Perlum Pimpum a écrit : ↑lun. 25 oct. 2021, 19:36
Perlum Pimpum a écrit : ↑dim. 24 oct. 2021, 11:55
Je ne ferais l’effort de vous répondre encore que sur la question de l’état de grâce comme condition de validité du sacrement du mariage, puisque je m’y suis engagé. Mais pour le reste nos débats prennent fin. La messe est dite : vous n’êtes pas un interlocuteur sérieux !
Pour dire la vérité, je ne vous lis même plus…
Je vous réponds afin qu’il soit clair que si nous n’aurons plus de relation d’adulte à adulte, mais de parent à enfant, ce ne sera que de votre fait. Car que vous fassiez comme les enfants qui bouchent leurs oreilles quand on les corrige, n’a rien de trop étonnant.
Mais la vérité n’a pas besoin d’être entendue pour être proclamée…
Ce que Trinité avait besoin d’entendre, de la part d’un théologien qui l’aurait lu et aurait bien voulu intervenir, c’étaient des paroles d’apaisement et en quoi la théologie pouvait lui donner raison (ce que vous lui avez proposé maintenant grâce à mon intervention).
Vous avez fait exactement le contraire.
Or votre propos montrait que vous étiez bien certain qu’il se savait déjà défendre un cas non conventionnel (sans quoi il n’y aurait eu aucun scandale, aucun besoin de vous adresser à lui sur le ton que vous avez employé, mais simple nécessité d’un enseignement), et qu‘il avait besoin d’un « petit » rafraîchissement qui ressemblait à une sévère correction.
Et quand je suis intervenu pour vous obliger à dire ce que vous lui cachiez et qui allait dans son sens, vous avez fini par le dire du bout du clavier, avec des réserves qui pour le coup étaient fort recevables mais qui vous ont fait tout de suite après regagner votre opinion et traiter ceux qui ne la partageaient pas de tous les noms (certains explicites et ironiques, d’autres implicites qui les valaient tous).
Car quand j’ai voulu vous faire affiner ces réserves pour aller aussi loin que possible dans son sens et réparer votre « bourde », vous vous êtes rebiffé et m’avez soumis à des insinuations perfides en proférant des moqueries et jusqu’à dépasser le cadre de l’échange.
Quelle est donc la raison de votre présence et que cherchez-vous à prouver ? Les autres, vous voulez les aider à asseoir leur foi, ou les diffamer ? Et acceptez-vous que la vôtre en soit fortifiée, ou voulez-vous vous prouver que vous n’avez besoin de personne et bien raison d’en juger ainsi ?
Vous êtes de toute évidence bourré de blocages psychologiques qui vous empêchent de simplement reconnaître tout avis qui ne serait pas le vôtre, et donc de corriger correctement ceux qui réellement s’éloigneraient de celui de l’Eglise.
Vo opinions théologiques ne vous donnent nullement le droit de juger de la démarche des autres, de les juger discourtois quand ils vous contredisent, de les diffamer et de les traiter comme des apostats ou des hérétiques, des pécheurs publics.
Comme le disait Nicodème à ses pairs (Jean, 7,51) « notre loi ne condamne pas un homme sans l’avoir d’abord entendu, ni savoir ce qu’il a fait » , la justice la plus élémentaire consiste à écouter à partir du moment où il y a désaccord, et non jusqu’à ce moment.
Au surplus, vous n’êtes le juge ici de personne.
La façon dont vous secouez vos chaussures devant tant d’interlocuteurs en fera retomber la poussière sur vous, et je suis bien gentil de ne vous donner de référence que biblique.
La théologie n’étant pas une personne, s’il y en a une d’offensée ici ce n’est pas vous. En revanche, celle qui en pâtira, c’est bien vous : et sans qu’il soit besoin de plus !
D’autres théologiens que vous et reconnus se sont déjà présentés sur ce forum qui n’avaient pas votre fielleuse arrogance.