Bruno1600 a écrit :
Du reste je doute fort que brûler vif un homme soit un acte d'amour, et si tel était le cas cet amour-là vous pourriez vous le garder
Allez dire ça à Dieu, Lui qui brûle les damnés !
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« ... c’est que le Seigneur sait délivrer de l’épreuve les hommes pieux et garder les hommes impies pour les châtier au Jour du jugement » II P. II. 9.
« Mais les cieux et la terre d’à présent, la même parole les a mis de côté et en réserve
pour le feu, en vue du Jugement et de la ruine des hommes impies. » II. P. III. 7.
« Ainsi Sodome, Gomorrhe et les villes voisines qui se sont prostituées de la même manière et ont couru après une chair différente, sont-elles proposées en exemple,
subissant la peine d’un feu éternel. » Jude 6.
« Déjà même la cognée se trouve à la racine des arbres ; tout arbre donc qui ne produit pas de bon fruit va être coupé et
jeté au feu. » Lc. III. 9 (cf. Mt. III. 10).
« Ne craignez rien de ceux qui tuent le corps, mais qui ne peuvent tuer l’âme ; craignez plutôt Celui qui peut perdre dans la géhenne à la fois l’âme et le corps. » Mt. X. 28.
« Ne craignez rien de ceux qui tuent le corps et après cela ne peuvent rien faire de plus. Je vais vous montrer qui vous devez craindre : craignez Celui qui, après avoir tué, a le pouvoir de jeter dans la géhenne ; oui, je vous le dis, Celui-là, craignez-le. » Lc. XII. 4-5.
« Mais les laches, les renégats, les dépravés, les assassins, les impurs, les sorciers, les idolâtres, bref, tous les hommes de mensonge,
leur lot se trouve dans l’étang brûlant de feu et de souffre : c’est la seconde mort. » Ap. XXI. 8.
« Il tient en sa main la pelle à vanner pour netoyer son aire et recueillir le blé dans son grenier ; quant aux bales,
il les consumera au feu qui ne s’éteint pas. » Lc. III. 17 (cf. Mt. III. 12).
« Si quelqu’un ne demeure pas en moi, il est jeté dehors comme le sarment et il se déssèche ; on les ramasse et
on les jette au feu et ils brulent. » Jn. XV. 6.
« Si ta main ou ton pied sont pour toi une occasion de péché, coupe-les et jette-les loin de toi : mieux vaut pour toi entrer dans la Vie manchot ou estropié que d’être jeté avec tes deux mains et tes deux pieds
dans le feu éternel. Et si ton œil est pour toi une occasion de péché, arrache-le et jette-le loin de toi : mieux vaut pour toi entrer borgne dans la Vie que d’être jeté avec tes deux yeux dans
dans la géhenne de feu. » Mt. XVIII. 8-9 (cf. Mc. IX. 42-49).
« Laissez l’un et l’autre croître ensemble jusqu’à la moisson ; et au moment de la moisson, je dirai aux moissoneurs : Ramassez d’abord l’ivraie et liez-la en bottes que l’on fera
brûler ; quant au blé, recueillez-le dans mon grenier. » Mt. XIII. 30.
« Ainsi en sera-t-il à la fin du monde : les anges se présenteront et sépareront les méchants d’entre les justes
pour les jetter dans la fournaise ardente : là seront les pleurs et les grincements de dents. » Mt. XIII. 49-50.
« Qui croit au Fils à la vie éternelle ; qui refuse de croire au Fils ne verra pas la vie ; mais la colère de Dieu demeure sur lui. » Jn. III. 36.
« Car si vous ne croyez pas que Je Suis, vous mourrez dans vos péchés. » Jn. VIII. 24.
« Allez loin de moi, maudits,
dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et ses anges. » Mt. XXV. 41.
« Et ils s’en iront, ceux-ci à une peine éternelle, et les justes à une vie éternelle. » Mt. XXV. 46.
« Et on sortira pour voir les cadavres des hommes révoltés contre moi, car leur ver ne mourra pas et
leur feu ne s’éteindra pas, ils seront en horreur à toute chair. » Is. LXIV. 24.
« L’Ange lors jeta sa faucille sur la terre, il en vendangea la vigne et versa le tout dans la cuve de la colère de Dieu, cuve immense ! » Ap. XIV. 19.
« Alors, le diable, leur séducteur, fut
jeté dans l’étang de feu et de souffre, y rejoignant la Bête et le faux-prophète, et leur supplice durera jour et nuit, pour les siècles des siècles. » Ap. XX. 10.
« Et la mer rendit les morts qu’elle gardait, la Mort et l’Hadès rendirent les morts qu’ils gardaient, et chacun fût jugé selon ses œuvres. Alors la mort et l’Hadès furent
jetés dans l’étang de feu – c’est la seconde mort cet étang de feu – et celui qui ne se trouva pas inscrit dans le livre de vie,
on le jeta dans l’étang de feu. » Ap. XX. 14-15.
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« Nous coyons que nous avons été purifiés dans sa mort et dans son sang pour être ressuscités par lui au dernier jour dans cette chair dans laquelle nous vivons maintenant ; et nous sommes dans l’attente que nous obtiendrons de lui, soit la vie éternelle en récompense de notre bon mérite, soit la peine du supplice éternel pour nos péchés (aut poenam pro peccatis æterni supplicii). » Symbole de foi dit Fides Damasi, N. 16.
« À sa venue tous les hommes ressusciteront dans leur corps et rendront compte chacun de leurs actes ; ceux qui ont bien agit iront dans la vie éternelle, ceux qui auront mal agit
au feu éternel (qui vero mala in ignem æternum). Telle est la foi catholique : si quelqu’un ne la croit pas fidèlement et fermement, il ne pourra être sauvé. » Symbole Quicumque, N. 40-42.
« Je confesse également que les feux éternels et
les flammes de l’enfer sont préparées pour les péchés mortels (Profiteor etiam æternos ignes et infernales flammas factis capitalibus praeparatas) ; car les fautes humaines qui demeurent jusqu’à la fin sont suivies à juste titre du jugement divin qu’encourent justement ceux qui n’ont pas cru cela de tout leur cœur. » Pape Simplicius, Conciles d’Arles de 473.
« Si quelqu’un dit ou pense que le châtiment des démons et des impies est temporaire, et qu’il prendra fin après un certain temps, ou bien qu’il y aura une restauration des démons et des impies, qu’il soit anathème. » Concile de Constantinople de 543 confirmé par le Pape Vigile, neuvième anathématisme contre Origène.
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[Pas très utile et un peu provocateur. Cordialement. Raistlin]
Ca y est, je me suis fait un nouvel ami