Bonjour,zelie a écrit : ↑mar. 09 avr. 2019, 16:35un article qui m'a assez étonnée, peut-être quelqu'un saura mieux analyser que moi :Florence et Georges se sont mariés civilement en 2005. Georges ayant été marié précédemment, les deux conjoints ne communiaient plus et n’allaient que rarement à la messe. « Il nous paraissait absurde et injuste de ne pas pouvoir se nourrir du corps du Christ alors que d’autres péchés, à nos yeux plus graves, n’excluaient pas de la table eucharistique », racontent Florence et Georges. Ils évoquent le sentiment qu’ils éprouvaient alors d’être « esseulés » sur leur banc au moment de la communion.le couple et le prêtre se rencontrent régulièrement et le couple s’investit pour des permanences d’accueil et des séances de catéchisme. « La messe en famille prenait de plus en plus de sens pour nous. »Alors que leur fils aîné prépare sa première communion en avril 2012, le couple se voit inviter par le père Gacogne à bâtir une célébration de bénédiction de leur union. Celle-ci a lieu cinq mois plus tard, dans l’intimité. « Et le lendemain, lors de la messe dominicale, nous avons re-communié pour la première fois....
Cette histoire est navrante à plusieurs titres.
Les personnes n'ont pas compris à quel point elles blessent le Christ en agissant ainsi. Leur a-t-on bien expliqué la vérité de leur situation ?
la confusion commence à cette phrase : "Il nous paraissait absurde et injuste de ne pas pouvoir se nourrir du corps du Christ alors que d’autres péchés, à nos yeux plus graves, n’excluaient pas de la table eucharistique". Au lieu de s'en remettre à Dieu et son Eglise pour trouver un chemin, ces époux définissent le leur, sur un prétendu sentiment d'injustice avec une balance toute subjective pour peser les péchés.
le prêtre n'a pas respecté le chemin de l'Eglise proposé à ces couples en proposant l'Eucharistie à un couple divorcé-remarié.
Sans juger sur les personnes, que l'on ne connaît pas, cette façon de faire (et le fait de le publier dans la Croix, on peut se demander pourquoi et quel est le témoignage rendu !) déchire le Corps du Christ.
Il aurait fallu :
faire annuler le premier mariage et entamer une démarche de pardon pour avoir vécu en concubinage.
marier à l'Eglise le nouveau couple.
En attendant, oui pour que le couple s'investisse dans la paroisse, et oui pour qu'ils puissent avoir accès à la communion de désir (s'avancer les bras en croix à la communion).
En Christ,