Merci Jean 777,Jean777 a écrit : ↑mar. 17 janv. 2023, 15:08Bonjour Trinité,
Les révélations sérieuses comme celle de Maria Valtorta son soutenues par beaucoup de faits surnaturels (https://www.youtube.com/watch?v=2Tm9POLAKyQ)
Les mystiques dans leur amour exacerbé , ont été imprégnés de visions qui leur sont propres...
Qui vous dit que ces visions représentent la réalité...
Les révélations ne sont pas faites pour les moutons. Il ne faut pas mépriser ce qui vient du Ciel.
L’Eglise ne condamne pas l’oeuvre et s’est plusieurs fois trompée sur d’autre saints.Pas l'Eglise en tous cas, qui a toujours été très prudente à ce sujet...
Paix sur vous.
Le 16 décembre 1959, les livres édités furent mis à l’index. L’Observatore romano publia la mise à l’Index accompagnée d’un article justifiant la condamnation.
En voici quelques extraits :
Les quatre Évangiles nous présentent un Jésus humble et plein de réserve ; ses discours sont sobres, incisifs, mais d’une suprême efficacité. Au contraire, dans cette sorte d’histoire romancée, Jésus est loquace à l’excès et ressemble à un propagandiste, toujours prêt à se proclamer Messie et Fils de Dieu, et à déclamer des leçons de théologie dans les mêmes termes dont se servirait aujourd’hui un professeur de théologie. Dans les récits de l’Évangile, nous admirons l’humilité et le silence de la Mère de Jésus ; au contraire, pour l’auteur (homme ou femme) de cet ouvrage, la très sainte Vierge a la façon d’une avocate moderne, toujours présente partout, et toujours prête à fournir des leçons de théologie mariale, parfaitement au courant des dernières études des spécialistes actuels en cette matière. […] Quelques pages sont plutôt scabreuses et font penser à des descriptions et des scènes de romans modernes. Nous n’en donnerons que quelques exemples, ainsi la confession faite à Marie par une certaine Aglaé, femme de mauvaise vie (1er volume, p. 790 et suivantes [Ces références ne correspondent pas à l’édition actuelle en français, mais à celle publiée à cette époque en italien]) ; le récit peu édifiant des pages 887 et suivantes du 1er volume; un ballet exécuté certainement d’une façon impudique devant Pilate au Prétoire (volume 4, p. 75) etc. […] Pour finir, je signale une autre affirmation étrange et imprécise où l’on dit de la Madone : « Toi, tout le temps que tu resteras sur la terre, tu seras la deuxième après Pierre, comme hiérarchie ecclésiastique… » [C’est nous qui soulignons, signale L’Osservatore romano].
Je respecte votre conviction.