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par Didymos » ven. 29 juil. 2011, 0:11
Je ne savais pas trop où poster ce thème. J'espère que la rubrique n'est pas trop inadaptée.
Voilà le sujet : que pensez-vous de la pratique du baptême des bébés et des enfants en-dessous de l'âge de raison ?
Pardonnez-moi d'avance si c'est un peu long, mais le sujet est complexe.
Remarques préliminaires
Personnellement, j'ai eu la grâce d'être baptisé en toute conscience, et vous vous doutez bien que ça joue dans mon intérêt pour cette question et dans les réponses que j'y apporte. Je précise aussi, ça peut être utile, que tout au long de mon parcours de formation initiale puis de catéchuménat, et jusqu'au moment où j'ai reçu les sacrements de l'initiation chrétienne, de très nombreuses personnes m'ont témoigné leur admiration pour ma démarche, le bienfait spirituel que suscitait pour eux ma conversion et l'assistance aux sacrements et sacramentaux qui me concernaient, et leur souhait que tout cela leur fût arrivé ! Avec notamment l'idée que ces personnes auraient bien voulu être participantes lors de leur baptême, et pouvoir se souvenir des grâces reçues.
En étudiant la théologie des sacrements, avant et après mon baptême, je me suis d'abord aperçu de quelque chose de très important pour moi : la pratique antique des chrétiens d'unir les trois sacrements de l'initiation chrétienne (baptême-confirmation-eucharistie) n'est plus respectée ! Pourtant, la vision de l’Église n'a pas changé, comme le montre encore le catéchisme de 1984 ou la présentation générale du rituel de l'initiation chrétienne des adultes : l'unité de ces sacrements est bien mise en valeur, seulement la pratique ne suit pas, pour des raisons pastorales diverses. Et il y a pire : non seulement les trois sacrement sont désunis, mais leur ordre logique est inversé ! On obtient presque toujours maintenant : baptême-eucharistie-confirmation.
Pour faire court, c'est d'abord la confirmation, dans les premiers temps de l’Église, qui a été reportée dans certaines traditions, parce qu'on réservait son administration à l'évêque, et donc on attendait qu'il fasse sa visite pastorale. Par la suite, au Moyen-Age, c'est la première communion qu'on a séparée et déplacée vers l'âge de 12-13 ans. Saint Pie X exigera qu'on admette les enfants à la table eucharistique dès l'âge de raison. On créera alors une "communion solennelle" pour couronner la fin du catéchisme (ignorée hors de France), qui est aujourd'hui généralement devenue une "profession de foi", tandis que l'âge de la confirmation ne cesse d'être repoussé, avec les encouragements des équipes paroissiales concernées, qui la présentent de plus en plus comme un sacrement de la militance, de l'engagement du chrétien adulte, si bien qu'aujourd'hui les confirmés sont rares (outre le non-sens que des non-confirmés puissent le rester et communier occasionnellement, il y aurait un gros problème si l'on était regardant avec les conditions pour se marier ou pour être parrain/marraine).
Nos frères chrétiens d'Orient ne nous pardonnent pas cette pratique contraire à la Tradition. Pour mémoire, eux gardent l'unité des trois sacrements, qu'ils donnent par contre aux nouveaux-nés, le même jour (je vais parler plus loin du cœur du sujet, à savoir le bien-fondé d'administrer des sacrements à des enfants qui ne sont pas en mesure de les accepter ni de les comprendre).
Les âges et l'ordre de ces pratiques ayant varié selon les époques, comme je l'ai écrit plus haut, et encore plus à l'époque récente où chaque paroisse fait un peu ce qu'elle veut, ajoutons ce résultat : parlez avec les gens ayant un rapport assez distant avec l’Église, vous vous apercevrez qu'ils n'y comprennent rien. Tout est mélangé : première communion, communion privée, communion solennelle, confirmation, profession de foi... Mettez-vous à leur place, comment voulez-vous qu'ils s'y retrouvent ?
Certains ne savent même pas ce qu'est la confirmation alors qu'ils l'ont parfois vécue. Et ils prennent la profession de foi, ex communion solennelle, pour un sacrement au même niveau que l'eucharistie ou la confirmation. (Les deux exemples sont authentiques)
Dans le cas des adultes, l’Église, encore actuellement, demande explicitement que l'unité des sacrements de l'initiation soit maintenue et que le catéchumène les reçoive en même temps tous les trois pendant la Vigile pascale. Et bien même là il y a un problème. J'en suis la preuve.
Rétives à accepter les directions émanant pourtant du dernier concile dont elles se revendiquent, les "équipes du catéchuménat adulte" (celle de mon diocèse, en l’occurrence), séparent la confirmation du baptême et de l'eucharistie, pour la reporter quelques mois, voire un an plus tard, au mépris des règles canoniques et de la vérité des signes.
Mon premier cheval de bataille consiste donc d'abord à promouvoir la restauration de l'unité des sacrements de l'initiation chrétienne quelque soit l'âge des élus qui doivent les recevoir, car pour moi les raisons pastorales invoquées pour les séparer resteront toujours insuffisantes face à la nécessité de la vérité des signes. En revanche certaines de ces motivations pastorales (l'âge de raison comme prérequis) vont servir mes arguments ci-après. Je voulais que ce thème soit abordé avant de parler de la suite.
Concernant le baptême, un autre signe important a été malmené dès lors qu'on a baptisé des enfants, je veux parler de la triple immersion. Là encore, les chrétiens d'Orient, rejoints en cela plus récemment par différents courants protestants, nous reprochent de procéder à des baptêmes douteux : une petite gouttelette d'eau sur le front ne correspond pas au mot même du baptême qui implique la notion de plonger (sous-entendu dans les eaux de la mort) et de ressusciter à une vie nouvelle en Christ. Le "baptême par effusion" n'exprime pas la pleine signification du baptême, de toute évidence. Mais cette atteinte aux signes reste tout de même moindre, et je ne vais pas m'étendre là-dessus.
Le baptême des enfants
A l'origine du baptême pratiqué par Jésus est celui pratiqué par Jean. Dans ces deux contextes, on voit très clairement que le baptême est une conversion volontaire, répondant à un appel. "Celui qui croit et sera baptisé sera sauvé". Ce verset de l’Évangile de Marc dit clairement qu'il faut croire avant d'être baptisé. Par ailleurs, aucun texte du nouveau testament ne parle de baptiser des enfants. Tout juste est-il question de "familles" dans les Actes. Toujours dans les Actes des Apôtres, à la lecture des récits de la "fraction du pain" à laquelle les premiers disciples "étaient assidus", on comprend aisément que les enfants en étaient naturellement exclus.
Alors pourquoi donner des sacrements à des enfants en dessous de l'âge de raison, c'est-à-dire l'âge où ils peuvent comprendre ce qu'on leur propose, et donc le vouloir, et même à des bébés ?
La réponse est bien connue de tous : c'est parce l’Église a de bonne heure interprété les nombreux versets du Nouveau Testament où il est question du baptême comme salut, notamment "Nul s’il ne renaît de l’eau et de l’Esprit ne peut entrer dans le Royaume de Dieu" (Jean 3, 5), comme un absolu en dehors duquel le salut est impossible. Les enfants, disait-on, naissent damnés, péché originel oblige, et s'ils ne sont pas baptisés, ils erreront éternellement dans les limbes des enfants. Avec du recul, cette interprétation a eu des conséquences comiques (enterrer les enfants mort-nés le plus près possible de l'église ou en dessous pour que l'eau de pluie ruisselant du toit ou l'eau du baptistère évacuée en terre les baptise post-mortem), et d'autres conséquences plus sombres (l'idée que les peuples qui n'ont pas encore connu le message évangélique seront damnés parce qu'il leur est impossible d'accéder au paradis, mais que c'est sûrement dans le plan de Dieu, et bien sûr toutes les conversions forcées et autres tortures infligées à des milliers de personnes parce qu'on pensait que c'était la seule façon d'obtenir leur salut)...
Fort heureusement, depuis, nous sommes sortis de cette vision erronée du baptême. Il est toujours considéré, à juste titre, comme unique moyen du salut, mais l’Église admet désormais que Dieu, dans sa miséricorde infinie, "associe certainement, d'une manière ou d'une autre, tous les hommes au salut" (je cite de mémoire les textes du concile, donc la citation est peut être approximative mais le sens est inchangé). En d'autres termes cela veut dire que ceux qui n'ont pas reçu le baptême de l'eau et de l'esprit sur cette terre ont une possibilité de recevoir le baptême de l'esprit dans le passage de leur mort.
Dès lors, l'argument principal du baptême des enfants tombe, et je pose à nouveau la question de son bien-fondé. Et je ne suis pas le seul, si l'on considère le nombre de couples qui disent actuellement qu'ils préfèrent laisser leurs enfants libres de leur choix plus tard. (Sans parler des demandes, absurdes, de "débaptisation").
On peut remarquer aussi, en se penchant sur le rite du baptême, qu'il y a quelque chose qui sonne un peu bizarre quand par exemple on s'adresse à un nouveau-né qui ne comprend pas et qui ne peut pas répondre, qu'on l'exorcise, qu'on lui signifie sa vie nouvelle... Et quand on a vraiment besoin de son consentement, on ne s'adresse plus à l'enfant, on s'adresse aux parrains et marraines, comme s'il s'agissait de leur propre baptême. Franchement il faut avouer que c'est étrange, et qu'on est en droit de se demander comment on en est arrivé là.
Cependant l’Église oppose encore un argument. "Laissez les petits enfants venir à moi, dit le Christ, ne les empêchez pas, car c’est à leur pareils qu’appartient le Royaume de Dieu" (Marc 10,14). En se fondant sur ce verset, elle met en avant le fait que Dieu aime en premier avant que nous l'aimions, qu'il est important d'accueillir les nouveaux-nés comme dons de Dieu et enfants de Dieu, que l'on ne peut pas les priver des grâces de l'amour de Dieu.
Toutes ces remarques sont pertinentes. Et dans toutes les cultures existent depuis très longtemps des rites religieux autour de la naissance. Dans le cas des juifs, et donc forcément des premières générations de chrétiens, ces rites consistaient en l'imposition du nom de l'enfant, le 8e jour, considéré comme reçu de Dieu. Ce moment est décrit pour Jean-Baptiste et Jésus. Dans ces deux cas, le nom avait été révélé explicitement par Dieu à son père. D'autres récits de l'Ancien Testament montrent l'importance du nom comme naissance de l'identité d'une personne, et perpétuation de l'Alliance. Encore dans le Nouveau Testament, Jésus change le nom de Simon en Pierre, pour marquer son nouvel état et sa nouvelle vocation. L'imposition du nom était doublée de la circoncision pour les garçons. Par ailleurs, les garçons premiers-nés, comme tout prémisse d'après la loi de Moïse, appartenait à Dieu et devait donc être racheté au Temple. C'est l'épisode qu'on appelle la présentation au Temple, pour Jésus. En outre, dans tous les cas, la mère devait être purifiée au bout d'une certaine durée après l'accouchement et présenter également à cette occasion une offrande au Temple (ce même genre de purification avait lieu également avant le mariage, après chaque menstruations, rapport sexuel et encore dans bien d'autres cas).
La nécessité de remercier Dieu pour une naissance, de prier pour l'enfant et de le consacrer à Dieu est donc manifeste. Mais pourquoi faire remplir ce rôle par le baptême, qui a une toute autre signification, et qui en tant que sacrement, exigerait une volonté de conversion et un discernement du mystère de ce sacrement ?
Pourquoi, dans ce cas, ne pas s'appuyer sur certaines pratiques de la tradition juive que j'ai citées pour les adapter à la révélation chrétienne et donner sens à un rite d'action de grâce et bénédiction de l'enfant, avec mise en valeur de son prénom en vue de son baptême ? Ce pourrait être aussi l'occasion de prier pour les parents et la famille, de prier pour soutenir la tache des parents de transmettre la foi et d'accompagner l'enfant vers la demande de baptême. L'occasion aussi de chercher des garants (c'est ainsi qu'on les nomme) pour les présenter à l’Église le jour venu, et qui deviendront alors les parrains et marraines. Qu'en pensez-vous ?
Pistes de réflexion pour une nouvelle pastorale
Je retrouve ici l'argument de saint Pie X : l'âge de raison. Pourquoi ne pas questionner l'enfant sur son souhait de devenir catéchumène à cet âge-là (qui correspond peu ou prou à l'âge de la scolarisation), après qu'on l'aura éveillé à ce sujet pendant ses premières années (aussi en le faisant assister aux prières à la maison) ? En effet, depuis saint Pie X c'est à cet âge qu'on propose aux enfants la première communion, parce qu'ils peuvent discerner le mystère qu'elle contient.
Pourtant, et c'est aussi la considération de nombreuses paroisses actuelles qui repoussent l'âge de la communion, il me semble qu'il ne suffit pas d'avoir les capacités de discernement, mais qu'il faut aussi les avoir exercées sur le sujet, et donc avoir reçu un minimum d'enseignement sur l'eucharistie, alors seulement on peut discerner. C'est pourquoi on inscrit les enfants au "caté" pour les préparer puis parfaire leurs connaissances.
Mais dans notre hypothèse selon laquelle l'enfant s'apprête à recevoir les trois sacrements de l'initiation, n'est-il pas opportun d'en faire un catéchumène (là encore "faire" des catéchumènes est l'expression consacrée, si j'ose dire) ?
Il pourrait donc y avoir là le rite de l'entrée en catéchuménat, marquant le début de la catéchèse reçue. Un mot sur ce rite très riche mais méconnu. D'après le rituel, pour simplifier, le "sympathisant" est accueilli sur le parvis de l'église où le prêtre lui demande son nom et ce qu'il désire recevoir de l’Église. Il lui expose ce que signifie suivre le Christ et demande au "candidat" si c'est bien ce qu'il désire. Il demande aussi aux garants qui l'accompagnent et aux fidèles présents s'ils sont prêts à le soutenir. Éventuellement, il pratique un premier exorcisme et reçoit une renonciation aux cultes non-chrétiens. Après une action de grâce, le prêtre signe de la Croix le nouveau catéchumène, comme symbole de son nouvel état. Il fait ce signe avec le pouce sur son front et sur ses sens (yeux, oreilles, bouche, poitrine, épaules), puis avec la main sur toute sa personne. On peut remettre au catéchumène une croix qu'il portera ou qu'il mettra dans sa chambre, par exemple. Après cela il y a une oraison puis la procession se met en marche vers l'intérieur de l'église, au chant du psaume 33 ou d'un autre chant, où a lieu la liturgie de la parole (des lectures spécifiques sont prévues). Éventuellement, on remet aussi une Bible ou un exemplaire des Évangiles à l'issue de l'homélie. S'il doit y avoir par la suite la liturgie eucharistique, on congédie d'abord les nouveaux catéchumènes, qui pendant ce temps, peuvent par exemple se retrouver avec leurs futurs catéchistes pour fêter l’événement.
Le catéchumène, avant son baptême, peut et doit prendre part aux liturgies de la paroles des messes (partie qu'on appelait d'ailleurs autrefois messe des ... catéchumènes!), mais ne peut pas y remplir de fonction liée au baptême, telle la lecture. Il serait peut-être bon de le faire participer aussi plus souvent à la liturgie des heures célébrée publiquement, puisqu'elle a en commun avec la liturgie de la parole de la messe de ne pas avoir de liturgie eucharistique dans sa structure. Théoriquement, la liturgie eucharistique de la messe (qui commence par le Credo) n'est pas un lieu approprié pour les catéchumènes et en Orient, le diacre à se moment là prononce toujours une formule de renvoi des catéchumènes. En pratique, il va de soi que les choses ont évolué et qu'il faut en tenir compte.
Le catéchumène doit surtout être catéchisé, apprendre à prier, et peut recevoir comme sacramentaux pour le fortifier dans sa foi diverses bénédictions et exorcismes spécifiques, ainsi que des onctions avec l'huile des catéchumènes (O.C).
La durée de la catéchèse dépend évidemment de la progression du catéchumène, mais il me semble bon qu'elle dure plusieurs années. J'ai observé qu'au moment de la puberté (soit environ 12ans pour les filles et 14ans pour les garçons) de nombreuses cultures connaissent un rite initiatique de passage à l'âge adulte. Actuellement, la profession de foi tient lieu de ce rite. Dans le judaïsme rabbinique, c'est l'âge de la Bar Mitsvah.
Il n'est pas infondé de faire coïncider le baptême avec le passage de l'enfance à l'âge adulte, car après tout, il s'agit de devenir un "homme nouveau". Ce pourrait être après l'entrée au collège, ou quelque temps après, pour aider à donner des repères aux jeunes et aux familles.
Les semaines qui précèdent la grande vigile pascale où a lieu le baptême, la confirmation et la première communion sont jalonnées de rites immédiatement préparatoires qui sont sans doute méconnus de beaucoup.
Le Carême est conçu pour correspondre à ce temps. C'est donc tout naturellement que le premier dimanche de Carême a lieu dans la cathédrale l'appel décisif des catéchumène par leur évêque. L’Église, en appelant les candidats aux sacrements par un successeur des Apôtres, signifie par là que l'appel vient de Dieu autant que la demande vient du candidat, et que la célébration de ces sacrements, en cela qu'elle incorporera les catéchumènes au corps mystique du Christ, implique la communion avec toute l’Église, représentée ici par l’Évêque. Un registre est signé. Désormais les catéchumènes sont appelés "electi" (élus).
D'autres rites mineurs comme les scrutins (pour scruter le cœur du catéchumène et le purifier), la tradition (de tradere, transmettre) du Credo et du Notre Père, l'Effetah ("ouvre-toi", gestes faits sur le catéchumène pour qu'il ouvre ses sens aux mystères qu'il va recevoir très bientôt) ou encore la reddition du Credo (le samedi saint au matin, les catéchumènes restituent oralement le Credo qu'ils ont eu le temps d'apprendre) et les onctions d'huile des catéchumènes, ont pour but de contribuer à la bonne préparation des futurs baptisés.
Je ne détaille pas les rites baptismaux et la confirmation au cours de la vigile pascale, je pense que la majorité d'entre nous y a déjà assisté avec des adultes dans sa paroisse. Le temps pascal qui suit est propice à la mystagogie, terme qui signifie l'explication des mystères, et qui a pour but d'instruire le néophyte a partir de ce qu'il a vécu sacramentellement, et de le guider pour sa vie de baptisé qui commence.
Traditionnellement, les néophytes continuaient de porter le vêtement blanc de leur baptême pendant toute l'octave de Pâques, et le déposaient à la messe du 2e dimanche de Pâques, qu'on nommait pour cela "in albis" (en blanc / en aube).
Je ne sais pas si mon exposé est très clair. Je vous demande encore de me pardonner sa longueur.
Je serais très heureux d'avoir votre avis sur toutes ces questions. Je les résume :
- l'âge de la réception du baptême (question la plus importante)
- l'unité des sacrements de l'initiation
- le baptême par immersion / effusion
Merci et "que la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, garde vos cœurs et vos pensées dans le Christ Jésus" (St Paul)
"Respondit Thomas et dixit ei : Dominus meus et Deus meus !", Jn 20, 28