Quelques chiffres à l'occasion de Pâques 2022

Règles du forum
Forum de discussions entre chrétiens sur les questions ecclésiales

Répondre


Cette question vous permet de vous prémunir contre les soumissions automatisées et intensives effectuées par des robots malveillants.
Émoticônes
:?: :!: :arrow: :nule: :coeur: :) ;) :( :mal: :D :-D :oops: :cool: :/ :oui: :> :diable: <: :s :hypocrite: :p :amoureux: :clown: :rire: :-[ :sonne: :ciao: :zut: :siffle: :saint: :roule: :incertain: :clap: :fleur: :-@ :non: :cry: :bomb: :exclamation: :dormir: :wow: :boxe: :furieux: :toast: :dance: :flash:
Plus d’émoticônes

Le BBCode est activé
La balise [img] est activée
La balise [flash] est désactivée
La balise [url] est activée
Les émoticônes sont activées

Relecture du sujet
   

Agrandir Relecture du sujet : Quelques chiffres à l'occasion de Pâques 2022

Re: Quelques chiffres à l'occasion de Pâques 2022

par Kerygme » jeu. 21 avr. 2022, 3:38

Bonsoir,


Tout comme Jean-Mic je ne vois pas le rapport, si ce n'est de saisir une occasion de mettre ce point en avant.
Perlum Pimpum a écrit :
mer. 20 avr. 2022, 12:29
Et comment transmettre si on ne prêche pas par la parole et par l'exemple ?
Un proverbe Irakien dit : «On ne peut offrir ce qu'on n'a pas».

Or dans notre société sécularisée et déchristianisée, il faut reconnaître que l'immense majorité n'a pas ou n'a plus. Alors peut-on transmettre ce qu'on n'a pas soi-même ?

De la même façon je comprends qu'une personne sans éducation puisse mal se tenir (du moins cela m'aide à le supporter) ou qu'un baptisé non catéchisé ne puisse prêcher par la parole et l'exemple; pour reprendre vos termes.

Il semble que cela soit plus un problème de transmission que de contraception. Mais je peux comprendre la démarche qui consisterait à pointer ailleurs ce qui nous exonère de nos défaillances.



D'un point de vue historique, étant donné que l'ecclésiologie est toujours imbriquée dans l'histoire de notre pays :

Au début du XXème siècle, ce sont 98% des habitants qui se déclaraient catholiques romains mais au sortir de la seconde guerre mondiale, le clergé s'alarmait d'un net déclin de la pratique religieuse. Lequel s'est amplifié dans la France des “Trente Glorieuses”, qui s’urbanisait et où les modes de vie évoluaient rapidement.

Si cela vous intéresse, je vous invite à étudier ce qu'on nomme les « matériaux Boulard » (un chanoine qui collecta une documentation exceptionnelle sur la pratique religieuse dans la France d'après-guerre). La « carte Boulard » permet d'avoir une vision d’ensemble de cette transformation de 1945 à 1965, puisqu'elle fut actualisée durant tout ce temps.

En 1947 on parle des deux Frances pour la pratique religieuse (cela existait déjà pour la politique), et nous sommes bien avant la loi qui autorisa la contraception en 1967 et de l'encyclique du pape Paul VI sur son interdiction l'année suivante (« Humanae Vitae »).
Alors si je vous rejoindrais sur le fait que la France accuse un important déficit démographique, ce n'est pas pour autant la cause d'une déchristianisation qui a été amorcée bien avant. Si l'année 2015 semble notifier un ralentissement (je n'ose pas parler d'un début d'inversion), ce n'est pas fini pour autant.


La progression à deux chiffres du catholicisme dans le monde est plutôt rassurante, excepté pour le continent Européen et Américain. On pourrait s'interroger sur la corrélation entre le mode de vie occidental et la croyance religieuse.

Quelques chiffres à l'occasion de Pâques 2022

par Jean-Mic » mer. 20 avr. 2022, 15:33

Perlum Pimpum a écrit :
mer. 20 avr. 2022, 12:29
Le mariage, chrétien ou non, est de droit divin naturel, ordonné à la procréation, qui est sa fin principale.

Can. 1055 - § 1. L'alliance matrimoniale, par laquelle un homme et une femme constituent entre eux une communauté de toute la vie, ordonné par son caractère naturel au bien des conjoints ainsi qu'à la génération et à l'éducation des enfants, a été élevée entre baptisés par le Christ Seigneur à la dignité de sacrement. § 2.

De toute évidence, le canon 1055 donne non une fin principale, mais deux : premièrement, le "bien des conjoints" ; deuxièmement (et deuxièmement seulement !) "la génération et l'éducation des enfants".
Réduire le sacrement de mariage à la procréation revient à nier le caractère charnel du lien entre les époux, et à ignorer une part non négligeable, longuement développée par Jean-Paul II me semble-t-il, des richesses du mariage et de l'union des époux.

Ceci dit, je ne vois pas bien le rapport avec le sujet de départ... :s

Re: Quelques chiffres à l'occasion de Pâques 2022

par Perlum Pimpum » mer. 20 avr. 2022, 12:35

gerardha a écrit :
mer. 20 avr. 2022, 11:47
__

Bonjour,

Quelles conclusions pourrait-on en déduire ?

__
Bonjour.

De vivre dans un chaste célibat, tout ordonné à Dieu ; ou de vivre maritalement et chrétiennement, en faisant autant d'enfants que possible, et en les éduquant chrétiennement POUR EN FAIRE DES SAINTS.

Re: Quelques chiffres à l'occasion de Pâques 2022

par Perlum Pimpum » mer. 20 avr. 2022, 12:29

Kerygme a écrit :
mer. 20 avr. 2022, 11:06
@Perlum Pimpum

je ne crois pas que ce soit une histoire de contraception mais de transmission, en ce jour les familles pourraient avoir 15 enfants ce n'est pas pour autant qu'elles transmettraient ce qu'elle n'ont pas ou plus.
Bonjour,

Et comment transmettre si on ne prêche pas par la parole et par l'exemple ?

Le mariage, chrétien ou non, est de droit divin naturel, ordonné à la procréation, qui est sa fin principale. Doctrine commune des théologiens et des canonistes. User de la pilule, c'est réduire la sexualité conjugale à un acte de fornication et d'onanisme. Faire volontairement usage de contraceptif est gravement peccamineux. Le laxisme, la conscience relâchée, ne sont pas de mise.
[+] Texte masqué

CIC 1983

Can. 1055 - § 1. L'alliance matrimoniale, par laquelle un homme et une femme constituent entre eux une communauté de toute la vie, ordonné par son caractère naturel au bien des conjoints ainsi qu'à la génération et à l'éducation des enfants, a été élevée entre baptisés par le Christ Seigneur à la dignité de sacrement. § 2. C'est pourquoi, entre baptisés, il ne peut exister de contrat matrimonial valide qui ne soit, par le fait même, un sacrement.

Can. 1096 - § 1. Pour qu'il puisse y avoir consentement matrimonial, il faut que les contractants n'ignorent pas pour le moins que le mariage est une communauté permanente entre l'homme et la femme, ordonnée à la procréation des enfants par quelque coopération sexuelle. § 2. Cette ignorance n'est pas présumée après la puberté.
[+] Texte masqué

Humanae Vitae, Paul VI.
Les citations marquées GS = Gaudium et Spes

1. Le très grave devoir de transmettre la vie humaine, qui fait des époux les libres et responsables collaborateurs du Créateur, a toujours été pour ceux-ci source de grandes joies, accompagnées cependant parfois de bien des difficultés et des peines.

9. « Le mariage et l'amour conjugal sont ordonnés par leur nature à la procréation et à l'éducation des enfants. De fait, les enfants sont le don le plus excellent du mariage et ils contribuent grandement au bien des parents eux-mêmes. » (GS, 50)

10. La paternité responsable comporte encore et surtout un plus profond rapport avec l'ordre moral objectif, établi par Dieu, et dont la conscience droite est la fidèle interprète. Un exercice responsable de la paternité implique donc que les conjoints reconnaissent pleinement leurs devoirs envers Dieu, envers eux-mêmes, envers la famille et envers la société, dans une juste hiérarchie des valeurs. Dans la tâche de transmettre la vie, ils ne sont par conséquent pas libres de procéder à leur guise, comme s'ils pouvaient déterminer de façon entièrement autonome les voies honnêtes à suivre, mais ils doivent conformer leur conduite à l'intention créatrice de Dieu, exprimée dans la nature même du mariage et de ses actes, et manifestée par l'enseignement constant de l’Église.

11. Ces actes, par lesquels les époux s'unissent dans une chaste intimité, et par le moyen desquels se transmet la vie humaine, sont, comme l'a rappelé le Concile, « honnêtes et dignes » (GS, 49), et ils ne cessent pas d'être légitimes si, pour des causes indépendantes de la volonté des conjoints, on prévoit qu'ils seront inféconds : ils restent en effet ordonnés à exprimer et à consolider leur union. De fait, comme l'expérience l'atteste, chaque rencontre conjugale n'engendre pas une nouvelle vie. Dieu a sagement fixé des lois et des rythmes naturels de fécondité qui espacent déjà par eux-mêmes la succession des naissances. Mais l’Église, rappelant les hommes à l'observation de la loi naturelle, interprétée par sa constante doctrine, enseigne que tout acte matrimonial doit rester ouvert à la transmission de la vie.

12. Cette doctrine, plusieurs fois exposée par le Magistère, est fondée sur le lien indissoluble, que Dieu a voulu et que l'homme ne peut rompre de son initiative, entre les deux significations de l'acte conjugal : union et procréation. En effet, par sa structure intime, l'acte conjugal, en même temps qu'il unit profondément les époux, les rend aptes à la génération de nouvelles vies, selon des lois inscrites dans l'être même de l'homme et de la femme. C'est en sauvegardant ces deux aspects essentiels, union et procréation que l'acte conjugal conserve intégralement le sens de mutuel et véritable amour et son ordination à la très haute vocation de l'homme à la paternité.

13. On remarque justement, en effet, qu'un acte conjugal imposé au conjoint sans égard à ses conditions et à ses légitimes désirs, n'est pas un véritable acte d'amour et contredit par conséquent une exigence du bon ordre moral dans les rapports entre époux. De même, qui réfléchit bien devra reconnaître aussi qu'un acte d'amour mutuel qui porterait atteinte à la disponibilité à transmettre la vie, que le Créateur a attachée à cet acte selon des lois particulières, est en contradiction avec le dessein constitutif du mariage et avec la volonté de l'auteur de la vie. User de ce don divin en détruisant, fût-ce partiellement, sa signification et sa finalité, c'est contredire à la nature de l'homme comme à celle de la femme et de leur rapport le plus intime, c'est donc contredire aussi au plan de Dieu et à sa volonté. Au contraire, user du don de l'amour conjugal en respectant les lois du processus de la génération, c'est reconnaître que nous ne sommes pas les maîtres des sources de la vie humaine, mais plutôt les ministres du dessein établi par le Créateur. De même, en effet, que l'homme n'a pas sur son corps en général un pouvoir illimité, de même il ne l'a pas, pour une raison particulière, sur ses facultés de génération en tant que telles, à cause de leur ordination intrinsèque à susciter la vie, dont Dieu est le principe.

14. En conformité avec ces points fondamentaux de la conception humaine et chrétienne du mariage, nous devons encore une fois déclarer qu'est absolument à exclure, comme moyen licite de régulation des naissances, l'interruption directe du processus de génération déjà engagé, et surtout l'avortement directement voulu et procuré, même pour des raisons thérapeutiques. Est pareillement à exclure, comme le Magistère de l’Église l'a plusieurs fois déclaré, la stérilisation directe, qu'elle soit perpétuelle ou temporaire, tant chez l'homme que chez la femme. Est exclue également toute action qui, soit en prévision de l'acte conjugal, soit dans son déroulement, soit dans le développement de ses conséquences naturelles, se proposerait comme but ou comme moyen de rendre impossible la procréation. Et on ne peut invoquer comme raisons valables, pour justifier des actes conjugaux rendus intentionnellement inféconds, le moindre mal ou le fait que ces actes constitueraient un tout avec les actes féconds qui ont précédé ou qui suivront, et dont ils partageraient l'unique et identique bonté morale. En vérité, s'il est parfois licite de tolérer un moindre mal moral afin d'éviter un mal plus grand ou de promouvoir un bien plus grand, il n'est pas permis, même pour de très graves raisons, de faire le mal afin qu'il en résulte un bien, c'est-à-dire de prendre comme objet d'un acte positif de volonté ce qui est intrinsèquement un désordre et, par conséquent, une chose indigne de la personne humaine, même avec l'intention de sauvegarder ou de promouvoir des biens individuels, familiaux ou sociaux. C'est donc une erreur de penser qu'un acte conjugal rendu volontairement infécond et, par conséquent, intrinsèquement déshonnête, puisse être rendu honnête par l'ensemble d'une vie conjugale féconde.

18. On peut prévoir que cet enseignement ne sera peut-être pas facilement accueilli par tout le monde: trop de voix - amplifiées par les moyens modernes de propagande - s'opposent à la voix de l’Église. Celle-ci, à vrai dire, ne s'étonne pas d'être, à la ressemblance de son divin Fondateur, un signe de contradiction ; mais elle ne cesse pas pour autant de proclamer avec une humble fermeté, toute la loi morale, tant naturelle qu'évangélique. Ce n'est pas elle, qui a créé cette loi, elle ne saurait donc en être l'arbitre ; elle en est seulement la dépositaire et l'interprète, sans pouvoir jamais déclarer licite une chose qui ne l'est pas à cause de son intime et immuable opposition au vrai bien de l'homme.
Libre à chacun de se chercher des excuses pour pécher plus à son aise...

Re: Quelques chiffres à l'occasion de Pâques 2022

par gerardha » mer. 20 avr. 2022, 11:47

__

Bonjour,

Quelles conclusions pourrait-on en déduire ?

__

Re: Quelques chiffres à l'occasion de Pâques 2022

par Kerygme » mer. 20 avr. 2022, 11:06

@Perlum Pimpum

je ne crois pas que ce soit une histoire de contraception mais de transmission, en ce jour les familles pourraient avoir 15 enfants ce n'est pas pour autant qu'elles transmettraient ce qu'elle n'ont pas ou plus.

Re: Quelques chiffres à l'occasion de Pâques 2022

par Toi le tout petit » mer. 20 avr. 2022, 11:03

Bonjour, LaCaverneduPelerin,

J'ai trouvé ces liens :

Que seront les religions en 2050 ?
https://www.la-croix.com/Religion/Monde ... 1200755307

Accompagner les catéchumènes venant de l’Islam
https://catechese.catholique.fr/referen ... nes-islam/
https://metz.catholique.fr/actualites/a ... de-lislam/

Catéchèse, catéchuménat : enquêtes et statistiques
https://catechese.catholique.fr/cateche ... /chiffres/

Re: Quelques chiffres à l'occasion de Pâques 2022

par Kerygme » mer. 20 avr. 2022, 10:58

LaCaverneduPelerin a écrit :
mer. 20 avr. 2022, 10:41
Merci pour ces chiffres, avons-nous ceux des baptisés convertis depuis une autre religion ?
Pas pour l a France à ce jour hormis ceux de Toulon. Mais en Allemagne 1 catéchumène sur 3 vient de L'Islam et 1 sur 4 pour l'Angleterre.

Re: Quelques chiffres à l'occasion de Pâques 2022

par LaCaverneduPelerin » mer. 20 avr. 2022, 10:41

Merci pour ces chiffres, avons-nous ceux des baptisés convertis depuis une autre religion ?

Re: Quelques chiffres à l'occasion de Pâques 2022

par cmoi » mer. 20 avr. 2022, 7:55

Perlum Pimpum a écrit :
mar. 19 avr. 2022, 13:56
Oui, nous manquons cruellement de prêtres.
[+] Texte masqué

Si plutôt qu'user de la pilule, les mères de familles si peu chrétiennes faisaient plus d'enfants, la crise des vocations trouverait partiellement à se résoudre...
En lisant rapidement votre texte masqué, je n'ai pu m'empêcher de rajouter inconsciemment "ne" : les chrétiennes ne faisaient plus d'enfants.
Et je me suis dit : quel humour! Mais il y va un peu fort...
C'est comme l'enfant qui disait à ses parents fort dévots : "mais si nous restions tous chastes, ce serait la fin du monde !" Et eux de répondre : "quelle belle fin ! "
J'ai dû vous relire pour saisir à plein l'autre sens... plus incertain dans les faits (quoique, si nul ne triche... avec la santé !) mais surtout dans sa conclusion.

Re: Quelques chiffres à l'occasion de Pâques 2022

par Perlum Pimpum » mar. 19 avr. 2022, 23:58

Fée Violine a écrit :
mar. 19 avr. 2022, 17:52
Perlum Pimpum a écrit :
mar. 19 avr. 2022, 13:56

Si plutôt qu'user de la pilule, les mères de familles si peu chrétiennes faisaient plus d'enfants, la crise des vocations trouverait partiellement à se résoudre...
jusqu'au XXe siècle les familles de 15 ou 18 enfants n'étaient pas rares, et il y avait des vocations très nombreuses. Mais de nos jours, caser 18 enfants dans un appartement...
Il nous incombe d'être fidèles au Christ sans chercher des prétextes pour nous affranchir de sa Loi.

Re: Quelques chiffres à l'occasion de Pâques 2022

par Altior » mar. 19 avr. 2022, 21:13

Fée Violine a écrit :
mar. 19 avr. 2022, 17:52
Ici en Lozère jusqu'au XXe siècle (...)
Il serait intéressant de comparer les rapports nombre de prêtres vs nombre de pratiquants. J'ai l'impression que la chute du nombre des prêtres va de pair avec la chute du nombre de pratiquants. Malheureusement, si les statistiques sont très utiles de surprendre des corrélations, elles servent rarement pour comprendre les rapports de causalité. De nos jours nous avons moins de prêtres car nous avons moins de familles pratiquantes d'où ils puissent émerger ? Ou bien nous avons moins de pratiquants car moins de pratique suite à moins de prêtres ? Voilà un problème de type "la poule ou l'oeuf". Bien sûr, la troisième hypothèse, celle d'une cause extérieure aux deux ne peut pas être exclue a priori.

Re: Quelques chiffres à l'occasion de Pâques 2022

par Toi le tout petit » mar. 19 avr. 2022, 18:51

Re: Quelques chiffres à l'occasion de Pâques 2022

par Fée Violine » mar. 19 avr. 2022, 17:52

Perlum Pimpum a écrit :
mar. 19 avr. 2022, 13:56

Si plutôt qu'user de la pilule, les mères de familles si peu chrétiennes faisaient plus d'enfants, la crise des vocations trouverait partiellement à se résoudre...
Je crains que ça ne suffise pas.
J'ai deux fils et deux filles, et aucune vocation.
Vous me direz que 4 c'est pas beaucoup. Ici en Lozère jusqu'au XXe siècle les familles de 15 ou 18 enfants n'étaient pas rares, et il y avait des vocations très nombreuses. Mais de nos jours, caser 18 enfants dans un appartement...

Re: Quelques chiffres à l'occasion de Pâques 2022

par Perlum Pimpum » mar. 19 avr. 2022, 13:56

Oui, nous manquons cruellement de prêtres.
[+] Texte masqué

Si plutôt qu'user de la pilule, les mères de familles si peu chrétiennes faisaient plus d'enfants, la crise des vocations trouverait partiellement à se résoudre...

Haut