par Aloys » sam. 04 mai 2013, 18:16
A en croire Albert Einstein, il suffirait de dépasser la vitesse de la lumière pour se libérer de l'espace et du temps, donc en ce qui concerne la pensée, d'accéder au phénomène de "voyance" . Si donc la pensée pouvait se connecter à une sorte d'ADSL en super-haute fréquence, le tour serait joué et nous pourrions ainsi entrer dans le "domaine des dieux" .
Fort bien mais, comment s'y brancher et quelles en seraient les conséquence pour les pauvres mortels que nous sommes ? Ce sont bien là les questions auxquelles de nombreux contributeurs à ce topic ont apporté leurs très intéressantes réponses et auxquelles je voudrais apporter aussi une certaine systématisation.
De tout ce qui a été dit précédemment, je conclus qu'il y a au moins deux sources possibles d'accès à ce mode de connaissance extraordinaire, si l'on exclut l'éventualité purement rationnelle d'une connexion simplement humaine.
Comme l'expérience universelle et les commentaires de ce site l'ont montré, il ne peut guère y avoir que Dieu ou le diable pour nous permettre l'accès à ce dangereux état de connaissance. Mais les deux existent bel et bien et ne se distinguent dans le langage que par des termes différents. Ainsi, dans l'inspiration divine, on parlera de prophétie, de songe divin ( rêve prémonitoire ), de charisme ou d'action de l'Esprit Saint tandis que, dans l'inspiration diabolique, on parlera plutôt plutôt de médiumnité ou de voyance mais c'est d'abord une affaire de convention linguistique, il faut bien essayer de s'y retrouver.
Dans cet usage de la "voyance", quelle qu'en soit la source, on distinguera utilement celui qui la dispense de celui qui la reçoit ou la demande. Le dispensateur aura toujours intérêt à se poser la question de la source de son inspiration et des conséquences ultimes de son action auprès des demandeurs tandis que ces derniers auront intérêt à se demander où cette démarche peut les mener : libération ou asservissement ?
Comme toujours, on reconnaîtra l'arbre à ses fruits, c.à.d. à ses conséquences, pas toujours prévisibles d'ailleurs et c'est pourquoi il existe une morale transcendante qui sait mieux que nous où certains actes peuvent nous mener. En fait, pour celui qui est demandeur de "voyance", il doit s'attendre non seulement à des malversations mais surtout à une sorte d'addiction comparable à la drogue, avec suppression progressive de toute capacité de décision personnelle. Bref, à l'esclavage de la raison et de la volonté, c'est à dire à la perdition de l'âme et même du corps. Par exemple, si vous consultez tous les matins votre horoscope pour savoir ce que vous devrez faire ou pas faire pendant la journée, vous ne serez bientôt plus qu'un jouet aux mains du destin, exactement comme au temps du paganisme antique, avant qu'Abraham, Moïse puis Jésus ne viennent nous en délivrer.
En ce qui concerne les charismes et les prophéties , pourtant attestés à la fois par l'ancien et le nouveau Testament, ils doivent être reçus plus que jamais avec le plus grand discernement, vu les risques nombreux d'imitations falsifiées qui prolifèrent de nos jours. En l'occurence, la naïveté est fatale et on ne saurait prendre trop de précautions pour s'en prémunir.
A en croire Albert Einstein, il suffirait de dépasser la vitesse de la lumière pour se libérer de l'espace et du temps, donc en ce qui concerne la pensée, d'accéder au phénomène de "voyance" . Si donc la pensée pouvait se connecter à une sorte d'ADSL en super-haute fréquence, le tour serait joué et nous pourrions ainsi entrer dans le "domaine des dieux" .
Fort bien mais, comment s'y brancher et quelles en seraient les conséquence pour les pauvres mortels que nous sommes ? Ce sont bien là les questions auxquelles de nombreux contributeurs à ce topic ont apporté leurs très intéressantes réponses et auxquelles je voudrais apporter aussi une certaine systématisation.
De tout ce qui a été dit précédemment, je conclus qu'il y a au moins deux sources possibles d'accès à ce mode de connaissance extraordinaire, si l'on exclut l'éventualité purement rationnelle d'une connexion simplement humaine.
Comme l'expérience universelle et les commentaires de ce site l'ont montré, il ne peut guère y avoir que Dieu ou le diable pour nous permettre l'accès à ce dangereux état de connaissance. Mais les deux existent bel et bien et ne se distinguent dans le langage que par des termes différents. Ainsi, dans l'inspiration divine, on parlera de prophétie, de songe divin ( rêve prémonitoire ), de charisme ou d'action de l'Esprit Saint tandis que, dans l'inspiration diabolique, on parlera plutôt plutôt de médiumnité ou de voyance mais c'est d'abord une affaire de convention linguistique, il faut bien essayer de s'y retrouver.
Dans cet usage de la "voyance", quelle qu'en soit la source, on distinguera utilement celui qui la dispense de celui qui la reçoit ou la demande. Le dispensateur aura toujours intérêt à se poser la question de la source de son inspiration et des conséquences ultimes de son action auprès des demandeurs tandis que ces derniers auront intérêt à se demander où cette démarche peut les mener : libération ou asservissement ?
Comme toujours, on reconnaîtra l'arbre à ses fruits, c.à.d. à ses conséquences, pas toujours prévisibles d'ailleurs et c'est pourquoi il existe une morale transcendante qui sait mieux que nous où certains actes peuvent nous mener. En fait, pour celui qui est demandeur de "voyance", il doit s'attendre non seulement à des malversations mais surtout à une sorte d'addiction comparable à la drogue, avec suppression progressive de toute capacité de décision personnelle. Bref, à l'esclavage de la raison et de la volonté, c'est à dire à la perdition de l'âme et même du corps. Par exemple, si vous consultez tous les matins votre horoscope pour savoir ce que vous devrez faire ou pas faire pendant la journée, vous ne serez bientôt plus qu'un jouet aux mains du destin, exactement comme au temps du paganisme antique, avant qu'Abraham, Moïse puis Jésus ne viennent nous en délivrer.
En ce qui concerne les charismes et les prophéties , pourtant attestés à la fois par l'ancien et le nouveau Testament, ils doivent être reçus plus que jamais avec le plus grand discernement, vu les risques nombreux d'imitations falsifiées qui prolifèrent de nos jours. En l'occurence, la naïveté est fatale et on ne saurait prendre trop de précautions pour s'en prémunir.