Le, premier paragraphe était bien pour vous, mais le second non, sauf le début et jusqu’à ma question : « vous ? » qui commençait déjà à être plus démonstrative qu’interrogative. Qui plus est, (et je comprends maintenant ce que vous avez pu penser, cela m’a un instant effleuré comme un rapprochement possible mais j’en ai écarté l’idée, apparemment trop péremptoirement : aurais-je sinon précisé que vous n’étiez pas directement concerné, je ne sais, j’étais concentré sur « mon sujet » ) si j’avais pu vouloir vous dire cela à titre personnel, je vous l’aurais dit avec plus de délicatesse et d’hypothèses, et probablement par MP. Je tiens la vérité qui y serait contenue dans ce contexte pour tendancieuse et incorrecte, pour une bévue de vous la proposer.
Je m’adressais donc dans les 2 derniers paragraphes en priorité et au général en pensant à ceux qui sont catéchumènes ou qui ont manqué au catéchisme. SI le point de vue « traditionnel » (à prouver car pas si sûr…le raccourcissement du jeûne a bien été majoritairement accepté par eux, chose exceptionnelle sur le principe !) n’est pas fondamentalement opposé à celui de l’Eglise légitime et actuelle (çà c’est sûr en dépit des apparences), et que celle-ci affirme le sien de façon plus discrète, il peut entraîner des doutes et poser question de le présenter comme « le meilleur ».
Je ne pensais pas devoir approfondir autant mais à chaque fois je m’y sens comme obligé… Peut-être ai-je trop de scrupule, je ne sais.
Tout ce que j’ai déjà écrit ne répond-il pas à votre dernière question ? Franchement, et cette fois je m’adresse à vous avec tout ce que je sais, je ne peux que vous recommander de communier.
Quand un prêtre vous a refusé l’absolution, pour moi c’est au regard de la confusion qui était la vôtre dans l’expression de ce que vous croyiez être la vérité. Je ne remets pas en cause son choix ponctuel, qui a pu vous obliger à approfondir davantage, mais comme dirait St Paul je crois bien que moi aussi etc. et mon conseil a valeur générale.
Au contraire, la communion dans une démarche d’humble appel à ce que la lumière intérieure se fasse en vous, est une excellente voie – et joie.
Pour votre remarque entre la lettre et l’esprit, franchement je m’y perds. Ademimo m’a semble-t-il clarifié les choses dans sa dernière contribution, apparemment pas complétement pour vous.
Son évocation de la mutilation volontaire était à mon avis hors sujet, mais un si beau sujet que j’ai voulu l’attraper au vol. S’’il m’est arrivé à d’autres occasions d’intervenir entre 2 pour clarifier un malentendu, là je ne m‘y lancerais pas car cela suppose que je sois sûr d’avoir bien compris les 2 et leurs intentions. Il y a trop d’amalgames à mon goût.
- Ce que vous avez voulu dire sur la communion est une chose.
L’usage « incorrect » que vous avez fait d’une parabole s’explique pour moi simplement par un désir d’illustration, et en tant que tel ne m’a pas choqué car je ne suis pas formaliste.
Que vous reveniez sur la parabole en question avec tant d’insistance, j’ai du mal à le comprendre. Soit vous poursuivez votre idée sur la communion, et le mieux serait de quitter toute illustration et de dire vraiment votre pensée, soit c’est la parabole qui vous intéresse pour elle-même, soit il y a pour vous en elle une véritable illustration qui va plus loin que le rapprochement que vous avez utilisé et je ne la vois pas aboutir ni se dire.
Et comme en plus vient maintenant se greffer par-dessus l’antinomie lettre /esprit, je suis perdu. Qui est l’une et comment ? Qui est l’autre et comment ? Quel rapport en soi avec l’eucharistie ? .
(J'espère vous avoir tout à fait rassuré sur la possibilité d'un message subliminal de ma part...)