par Xavi » mer. 12 juil. 2023, 12:40
Bonjour Philippe1,
Pour essayer de mieux vous comprendre, plusieurs de vos messages ont été réunis ici dans un sujet spécifique.
Cela reste très obscur comme si le point de vue était gnostique et réservé aux seuls initiés d’une connaissance spéciale dont la communication serait limitée…
Les six points ou pourquoi restent sans réponse claire.
La réunion ici de plusieurs de vos messages (depuis 2009) dans un même sujet aidera peut-être à apporter un peu plus de lumière.
Vous écrivez que c’est toujours la même règle que vous avez bien expliqué. Chaque lettre de l’alphabet hébreu correspond en effet à un nombre. Et vous procédez à des multiplications successives par trois, mais avec des changements complémentaires.
Sur cette base, et sans oublier que le texte hébreu se lit de droite à gauche, vous avez expliqué que le mot « l’adam » (en réalité : l’expression car « l’adam » c’est le mot « adam » avec un article) comprend quatre lettres (la cinquième « hé », la première « aleph », la quatrième « dalet » et la treizième « mem ») ce qui, avec votre règle de multiplications successives par trois, donne 169 :
5 (cinquième lettre « hé ») x 3 = 15 + 1 (première lettre « aleph ») = 16
16 x 3 (= 48) + 4 (quatrième lettre « dalet ») = 52
52 x 3 (= 156) + 13 (treizième lettre « mem ») = 169.
Vous estimez pouvoir remplacer le 9 par un 2 sur la base de la Ménorah (le chandelier à sept branches) pour dire que 169 = 162.
Ensuite, vous affirmez qu’en inversant les 1 et 2, 162 devient 161 et que 161 c’est aussi 1642. Où est l’explication ?
Si, comme vous le suggérez, nous appliquons la même règle à « sa femme » (par exemple, dans Gn 2, 25), cette expression avec un article comprend aussi quatre lettres (la première « aleph », la 21ème « shin », la 22ème « tav » et la sixième « vav »), et cela donne :
1 (première lettre « aleph ») x 3 = 3 + 21 (21ème lettre « shin ») = 24
24 x 3 (= 72) + 22 (22ème lettre « tav ») = 94
94 x 3 (= 282) + 6 (sixième lettre « vav ») = 288.
Or, vous affirmez sans explication que « 1, 21, 22, et 6 » donne 1786 (et non 288). Pourquoi ?
Et, toujours sans explication, vous ajoutez que 1786 = 1226, en indiquant que « 2 x 3 + 1 = 7 » (pour expliquer que le 7 est remplacé par un 2, mais rien n’explique le « 1 » qui est ajouté) et que « 2 x 3 + 2 = 8 » (pour expliquer que le 8 est aussi remplacé par un 2, mais ici rien n’explique le « 2 » qui est ajouté).
Vous précisez que « 78 c’est pareil à 71 », que c’est égal à 22 et même que 22 = 8 = 1. Comment votre lecteur pourrait-il comprendre sans un surplus d’explication ?
Puis, pour l’expression complète (« l’adam et sa femme ») vous estimez que 1646 = 1226 parce que 64 = 22 du fait que « 6 x 3 + 4 = 22) et qu’il y a « donc » 1226 des deux côtés.
Je résume : pour l’adam, vous dites que c’est 169 transformé en 162 qui devient 1646 puis 1226, et pour sa femme, le 288 devient 1786 qui devient 1226. C’est très obscur sans un surplus d’explications de ce qui peut justifier les arrangements successifs indiqués.
Vous ne devez convaincre personne du fait qu’il y a beaucoup de symbolique dans les nombres bibliques et vos hypothèses sont intéressantes à cet égard, mais elles demandent beaucoup de prudence et de clarification.
Mettez-vous à la place de vos interlocuteurs qui ont besoin, pour vous comprendre (et, pour pouvoir, le cas échéant, vous critiquer de manière constructive ou présenter leur désaccord), que vous expliquiez chaque affirmation sans présenter sans cesse immédiatement d’autres affirmations et d’autres calculs, ce qui crée de la confusion.
Ici, l’impression est que les calculs sont, chaque fois, arrangés de multiples manières et autant que nécessaire, pour y retrouver un résultat signifiant. Mais, n’importe quel nombre complexe peut toujours être décomposé mathématiquement pour le relier à un autre nombre et y mettre du sens, ce qui ne suffit pas (sauf répétition spécifique) pour pouvoir constater une intention certaine de l’auteur en ce sens.
Ne vous plaignez pas d’être incompris, si vous ne faites pas l’effort nécessaire pour que vous puissiez l’être.
Bonjour Philippe1,
Pour essayer de mieux vous comprendre, plusieurs de vos messages ont été réunis ici dans un sujet spécifique.
Cela reste très obscur comme si le point de vue était gnostique et réservé aux seuls initiés d’une connaissance spéciale dont la communication serait limitée…
Les six points ou pourquoi restent sans réponse claire.
La réunion ici de plusieurs de vos messages (depuis 2009) dans un même sujet aidera peut-être à apporter un peu plus de lumière.
Vous écrivez que c’est toujours la même règle que vous avez bien expliqué. Chaque lettre de l’alphabet hébreu correspond en effet à un nombre. Et vous procédez à des multiplications successives par trois, mais avec des changements complémentaires.
Sur cette base, et sans oublier que le texte hébreu se lit de droite à gauche, vous avez expliqué que le mot « [i]l’adam[/i] » (en réalité : l’expression car «[i] l’adam[/i] » c’est le mot « [i]adam[/i] » avec un article) comprend quatre lettres (la cinquième « [i]hé[/i] », la première « [i]aleph[/i] », la quatrième « [i]dalet[/i] » et la treizième « [i]mem [/i]») ce qui, avec votre règle de multiplications successives par trois, donne 169 :
5 (cinquième lettre « [i]hé [/i]») x 3 = 15 + 1 (première lettre « [i]aleph[/i] ») = 16
16 x 3 (= 48) + 4 (quatrième lettre « [i]dalet[/i] ») = 52
52 x 3 (= 156) + 13 (treizième lettre « mem ») = 169.
Vous estimez pouvoir remplacer le 9 par un 2 sur la base de la Ménorah (le chandelier à sept branches) pour dire que 169 = 162.
Ensuite, vous affirmez qu’en inversant les 1 et 2, 162 devient 161 et que 161 c’est aussi 1642. Où est l’explication ?
Si, comme vous le suggérez, nous appliquons la même règle à «[i] sa femme[/i] » (par exemple, dans Gn 2, 25), cette expression avec un article comprend aussi quatre lettres (la première «[i] aleph[/i] », la 21ème « [i]shin[/i] », la 22ème «[i] tav[/i] » et la sixième « [i]vav [/i]»), et cela donne :
1 (première lettre « [i]aleph[/i] ») x 3 = 3 + 21 (21ème lettre « [i]shin [/i]») = 24
24 x 3 (= 72) + 22 (22ème lettre « [i]tav [/i]») = 94
94 x 3 (= 282) + 6 (sixième lettre «[i] vav[/i] ») = 288.
Or, vous affirmez sans explication que « 1, 21, 22, et 6 » donne 1786 (et non 288). Pourquoi ?
Et, toujours sans explication, vous ajoutez que 1786 = 1226, en indiquant que « 2 x 3 + 1 = 7 » (pour expliquer que le 7 est remplacé par un 2, mais rien n’explique le « 1 » qui est ajouté) et que « 2 x 3 + 2 = 8 » (pour expliquer que le 8 est aussi remplacé par un 2, mais ici rien n’explique le « 2 » qui est ajouté).
Vous précisez que « [i]78 c’est pareil à 71[/i] », que c’est égal à 22 et même que 22 = 8 = 1. Comment votre lecteur pourrait-il comprendre sans un surplus d’explication ?
Puis, pour l’expression complète («[i] l’adam et sa femme [/i]») vous estimez que 1646 = 1226 parce que 64 = 22 du fait que « 6 x 3 + 4 = 22) et qu’il y a « [i]donc [/i]» 1226 des deux côtés.
Je résume : pour l’adam, vous dites que c’est 169 transformé en 162 qui devient 1646 puis 1226, et pour sa femme, le 288 devient 1786 qui devient 1226. C’est très obscur sans un surplus d’explications de ce qui peut justifier les arrangements successifs indiqués.
Vous ne devez convaincre personne du fait qu’il y a beaucoup de symbolique dans les nombres bibliques et vos hypothèses sont intéressantes à cet égard, mais elles demandent beaucoup de prudence et de clarification.
Mettez-vous à la place de vos interlocuteurs qui ont besoin, pour vous comprendre (et, pour pouvoir, le cas échéant, vous critiquer de manière constructive ou présenter leur désaccord), que vous expliquiez chaque affirmation sans présenter sans cesse immédiatement d’autres affirmations et d’autres calculs, ce qui crée de la confusion.
Ici, l’impression est que les calculs sont, chaque fois, arrangés de multiples manières et autant que nécessaire, pour y retrouver un résultat signifiant. Mais, n’importe quel nombre complexe peut toujours être décomposé mathématiquement pour le relier à un autre nombre et y mettre du sens, ce qui ne suffit pas (sauf répétition spécifique) pour pouvoir constater une intention certaine de l’auteur en ce sens.
Ne vous plaignez pas d’être incompris, si vous ne faites pas l’effort nécessaire pour que vous puissiez l’être.