Erreurs liturgiques et pastorales

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Rémi
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Erreurs liturgiques et pastorales

Message non lu par Rémi » ven. 11 mai 2007, 21:35

Bonjour à tous et merci de m'acceuillir parmi vous.

Tout d'abord, je me présente ; je me nomme Rémi et je demeure au Québec, province du Canada, j'ai comme principale occupation, celle d'être un sacristain laïc pour ma petite paroisse qui compte 400 âmes, nous sommes en région, éloigné des grands centres. Taux de pratiquants, inférieur à 10 %. Une messe dominicale à toutes les deux semaines.

Voici ma question :

Y a-t-il quelqu'un sur ce forum qui pourrait m'indiquer l'endroit exacte au Vatican et la personne à qui je pourrait envoyer une lettre de plaintes à propos des errements liturgiques et pastorales de mon pasteur, je sais qu'il est recommandé de faire plainte avant à mon diocèse mais, on ne demande pas à un "pyromane de faire de la prévention des incendies" c'est-à-dire que mon évêque est au courant de ses égarements, plusieurs autour de moi se sont plaints des agissements de notre pasteur au diocèse, mais rien n'a changé, alors aux grands maux, les grands moyens. Nous sommes désespérer de voir notre Église locale s'éloigner de plus en plus de Rome et ne plus suivre depuis bien des années les directives papales, avant que nous ne disparissions, ils nous faut agir.


Merci de votre aide, c'est urgent.

FMD
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Message non lu par FMD » ven. 11 mai 2007, 22:47

[align=justify]Bonsoir et bienvenue Rémi,

Il me semble que votre requête concernant les abus liturgiques relève de la Congrégation du Culte divin et de la Discipline des sacrements:
Constitution apostolique « Pastor Bonus » a écrit :Article 66
[La Congrégation du Culte divin et de la Discipline des sacrements] exerce une vigilance attentive afin que soient observées exactement les dispositions liturgiques, que soient empêchés les abus en ce domaine, et qu’il y soit mis fin là où ils sont découverts.
Je ne sais pas exactement comme la contacter mais la notice présente sur le site du Vatican fournit une adresse postale cohérente:

Palazzo delle Congregazioni
Piazza Pio XII, 10
00120 CITTÀ DEL VATICANO

Quelqu'un en sait-il davantage?

En Christ,
Franck[/align]

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Message non lu par el Padrecito » ven. 11 mai 2007, 22:56

Bonsoir,

Je sais que l'an dernier, lorsque nous avons rencontré Son Eminence le Cardinal Francis Arinze, il nous a dit qu'il fallait écrire à la Congrégation qu'il dirige, il faut tout de même savoir que l'évêque du lieu concerné sera prévenu, et recevra je crois une copie de la lettre du ou des plaignants.

En tout cas, bien que cela déplaise à beaucoup, il nous a encouragé à le faire...
in Christo Rege.

Quentin.

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Rémi
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Message non lu par Rémi » dim. 13 mai 2007, 18:04

Merci Franck et Elpadrecito de votre aide, excusez-moi de mon retard à vous répondre, j'ai eu des difficultés à me connecter, il y avait toujours une page d'erreur.

J'aime bien le Cardinal Arinze et s'il nous a recommandé de dénoncer les abus liturgiques alors cela me fortifie dans ma démarche présente.

Si vous avez encore des conseils à me donner, cela me ferait bien plaisir.

Rémi

Richard
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Message non lu par Richard » dim. 13 mai 2007, 23:45

Rémi a écrit :Merci Franck et Elpadrecito de votre aide, excusez-moi de mon retard à vous répondre, j'ai eu des difficultés à me connecter, il y avait toujours une page d'erreur.

J'aime bien le Cardinal Arinze et s'il nous a recommandé de dénoncer les abus liturgiques alors cela me fortifie dans ma démarche présente.

Si vous avez encore des conseils à me donner, cela me ferait bien plaisir.

Rémi
Salut Rémi, moi aussi je suis du Québec, je te suggèrerais en premier de contacter la Conférence des Évêques du Canada: http://www.cccb.ca/site/component/optio ... /lang,frc/
ou du Québec: http://www.eveques.qc.ca/

Richard
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Message non lu par Richard » dim. 13 mai 2007, 23:47

Re salut Rémi,

Tu accepterais de nous donner un exemple d'erreur ?

Richard
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Message non lu par Rémi » lun. 14 mai 2007, 17:00

Bonjour Richard et François-Xavier, merci de vos réponses.


Voici Richard, comme vous me le demandez, quelques exemples :

~Ex. 1 : Lors d'une messe, au début du carême de cette année (2007), notre pasteur, lorsque le temps de l'homélie fut arrivé, s'est assis sur son siège présidentiel et à cédé sa place à l'ambon à une soeur Ursuline lui laissant le soin de faire l'homélie et de commenter l'évangile du jour. Or il me semble que l'homélie lors d'une messe est strictement réservée au prêtre célébrant, si on est fidèle au canon.
~Ex. 2 : Depuis des années que notre bien aimé Pape Jean-Paul II désirait et son successeur Benoît XVI après lui, que la confession collective retrouve son rang d'exceptionnalité, dans notre diocèse rien n'a été fait pour qu'il en soit ainsi et de plus, lors de ses confessions collectives notre pasteur ne mentionne aucunement comme il est aussi recommandé par l'Église ; que soit enseigné que la confession collective n'a aucun pouvoir sur les péchés graves et qu'en tel cas, les fidèles doivent recourir à la confession individuelle.

Nota bene : C'est bien triste car le peuple ne reçoit plus l'enseignement sur la bonne manière de se confesser et de bien communier tout en étant en état de grâces. La grande majorité de ceux qui viennent à la messe, ne se confesse plus que deux fois par année et ces deux fois se sont lors des confessions collectives d'avant Noël et d'avant Pâques. Alors les fidèles sont une année entière après l'autre sans confession individuelle, donc jamais leurs péchés graves ne sont confesser et tout cela avec l'accord de notre pasteur et de notre évêque.
~Ex. 3 : Il y a ici depuis quelques années, de nouvelles funérailles sans prêtre présidées par des laïcs formés et depuis quelques mois, ces mêmes laïcs prennent comme leur propre siège le siège présidentiel, "réservé uniquement aux prêtres il me semble".



~Ex. 4 : Lorsque dans une messe, arrive le temps de la prière de communion «Seigneur Jésus-Christ, fils du Dieu vivant...» après cette prière, la génuflexion recommandée dans le missel romain 2002 est omise par notre pasteur. Aussi les deux autres génuflexions recommandées dans le missel à l'article 274 ne sont jamais accomplies.

Nota bene : pour votre information, le Saint-Sacrement est toujours présent dans notre Tabernacle.

Références :

Missel romain 2002

157. Cette prière terminée, le prêtre fait la génuflexion, prend une Hostie consacrée au cours de la même messe et, la tenant un peu élevée au-dessus de la patène ou du calice. Il dit, tourné vers le peuple : «Voici l'Agneau de Dieu...», avec le peuple il poursuit : «Seigneur, je ne suis pas digne...».

274. Au cours de la messe, le prêtre célébrant fait trois génuflexions, à savoir : l'élévation de l'Hostie, après l'élévation du calice, et avant la communion...
Si le tabernacle avec le Très Saint-Sacrement est dans le sanctuaire, le prêtre, le diacre et les autres ministres font la génuflexion lorsqu'ils arrivent à l'autel et lorsqu'ils se retirent, mais non durant la célébration elle-même de la messe.

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François-Xavier
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Message non lu par François-Xavier » lun. 14 mai 2007, 17:24

Pas de doute, il s'agit bien d'abus.

Peut être quelques précisions :
Remi a écrit :Or il me semble que l'homélie lors d'une messe est strictement réservée au prêtre célébrant, si on est fidèle au canon.
L'homélie n'est pas forcément réservée au prêtre célébrant, mais à un prêtre (célébrant, concélébrant, ou non) ou à un diacre. Cela veut dire que concrètement, l'homélie peut être faite par un ministre ordonné, quel qu'il soit, pourvu qu'il soit en tenue de choeur pour cette fonction liturgique.
Remi a écrit :ces mêmes laïcs prennent comme leur propre siège le siège présidentiel, "réservé uniquement aux prêtres il me semble".
A ma connaissance, seule la cathèdre de l'évêque (i.e. le trône épiscopal du prélat dans sa cathédrale) a une préséance. Cependant, votre remarque est juste. En aucun cas, les "animateurs" laïcs d'une célébration de funérailles doivent laisser croire qu'ils ont une fonction de "remplacement" du prêtre.

Je vous encourage en tout cas à nouveau fortement d'écrire au Cardinal Arinze. C'est important.

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Message non lu par Boris » lun. 14 mai 2007, 17:47

Faire une lettre de désapprobatin à l'Evêque, copie (mentionnée) à S.E. le Card. Arinze.

Je pense que les citations du Missel de 2002 seront les bienvenues. Faites-les en Latin car il n'existe pas à ma connaissance de traduction francophone valide.

Pour les messe des défunts, nous avons le même problème en France (avec des Evêques qui interdisent à leur prêtres de telles célbrations).
UdP,
Boris

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Message non lu par CATHO » lun. 14 mai 2007, 20:35

Boris a écrit :Pour les messe des défunts, nous avons le même problème en France (avec des Evêques qui interdisent à leur prêtres de telles célbrations).
:blink: Alors ce fait est grave, j'en suis choqué, j’espère que cette situation s’éclaircie

Salutations
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Richard
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Message non lu par Richard » lun. 14 mai 2007, 22:29

de Rémi
~Ex. 2 : Depuis des années que notre bien aimé Pape Jean-Paul II désirait et son successeur Benoît XVI après lui, que la confession collective retrouve son rang d'exceptionnalité, dans notre diocèse rien n'a été fait pour qu'il en soit ainsi et de plus, lors de ses confessions collectives notre pasteur ne mentionne aucunement comme il est aussi recommandé par l'Église ; que soit enseigné que la confession collective n'a aucun pouvoir sur les péchés graves et qu'en tel cas, les fidèles doivent recourir à la confession individuelle.
Tu parles de confession collective, est-ce que l'absolution est également collective... car chez nous il y a préparation collective et par la suite nous sommes invité à rencontrer l'un des prêtres présent à cette célébration pour l'aveu et l'absolution. Parfois aussi, les gens peuvent être invité à faire un geste significatif pour se reconnaître pécheur avant de recevoir l'absolution collectif.

(je crois que) Les diverses manières de faire viennent du fait que plus personne (très peu) allait à la confession, cette trouvaille a permit aux cathos de retourner à la confesse sous l'une ou l'autre de ses formes.

Je ne suis pas un fin connaisseur en liturgie, ce qui fait que je ne m'accroche pas dans les fleurs du tapis, en autant que les célébrations soient signifiantes et permettent de prier pour finalement tenter d'en vivre entre chaque messe.

Amitiés, Richard
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Charles
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Message non lu par Charles » lun. 14 mai 2007, 22:38

Richard a écrit :Je ne suis pas un fin connaisseur en liturgie, ce qui fait que je ne m'accroche pas dans les fleurs du tapis, en autant que les célébrations soient signifiantes et permettent de prier pour finalement tenter d'en vivre entre chaque messe.
Pouvez-vous être plus précis ? Je ne comprends rien à ce que vous racontez !

Richard
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Message non lu par Richard » mar. 15 mai 2007, 1:07

Charles a écrit :
Richard a écrit :Je ne suis pas un fin connaisseur en liturgie, ce qui fait que je ne m'accroche pas dans les fleurs du tapis, en autant que les célébrations soient signifiantes et permettent de prier pour finalement tenter d'en vivre entre chaque messe.
Pouvez-vous être plus précis ? Je ne comprends rien à ce que vous racontez !
Comment vous expliquer... ça me semble si simple :cool: Prenons la messe, pour moi ce n'est pas le nombre de génuflexion qui compte ou autre signe qui m'importe, mais (je parle pour moi) je ne désire blesser personne... :sick: La messe est signifiante (toujours pour moi) lorsque l'assemblée est accueuillante et fraternelle et une homélie bien adaptée au vécu d'aujourd'hui, sans oublier le partage du pain et du vin ou le christ s'offre à nous et nous à Lui, et l'envoie dans la mission ou nous sommes appelé à témoigner de la foi qui nous fait vivre... est-ce plus clair :roll:

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Message non lu par Rémi » mar. 15 mai 2007, 1:29

Bonjour Richard, pour répondre à votre question, oui chez-nous l'absolution est collective et il n'y a pas d'invitation spécifique de la part de notre pasteur à utiliser la confession individuelle lors de ces confessions collectives.

Voici ce qu'en dit le magistère sur la confession collective :
Références :

Can. 960

La confession individuelle et intégrale avec l’absolution constitue l’unique mode ordinaire par lequel un fidèle conscient d’un péché grave est réconcilié avec Dieu et avec l’Église ; seule une impossibilité physique ou morale excuse de cette confession, auquel cas la réconciliation peut être obtenue aussi selon d’autres modes.
CIO 720

Can. 961

1 L’absolution ne peut pas être donnée par mode général à plusieurs pénitents ensemble, sans confession individuelle préalable sauf :

-------1° si un danger de mort menace et que le temps n’est pas suffisant pour que le ou les prêtres puissent entendre la confession de chacun des pénitents ;

-------2° s’il y a une grave nécessité, c’est-à-dire si, compte tenu du nombre de pénitents, il n’y a pas assez de confesseurs disponibles pour entendre comme il le faut la confession de chacun dans un temps convenable, de sorte que les pénitents, sans qu’il y ait faute de leur part, seraient forcés d’être privés pendant longtemps de la grâce sacramentelle ou de la sainte communion ; mais la nécessité n’est pas considérée comme suffisante lorsque des confesseurs ne peuvent pas être disponibles pour le seul motif du grand afflux de pénitents, tel qu’il peut se produire pour une grande fête ou un grand pèlerinage.

2 Il appartient à l’Évêque diocésain de juger si les conditions requises au § 1, n 2 sont remplies ; en tenant compte des critères établis d’un commun accord avec les autres membres de la conférence des Évêques, il peut déterminer les cas où se rencontre cette nécessité.
CIO 720

Can. 962

1 Pour qu’un fidèle bénéficie validement d’une absolution sacramentelle donnée à plusieurs ensemble, il est requis non seulement qu’il y soit bien disposé, mais qu’il ait en même temps le propos de confesser individuellement, en temps voulu, les péchés graves qu’il ne peut pas confesser ainsi actuellement.

2 Dans la mesure du possible, même à l’occasion de la réception d’une absolution générale, les fidèles seront instruits de ce qui est requis au § 1 et, l’absolution générale sera précédée, même en cas de danger de mort si le temps est suffisant, d’une exhortation pour que chacun prenne soin de faire un acte de contrition.
CIS 721

Can. 963

Restant sauve l’obligation dont il s’agit au can. 989, un fidèle dont les péchés graves sont remis par une absolution générale recourra à la confession individuelle le plus tôt possible et dès qu’il en a l’occasion, avant de recevoir une nouvelle absolution générale, à moins que n’intervienne une juste cause.

MOTU PROPRIO «MISERICORDIA DEI»- paragraphe 8 :
Cela apparaît particulièrement nécessaire du fait que l'on observe dans certaines régions une tendance à l'abandon de la confession personnelle, ainsi qu'un recours abusif à l'«absolution générale» ou «collective», en sorte que celle-ci n'apparaît pas comme un moyen extraordinaire dans des situations tout à fait exceptionnelles. En raison d'une extension arbitraire de l'obligation de grave nécessité, (10) on perd de vue pratiquement la fidélité à l'aspect divin du sacrement, et concrètement la nécessité de la confession individuelle, ce qui entraîne de graves dommages pour la vie spirituelle des fidèles et pour la sainteté de l'Église.
*****

Merci Boris de vos conseils,
Je pense que les citations du Missel de 2002 seront les bienvenues. Faites-les en Latin car il n'existe pas à ma connaissance de traduction francophone valide.
Je ne connais pas assez le latin pour communiquer ainsi, le français sera-t-il accepté ?

****

François-Xavier sur l'homélie vous avez raison d'apporter cette nuance car ce n'est pas nécessairement le prêtre célébrant qui fait l'homélie mais tout autres prêtres présent ou un diacre.
Dans l'instruction «Sur quelques questions concernant la collaboration des fidèles laïcs au ministère des prêtres» voici ce qui est dit sur l'homélie :
On ne peut donc admettre l'usage, pratiqué en quelques circonstances, de confier la prédication de l'homélie à des séminaristes, étudiants en théologie non encore ordonnés.(can. 266 °1)

L'homélie en effet ne peut être considérée comme un entraînement en vue du ministère futur.
Il faut tenir pour abrogée par le can. 767, § 1 toute norme antérieure qui aurait admis des fidèles non-ordonnés à prononcer l'homélie durant la célébration de la Messe.( can. 6, § 1, 2o.)

Charles
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Message non lu par Charles » mar. 15 mai 2007, 13:26

Richard a écrit :pour moi (...) ce n'est pas le nombre de génuflexion qui compte ou autre signe qui m'importe, mais (je parle pour moi) (...) La messe est signifiante (toujours pour moi) lorsque (...) bien adaptée au vécu d'aujourd'hui...
Donc vous dites :

1. Que vous refusez la signification catholique de la symbolique de la messe.

2. Que la validité et la signification de la messe dépendent de vous.

3. Que l'enseignement de l'Eglise doit se conformer au monde.

Vous continuez d'enseigner "amicalement" l'erreur et l'hérésie... :doh:

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