par Cinci » ven. 29 avr. 2016, 22:38
Fleur de Lys :
J'ai bien évidement en tête Le Seigneur des anneaux, qui me semble une lecture plus saine qu'un Madame Bovary (étudié au collège av Le Rouge et le noir, j'ai trouvé ça très sombre pour mon jeune âge) ou Quo Vadis.
Pour les plus jeunes, je connais bien sûr la Comtesse de Ségur et sa morale catholique. Mais voilà où s'arrête ma piètre culture littéraire classique.
Vous n'avez pas songé à
Robinson Crusoé? C'est un classique que tout occidental doit avoir lu au moins une fois dans sa vie. C'est trés bien écrit, simple, passionnant. On pourrait difficilement faire mieux en matière de morale chrétienne.
Toute l'Intrigue du roman tourne autour du thème d'un jeune homme d'abord fortuné, étourdi, mondain, négligeant les devoirs de la religion, qui fini par faire naufrage sur une terre hostile, ayant tout perdu sauf la vie et Dieu ... n'avec plus qu'une Bible tirée du naufrage avec lui, plus quelques bouts de planches, de menus outils, une corde, des clous, ses habits. Après c'est le chemin de la rédemption avec la Parole de Dieu comme consolation, la découverte de la providence divine, etc. C'est une oeuvre-phare pour illustrer ce que pouvait être la morale de l'honnête homme occidental. Le dépaysement est garanti, l'exotisme aussi. La finale du livre représente un
happy end (Tout est bien qui fini bien).
Il m'en fait souvenir que je n'ai toujours pas lu
Le journal de l'année de la peste. C'est du même auteur. Un conférencier invité pour parler de littérature à Biblothèque nationale en disait le plus grand bien.
Charles Dickens a écrit des trucs assez moraux, il me semble. Ses romans furent publiés d'abord sous forme de feuilletons, histoires ¸à suivre dans les journaux. On dit qu'il aura eu un grand impact pour sensibiliser l'opinion en Angleterre au fait des misères des déracinés, des pauvres, des classes laborieuses exploitées.
Et d'ailleurs je penserais aussi à Victor Hugo et son roman
Les misérables. Y aurait-il quelque chose de plus chrétien en littérature que le personnage de l'abbé Myriel et la rédemption de Jean Valjean? J'ai tellement aimé ce roman à l'époque que je suis passé à travers pratiquement d'un coup - quoi? - à peine le temps de faire une pause pour dîner. J'ai poursuivi toute la nuit jusqu'au lendemain.
Robinson Crusoé, Les misérables ... C'est parfait pour des adolescents.
[quote]Fleur de Lys :
J'ai bien évidement en tête Le Seigneur des anneaux, qui me semble une lecture plus saine qu'un Madame Bovary (étudié au collège av Le Rouge et le noir, j'ai trouvé ça très sombre pour mon jeune âge) ou Quo Vadis.
Pour les plus jeunes, je connais bien sûr la Comtesse de Ségur et sa morale catholique. Mais voilà où s'arrête ma piètre culture littéraire classique.
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Vous n'avez pas songé à [i]Robinson Crusoé[/i]? C'est un classique que tout occidental doit avoir lu au moins une fois dans sa vie. C'est trés bien écrit, simple, passionnant. On pourrait difficilement faire mieux en matière de morale chrétienne.
Toute l'Intrigue du roman tourne autour du thème d'un jeune homme d'abord fortuné, étourdi, mondain, négligeant les devoirs de la religion, qui fini par faire naufrage sur une terre hostile, ayant tout perdu sauf la vie et Dieu ... n'avec plus qu'une Bible tirée du naufrage avec lui, plus quelques bouts de planches, de menus outils, une corde, des clous, ses habits. Après c'est le chemin de la rédemption avec la Parole de Dieu comme consolation, la découverte de la providence divine, etc. C'est une oeuvre-phare pour illustrer ce que pouvait être la morale de l'honnête homme occidental. Le dépaysement est garanti, l'exotisme aussi. La finale du livre représente un[i] happy end [/i](Tout est bien qui fini bien).
Il m'en fait souvenir que je n'ai toujours pas lu [i]Le journal de l'année de la peste[/i]. C'est du même auteur. Un conférencier invité pour parler de littérature à Biblothèque nationale en disait le plus grand bien.
Charles Dickens a écrit des trucs assez moraux, il me semble. Ses romans furent publiés d'abord sous forme de feuilletons, histoires ¸à suivre dans les journaux. On dit qu'il aura eu un grand impact pour sensibiliser l'opinion en Angleterre au fait des misères des déracinés, des pauvres, des classes laborieuses exploitées.
Et d'ailleurs je penserais aussi à Victor Hugo et son roman[i] Les misérables[/i]. Y aurait-il quelque chose de plus chrétien en littérature que le personnage de l'abbé Myriel et la rédemption de Jean Valjean? J'ai tellement aimé ce roman à l'époque que je suis passé à travers pratiquement d'un coup - quoi? - à peine le temps de faire une pause pour dîner. J'ai poursuivi toute la nuit jusqu'au lendemain.
[i]Robinson Crusoé, Les misérables[/i] ... C'est parfait pour des adolescents.