ont, tous, une chose commune dans leurs vies sur la terre: ils ont tous fait plus que le minimum nécessaire pour le salut.
Si ce n'est pas un péché, la richesse est une tentation (la pauvreté en est une autre, mais là ce n'est pas le sujet).
Les premiers chrétiens vivaient en communauté de vie évangélique. Un peu comme les fraternités d'aujourd'hui (les Franciscains, par exemple). De nos jours, le minimum syndical est le 5ème commandement de l'Église: la dîme. (à propos: le mois de novembre est bien le mois traditionnel de régler la dîme). Bien sûr, on peut faire plus que ça, beaucoup plus que ça, mais là nous ne sommes pas dans l'obligation. Pas mal de chrétiens je connais qui font beaucoup plus que ça.
Avec l'Église, je ne crois pas que la richesse matérielle soit un péché, ni que la pauvreté, voire la précarité, soit une vertu. On a eu des saints richissimes, on a eu des saints d'une pauvreté extrême. Ils ont, tous, une chose commune dans leurs vies sur la terre: ils ont tous fait plus que le minimum nécessaire pour le salut.
Si ce n'est pas un péché, la richesse est une tentation (la pauvreté en est une autre, mais là ce n'est pas le sujet).